« Princess Qui t'a dit qu'aimer était facile ? Qui ? Qui t’a dit qu’aucune histoire n’aurait jamais de fin ? Qui ? .. »
[Merci à ma soeur de coeur pour son montage, même de dos t'es belle Ahaha love]
Ce soir-là, je m'étais faite une promesse, une promesse que j'allais appliquer, et me promettre de la tenir jusqu'au bout. La promesse était simple : Oublier tout le passé, oublier tout ce mal qu'on m'a fait et que j'ai fait, oublier tous les problèmes que j'ai engendrer, oublier tout simplement mon passé.. Et bien sûr, me faire pardonner et faire tout ce qui est en mon pouvoir pour repartir à zéro et protéger ma petite princess, ma petite Amira .
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TOC ! TOC ! TOC !
Je sursaute, dépose Amira devant la tv et va ouvrir. Me voilà face à Souleyman accompagné d’Amir…
Souley - salem.
Moi - alaykum salem.
Amir - Samira !! Tu m’as manqué !
Il me saute dans les bras, je le prends et lui fait un bisou sur la joue.
Moi - mais toi je te fais la gueule, même pas tu dis à ta maman de venir me voir.
Amir - c’est pas grave, moi je veux Amira ! Elle est où ?!
Moi - dans le salon.
Sans me répondre, il court au salon. Et là ? Je fais quoi de Souley moi là ?
Moi - euh… Tu peux repasser le chercher le soir si tu veux.
Souley - ouais.
J’allais fermer la porte quand il l’a tient et l’a rouvre.
Souley - attend.
J’ouvre la porte complétement pour savoir ce qu’il veut.
Moi - quoi ?
Il me répond pas, s’avance vite vers moi et m’embrasse tendrement dans le cou… Je rêve là ? Nan enfaite, je rêve pas.
Moi - qu’est-ce que tu fais là ? Souley ! Arrête !
J’arrive enfin à le repousser ! Faut pas que je cède moi aussi. Pffiouw.
Souley - p*tain, tu vas me rendre ouf.
Moi - je t’ai rien demandé moi.
Souley - ta gueule, aggrave pas ton cas stp.
Moi - tu te fous de moi là ? C’est qui qui est en tort là ? Moi ou toi ? Remet la faute sur moi encore ! Azy !
Souley - …
Moi - qu’est-ce qu’il y’a à me regarder là ?
Souley - …
Moi - sort de chez moi, c’est bon, tu m’as saoulé.
Il rigole, ouvre sa veste et en sort des papiers de sa poche intérieure. Il déplie une lettre et me l’a tend.
Souley - j’habite ici moi aussi mdr.
Moi - et alors ? J’en ai rien à cirer là.
Il me sourit, enlève sa veste et l’a met au porte-manteau. Puis il enlève ses chaussures et rentre dans le salon. J’hallucine enfaite…
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Trois mois sont passés. Trois mois où je partage l’appartement avec Souleyman. Des colocataires sans plus. Vous y croyez pas ? Mdr, pourtant vous devrez. Et félicitez-moi d’avoir tenue trois mois sans tomber dans ses filets. Pffiouw. Sa a pas été facile, mais j’ai réussie à tenir trois mois, pourvue que j’y cède pas…
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Souley - t’as mis mon jean à laver ?
Moi - le quel ? Recule de la tv là, je vois pas.
Souley - regard moi quand je te parle là.
Moi - pourquoi faire ? Je t’entend, parle.
Souley - mon jean beige il est où ?
Moi - panier devant la porte de ta chambre.
Souley - pourquoi t’as pas mis dans mon armoire ?
Moi - pas envie.
Il soupire et tourne les talons pour aller direction sa chambre. Je décroche les yeux de la tv et les pose sur lui. Même de dos, il est beau ce connard, mais je peux pas céder sans lui avoir fait regretter son départ.
Souley - AMIRA ELLE PLEURE !
Je me lève et va vers ma chambre et l’a trouve pas dans son lit. Je sors de ma chambre et suit le bruit de ses pleures… Je toque à la porte entre-ouverte de la chambre de Souley et attend.
Souley - entre wesh, c’est pas comme si t’étais une invitée.
Je réponds pas et entre.
Moi - elle est ou Amira ?
Souley - là, vient.
Je relève ma tête et me mets à le fixer avec Amira dans ses bras. Il me sourit et baisse la tête vers Amira.
Souley - j’essaye de la calmer mais elle veut pas sa tutute. Je dois faire quoi ?
Je m’approche de lui méfiante. Et prend Amira dans mes bras et la secoue doucement mais en vain. Je mets ma main sur son front, sa température est normale. J’essayai de comprendre ce qu’elle avait, jusqu’à ce que je constate qu’elle crève de chaud.
Moi - elle a chaud, c’est pour ça.
Je la dépose sur le lit de Souley et lui enlève son pull et son jean, je lui laisse son t-shirt et sa petite culotte.
Souley - j’ouvre la fenêtre.
Moi - si tu veux, c’est ta chambre.
Souley - c’est la tienne aussi.
Moi - …
Souley - on dirait des inconnus toi et moi. Y’a que Amira en commun.
Moi - si tu le dis.
Souley - ma mère elle croit qu’on s’est réconcilier depuis X temps.
Moi - dommage pour elle.
Souley - arrête de faire ta gamine.
Moi - je fais pas ma gamine là. Je pense plutôt qu’à ma gueule, comme t’as fait quand t’es parti.
Il soupire et sort de sa chambre.
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Amir - Samira, je sais mettre mes chaussures tout seul !
Moi - mdr, mais tu sais pas faire tes lacets, nananinaneuh !
Amir - c’est pas juste ! Pff. Je suis plus ton copain.
Moi - mdr, allez met tes chaussures si tu veux sortir avec moi. Sinon tu reste avec ton père.
Amir - non, je viens avec toi !
Souleyman *en arrivant dans le salon* - vous allez où ? T’es venu avec qui Amir ?
Amir - ben avec maman, elle est partie chez le médecin. On va au parc avec Amira !
Souley - fait moi un câlin toi déjà, tu viens et même pas tu dis bonjour à papa !
Amir - pardon.
Il saute sur son père et le câline.
Amir - eh papa, tu m’apprends à faire mes lacets ? Samira elle veut pas.
Moi - mdr n’importe quoi cet enfant. Au lieu de dire des conneries, garde un œil sur Amira, je vais réchauffer le lait.
Je me lève et va dans la cuisine mettre le lait dans le micro-onde.
Souley - tarde pas stp.
Je sursaute et me retourne vers lui. Il était adosser à la porte de la cuisine avec Amira dans les bras.
Moi - t’as pas trouvé mieux que de me faire peur ? Pffiouw.
Souley - c’était pas mon intention. Ma mère, la tienne et la tienne adoptive elles viennent manger ici.
Moi - ma… ma.. mi.. mienne ?
Souley - tu vas pas passer toute ta vie à l’éviter wesh.
Moi - mais Souleeeyman, c’est elle qui m’évite. Moi je veux plus rien savoir, j’ai ma propre famille près de moi, ça me va tu vois. Ça c’est régler avec ma mère adoptive et mes frères Bilel, Foued, Mourad et Samia aussi, ça c’est régler. J’ai grandis avec eux tu vois, c’est eux que j’ai porté dans mon cœur. Pas Anouar, Moad, Hamid, Sadek et Marwan. J’ai pas grandis avec eux, malgré que ça soit mes vrais frères et qu’ils essayent de rattraper le temps perdu et tsa, je les apprécie w’Allah. Mais ma vrai mère, je lui ai jamais rien demander, c’est elle qui a passer sa vie à m’éviter quand Sadek m’invitait chez lui et tout.
Souley - ouais mais, essaye de faire un effort tu vois, c’est ma mère qui l’a forcé à venir.
Moi - je devrais faire quoi comme effort ? La prendre dans mes bras ?
Souley - nan, juste zahma t’essayer d’entamer la discussion avec elle tu vois, même si elle te répond sec ou te répond pas du tout. Au moins, tu fais des efforts et s’il y’a pas d’amélioration, c’est de sa faute, pas la tienne.
Moi - ta raison, j’essayerai.
Souley - tarde pas trop dehors, et si tu veux, je fais des courses si y’a pas un truc.
Moi - non, ça va. Merci Souleyman.
Souley - répète.
Moi - quoi ?
Souley - mon prénom.
Moi - Souleyman.
Souley *en souriant* - ça date, tu m’a pas appeler comme ça.
Moi *en rigolant de gêne* - mdr, ouais c’est ça, allez recule de la porte.
Souley - eh ?
Moi - quoi ?
Souley - j’ai dis à ma mère que t’es enceinte, c’est pour ça qu’elles viennent.
Moi - QUOI ?
Souley - Souleyman quand il veut un gosse.
Moi - dit moi que tu te fous de ma gueule stp. Dit moi que c’est une blague. Dit moi que tu rigole. Stp bordel !
Souley - je voudrai te faire plaisir, mais nan.
Moi - T’ES SERIEUX EN PLUS ?
Souley - ben ouais quand même, bref je sors avec toi.
Moi - ouais, rêve connard.
Je lui prend Amira des bras et sort de l’appartement avec Amir et ma fille. Il m’a énerver en deux minutes cet imbécile. Nan mais oh, je suis même pas enceinte, et en plus de ça je devrais jouer la comédie ce soir devant la famille, comme ça ils se doutent pas qu’on est que des colocataires. J’hallucine quoi. Bordel quoi. Moi enceinte, il a dit !!
Amir - moi je vais jouer au foot avec Zyed mon copain de l’école.
Moi - vas y, fait attention.
Je prends Amira de sa poussette et essaye de la faire marcher. Au bout d’un quart d’heure, elle s’est épuisée. Je l’a remet dans la poussette et lui donne son biberon, puis elle finit par s’endormir.
… - elle s’est déjà endormie ?
Moi - oui.
Souley *en s’asseyant* - faut qu’on parle toi et moi en vrai.
Moi - de quoi encore ? Tu m’épuise.
Souley - c’est toi qui m’énerve ouais. Vient on recommence tout à zéro toi et moi.
Moi - ça m’avait donner envie hier, mais après ce que tu m’a dit la taleur, ça donne plus envie.
Souley - tu voulais que je dise quoi à ma mère moi ? Ouais on se parle à peine même si on habite ensemble ? Y’as pas de ça chez nous, et tu le sais Samira.
Moi - oui, mais c’était pas une raison de dire que je suis enceinte.
Souley - elle me mettait la pression depuis quelques semaines là, fallait bien que je dise un truc.
Moi - tu pouvais dire qu’on avait le temps.
Souley - nan, moi je veux un autre gosse.
Je relève ma tête et le fixe choquer.
Moi - pardon ?
Souley - je te promet de pas faire la même erreur d’avec Amira w’Allah. Y’avais une raison, avant même que t’accouche w’Allah.
Moi - ah ouais, ben je voudrais bien le savoir. Tu me l’a jamais dite ta raison de ta disparition.
Il s’approche de moi, me tire vers lui et me sert dans ses bras.
Souley *en me chuchotant à l’oreille* - la raison est à la maison, vient on rentre et je le dis.
J’avale ma salive doucement, ferme les yeux et essaye de respirer doucement pour que mon cœur arrête d’accélérer. Faut pas que mes sentiments refont surface, faut pas bordel…
Souley - t’as quoi ?
Moi - lâche-moi stp.
Souley - la tombe de mon père que tu manques w’Allah. J’ai beau faire le fils de chien avec toi, mais w’Allah que je crève pour ta gueule Samira. Je t’aime comme Cédric aime Chen, et même pire encore.
Moi - stp, lâche-moi.
Souley - nan, laisse-moi finir. T’essaye d’étouffer tes sentiments, mais t’y arriveras pas. Tema la preuve, je te prends dans mes bras et tu veux que je te lâche pour pas que les sentiments prennent le dessus sur la haine que t’as envers moi quand je t’ai lâché.
Je me détache de lui d’une puissance que je suis tombé par terre. Je me lève et m’assoie de l’autre côté du banc et éclate en sanglots. P*tain de sentiments qui veulent pas partir. Cassez-vous de mon cœur bordel !
Je le sens s’approcher de moi et déposer sa main sur mon dos, je la retire rapidement.
Souley - je voul…
Moi - laisse-moi tranquille !
Souley - je voulais pas te faire pleurer w’Allah, juste te mettre face à la vérité.
Moi - ta gueule, ta gueule, ta gueule.
Malgré la tête baissée, je le vois se lever et se mettre face à moi.
Souley - oublie ce que je t’ai dit, vient on rentre.
Moi - laisse-moi.
Il soupire, enlève ma main de mon visage et me tire vers lui. Il essayait de me prendre dans ses bras, mais je me débattais puis j’ai céder. J’ai finis par pleurer sur son torse.
Souley - w’Allah semhini (pardonne-moi), je voulais pas te faire pleurer comme ça.
Moi - …
Souley - vient on rentre, vient.
Je lui réponds pas, et finit par rentrer avec lui, Amira et Amir.
***
Déjà trois heures qu’on est rentré. Souley et moi, on s’est plus adresser la parole depuis le parc et tant mieux pour moi. J’étais à la cuisine, en train de finir les quelques bricoles en attendant les invités.
TOC ! TOC ! TOC !
Souley - JE VAIS OUVRIR. SAMIRA Y’A LES INVITES.
Moi - j’arrive !
Je me lave les mains, inspire et expire puis sort de la cuisine pour arriver au grand salon.
Moi - salem alaykum.
Sadek - oh ! oh ! oh ! La petite sœur, sava ou quoi ?
Moi - mdr, ben oui hamdulillah et toi ?
Sadek - ben ouais, j’aurai un nouveau neuveu ou nièce, c’est halla ça !
Je dévisage Souley, il me regard et soupire.
Moi - mdr t’inquiète. Sava Anouar ?
Anouar - toi je t’aime pas, elle est ou Amira ma princess ?
Moi - eh vas-y toi, je te fais la gueule. Jamais tu viens chez moi pour moi, tu viens que pour Amira.
Anouar - en même temps, ta vie ne m’intéresse pas hein. Je fais comme chez moi, je vais chercher Amira dans ta chambre.
Moi - ouais vas-y, pfff.
Anouar - un bébé qui est enceinte d’un bébé, du jamais vu.
Moi - mais dégage ouais !
Anouar - mdr.
Je m’assoie à coté de Souley pour faire bonne impression et sourit. Y’avais mes frères biologiques : Marwan, Moad, Hamid, Sadek et Anouar qui est parti chercher Amira dans ma chambre. Ma vrai mère n’était pas là, je ne sais pas la raison mais tant mieux, des efforts en moins à faire ce soir. Pourvue, qu’elle ne se ramène pas dans la soirée. Prions ensemble.
Souley - khelti elle est pas venue ?
Marwan - nan, elle se sent pas bien elle a dit.
Sadek - nan la vérité, elle veut pas venir juste.
Hamid - nan mais j’ai une nièce et je vais avoir un autre neuveu/nièce quoi. J’y crois toujours pas w’Allah.
Bon, je vous explique : Hamid, il est toujours sous le choc d’avoir une sœur. D’après lui, c’est « un évènement trop sentimental » qui vient chambouler sa vie… --‘ mdr, il réalise pas encore qu’il a une nièce et une sœur, mais cava ça rentre doucement dans sa tête.
Nous - ta gueule.
Hamid - il est où l’autre ? pourquoi il tarde à prendre Amira ? Il lui change les couches ou quoi ?
Moi - mais non, attend je vais voir.
Je me lève et va dans ma chambre, et le trouve assied en train de se tenir la tête entres ses mains. Amira elle dormait tranquillement dans son lit.
Moi - Anouar ? Ca va pas ?
Il relève sa tête et me fixe.
Anouar - je suis un bouffon moi hein. Un gros bouffon.
Moi - qu’est ce que t’as ?
Anouar - j’étais deter à être serieux, et elle me carotte. Bouffon que je suis.
Moi - qui ?
Anouar - tu connais pas, azy oublie. Vient, laisse Amira dormir.
Moi - si ça va pas, je suis là hein.
Anouar - je sais.
On retourne dans le salon. Il va s’installer à côté de Marwan, et moi à côté de Souley. Ils ont commencé à parler de tout et de rien puis la famille de Souley est arriver : Samir avec Sara, Leila et Malik et khelti Fatima . Ils se sont installer dans le salon, je me suis lever à la cuisine pour leurs ramener à manger et tsa.
Leila - on t’aide bagra ?
Moi - nan, ça va. Allez vous assoir.
Sara - cachotière, elle est enceinte et même pas elle nous appelle pour nous le dire.
Moi - je suis pas enceinte. Allez demander des comptes à Souley.
Leila - SOULEYMAN VIENT !
Je me retourne et termine de remplir les assiettes.
Souley - quoi ?
Leila - Samira, elle veut que tu lui fasse un gosse, elle a dit.
Je clignote des yeux et me retourne d’un coup vers elle. Elle est sérieuse elle ?
Moi - tu te fous de moi toi ?
Leila - c’est toi qui as dit de demander des comptes à Souley. Pas vrai Sara ?
Sara - je confirme.
Moi - eh mais azy, j’ai jamais dit ça. Je vais te faire accoucher ta fille prématuré moi !
Leila - laisse mon ventre tranquille un peu oh, jalouse que t’es. Souley, t’as vue, elle rêve d’avoir un ventre comme moi.
J’ai même plus répondue et je me suis retourné pour finir les assiettes. Je sentais mes joues rouges de honte. Bordel.
Leila - tu dis rien ? Oh mon grand frère d’amour il est gêner mdr.
Souley - je vais te frapper moi. Aide là ou va t’assoir, mais soit sert à rien soit sert à quelque chose.
Leila - pfff. Tel épouse, tel époux.
Souley - tu parles trop, et Malik ton rima il parle trop aussi. On pourrait dire aussi tel épouse, tel époux.
Leila - nan mais oh ! Je suis fatiguer, je vais m’assoir près de MON EPOUX hein.
Moi - Sara, va t’assoir aussi. J’ai tout finit de toute façon.
Sara - t’es sure ?
Moi - ouais w’Allah.
Sara - bon ben je vous laisse entre amoureux.
Bordel ! J’avais oublié qu’il y’avait Souley encore. Je me retourne vers Sara et lui fait des gros yeux pour qu’elle reste, cette clocharde me sourit et sortie de la cuisine.
Souley - je t’aide Samira ?
Moi - non ça va, tu peux aller t’assoir avec ta mère.
Souley - t’es sure ?
Moi - oui oui t’inquiète.
Je sens des mains sur mes hanches. Je les retire directement.
Moi - arrête ça.
Il me répond pas et me fait retourner vers lui. Il attrape mes deux mains et me les sere doucement.
Moi - qu’est ce qu’il y’a ?
Souley - j’ai proposer à ma mère de venir habiter chez nous. Comme maintenant, tout le monde s’est marier, ben elle est toute seule à la maison. Et comme nous on a un appartement plus grand que Samir et Leila, ben j’ai penser que ça serait halla qu’on fait la chambre à deux et je donne la mienne à ma mère. T’en pense quoi ?
Moi - je… Je… Arrête de me regarder comme ça déjà, tu me stresse !!
Souley - mdr, ah ouais ?
Moi - oui.
Souley - je te stresse ou je te fais battre ton cœur ?
Je lui répond pas et avale ma salive difficilement.
Souley - j’arrete c’est bon, je veux pas que tu me fais pareil qu’au parc. T’en pense quoi ? T’es d’accord ?
Moi - bien sur, c’est ta mère. J’ai pas à imposer.
Souley - si, tu peux puis ce qu’on devrait repartager la même chambre.
Moi - non, ça ira c’est bon. Dit lui de venir habiter ici, ça me fera de la compagnie en plus.
Souley - la tête de ma mère que je t’aime.
Je le regard et fait des gros yeux.
Souley - quoi ?
Moi - t’es conscient de ce que tu viens de dire là ?
Souley - ben ouais, je t’aime. Je crêve pour toi. T’as toujours été ma femme même si tu veux plus de moi.
Je baisse la tête et la releve. P*tain, Souley qui me dit je t’aime. Depuis le temps que je reve de ce « je t’aime » dite ouvertement.
Moi - c’est pas ça… Je… Je veux de toi, mais j’ai juste peur que tu me lâche encore une fois.
Souley - sur la tombe de mon père, Samira, je te lâche plus jusqu’à la mort.
Je lui répond et sourit. Je sais pas ce qu’il m’a pris, mais je lui ai sauter dessus et je l’ai embrasser. Il m’avait manquer p*tain. Même quand je cachais mes sentiments à son égard, je m’étouffais de le voir près de moi sans qu’on se parle comme un couple normale.
Souley - waah. Je vais pas te lâcher ce soir. J’ai retrouver ma femme sa race.
Moi - mdr, dégage ouais. Il prend la confiance lui.
Il me répond et m’embrasse le cou. Je me mis à rigoler parce que ça me chatouillait.
Moi - arrête, tu me chatouille là. Arrête stp ! Mddr.
… - hmm..
Il se décolle de moi et on regard vers la porte de la cuisine : khelti Fatima.
Souley - ah… euh… Yemma, ça va ? T’as besoin de quelque chose ?
Khelti Fatima - non non, tu veux de l’aide benthi ?
Moi - ah… euh… non non khelti, va t’assoir, j’ai finis, je dépose maintenant tout sur la table. J’arrive.
Khelti - t’es sure ? Attend je fais lever les deux bagra là-bas.
Souley - eh Yemma, on a parlé moi et Samira là. Et.. euh…
Khelti Fatima - qu’est-ce qu’il y’a ? Rien de grave ?
Souley - non, non ça va. Tu vois, comme on a une pièce de libre et tsa ben on s’est dit que tu pourras habiter avec nous puis que maintenant on est tous parti de la maison. Si tu veux hein, je ne veux pas te forcer.
Elle sourit et vient vers nous et nous prend dans ses bras.
Khelti Fatima - je dis pas non, comme ça là je pourrai éduquer mes petits enfants. Si ça vous dérange, je reste pas hein.
Moi - pourquoi ça nous dérangerai ? Si on te l’a proposer c’est que c’est pas un souci khelti.
Elle nous lâche et nous sourit encore une fois. Elle passe sa main sur mon ventre et de son autre main, elle prend la main de Souley et l’a met sur mon ventre aussi.
Khelti Fatima - lui, je vais le gâter de bisous. Je l’aime déjà, t’as pas interet à la perdre donc tu fais pas d’effort hein !
J’ai commencé à rougir de fou. Je suis même pas enceinte mais elle aime mon ventre… Je regard Souley, il souriait avec sa mère comme un con, à croire qu’il y’a vraiment un bébé en moi.
Souley - insh’Allah mama.
Il m’embrasse le front et me sourit.
Khelti Fatima - y’Allah, je t’aide à déposer à manger.
La soirée c’était passer à raconter tout et n’importe quoi. On a surtout bien rigoler Hamdulillah. C’est dans les moments comme ça qu’on se rend compte de la valeur d’une famille, d’une vrai famille.
Souley - revenez quand vous voulez khelti hein !
Ma mère adoptive - eh t’as cru que j’ai besoin de ton accord à toi ? Prend soin de ma fille ! Y’Allah bslema, bisou hbiba dyeli !
Bilel - sale moche va, ta bouffe elle était trop bonne ce soir.
Moi - à croire que les autres jours, c’était pas bon.
Bilel - je reste sans commentaires c’est mieux, je veux pas te vexer.
Moi - eh vas-y je te fais la gueule, c’est bon.
Bilel - mdr pas grave, azy ciao la famille !
On finit par dire au revoir à tout le monde et ferme la porte.
Souley - la prière avant hein.
Moi - je vais prier là.
Souley - t’as tes ablutions ?
Moi - oui et toi ?
Souley - nan, je vais les faire là.
Moi - je t’attend ou je prie déjà ?
Souley - on prie ensemble, attend-moi.
Moi - d’accord, je finis de ranger la cuisine.
______________
Souleyman - SAMIRA !
Je vais voir ce qu’il a à crier comme ça. Il est dans notre chambre en train de regarder par-dessus le lit d’Amira.
Moi - qu’est ce qu’il y’a ?
Souleyman - vient, vient, approche. Tema ! Tema !
Je m’approch de lui et le regard et regard Amira.
Moi - quoi ?
Souley - regard wesh, elle dort comme toi !
Moi – c'est pour sa que tu m'appels ?
Souleyman – elle est belle comme sa mère.
Moi – heureusement qu'elle te ressemble pas la pauvre.
Souleyman – ah ouai ?
Moi – ouai, mdr.
Il m'attrape, me porte comme un sac à patate, et me jette sur le lit puis se met sur moi.
Souley - demain, ma mère elle vient habiter avec nous. Halla.
Moi - ben oui, tu pourras plus m’imposer. T’auras deux femmes sur ton dos. Mddr, surtout que ta mère elle est toujours de mon coté, c’est trop mignon.
Souley - connasse.
Il se met à m’embrasser le cou.
Moi - dégage, je suis crever.
Souley - je profite qu’il y’a pas ma mère wesh.
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Gynécologue - félicitation madame, vous êtes enceinte.
Souley il prend la gynéco dans ses bras et l’a remercie.
Souley - p*tain ! Ta mère, t’es enceinte ! JE SUIS REFAIT !
Moi - c’est pas une raison de prendre la gynéco dans tes bras.
Souley - mdddrr, smeh hbiba dyeli.
Moi - ouais c’est ça, rattrape toi. Mdr, je parie c’est une fille.
Souley - nan un garcon wesh, faut qu’on fait chacun son tour. Genre un garcon, une fille, un garçon, une fille et ect… Y’a Amir, puis Amira, maintenant faut un garçon puis après une fille.
Moi - nan mais il a tout programmer celui-là.
Il me sourit tristement puis sort m’attendre dehors. Je me lève et va le rejoindre pour rentrer à la maison.
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Souleyman – j'espère que sa sera un garçon In shâ Allah qu'il soit beau gosse comme son père. Et qu'il est le même sourire que sa mère, et qu’il tombe sur une femme comme toi In shâ Allah.
il m'embrasse le front et le ventre.
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Gynécologue – Et bien c'est un petit garçons que j'aperçois.
Moi- c'est vrai ? Oh mon mari il va être content.
Je la remercie, essuie le gel et sort de son bureau. Je me presse d’appeler Souley.
Moi - allo ?
Souley - alors ? Une fille ou un garçon ?
Moi - rentre et je te dis mdr.
Souley - j’ai bientôt finit le boulot, quand je sors, je vais à la mosquée puis je rentre. D’accord omri ?
Moi - oui, fait attention à la route. Ne tarde pas sinon je te le dirai pas.
Souley - tu pourras pas me faire ça mdr, je suis sûr que c’est un garçon w’Allah.
Moi - ah ouais ?
Souley - ouais w’Allah, j’ai un pressentiment que c’est un garçon. Instinct paternelle je te dis.
Moi - mskine Souleyman. Tard pas juste, bisou.
Souley - eh attend.
Moi - quoi ?
Souley - je suis fière de t’avoir comme femme. Première fois que je suis fière de moi w’Allah, je suis fière de ne pas avoir lâché l’affaire avec toi. Je t’aime, je t’aime, je t’aime, je t’aime. Je t’aimerai toute ma vie. J’espère que mon père il est fier de moi w’Allah.
Moi - je suis sûre qu’il est fier de toi comme moi je suis fier de ce que t’es devenu w’Allah.
Souley - je t’aime.
Moi - moi aussi, qu’est ce qu’il te prend aujourd’hui ? T’es plutôt sentimentale toi.
Souley - je sais pas, j’ai l’impression que c… Rien, laisse tomber. Je te laisse hbiba. N’brik.
Sans me laisser lui répondre, il me raccroche dessus. Je fais pas trop attention et va faire quelques courses au centre commercial avec Amira. Je finis par rentrer à cause de la fatigue et de mon ventre de quatre mois.
Il est 19h30, Souleyman devrait pas tarder à rentrer. Je me maquille vite fait et voilà, belle pour mon mari.
20h : pas de traces de Souley.
21h27 : toujours rien. Je perds patience. Je commence à le harceler d’appels mais sans décrochage de l’autre côté de l’appareil. Souley répond bordel !
22h12 : là, j’ai commencé sérieusement à m’inquiéter. Son phone a finit pas s’éteint je pense puis ce que je tombe directement sur messagerie maintenant. Je réveille khelti Fatima ou pas ? Je sais pas… J’attends un peu, peut-être c’est moi qui me fais des films.
23h07 : voilà, j’ai finis par appeler tout notre entourage, mais personne ne sait où il est. Je finis par appeler les commissariats, on sait jamais s’il y’a eu un petit souci et finit en g.a.v à cause de sa colère qu’il n’arrive pas à contrôler, mais en vain. Pas de Souley dans aucuns commissariats.
Khelti Fatima - Samira ? Tu dors pas encore ?
Je relève ma tête, l’a regard et la baisse.
Khelti - qu’est-ce qu’il y’a ? Pourquoi tu pleures ?
Moi - Souleyman il est pas rentrer et personne l’a vue.
Khelti - ah wili ! BismiLlah Irahmani Rahim.
23h41 : TOC ! TOC ! TOC !
Khelti Fatima - kelb ! Il est là, c’est jusqu’à maintenant qu’il rentrer !
On se précipite vers la porte. Elle ouvre la porte et lâche un :
Khelti Fatima - Kelb ! C’est maintenant que tu re…
Deux hommes vêtus d’une veste qu’on reconnait de loin, une allure qui ne trompe personne : deux inspecteurs.
Khelti Fatima - BismiLlah Irahmani Rahim. Qu’est-ce qu’il y’a monsieur ?
L’inspecteur 1 - bonjour, madame Samira A**** est là ?
Moi - oui oui, c’est moi. Qu’est-ce qu’il y’a ?
Le deuxième inspecteur jette un coup d’œil vers moi ventre et donne un coup de coude à son collègue et lui montre mon ventre des yeux.
L’inspecteur 1 - …
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« C'est fou quand même, je me rappel de ce jours comme si c'était hier et pourtant... Ce jour où mon père adoptif voulait à tout prix me marier au fils de son ami. Ce jour, où j’ai décidé de prendre la fuite. Ce jour, où j’ai appris qu’une amitié peut se détruire à tout moment. Ce jour, où j’ai vu Souley pour la premièrement fois sur ce quai. Ce jour, où il a voulu m’aider en me proposant un chewing-gum. Ce jour, où pour la première fois de ma vie j’ai osé voler de la drogue… Ce jour, où j’ai mis ma fièrté de côté et j’ai appelé Leila. Ce jour où ma vie à basculer vers un monde méfiant avant d’être confiant. Tellement de chose à raconter, tellement… Tellement de souvenirs, de morales… Samira ? Qu’est-ce que tu croyais ? Que la vie était parfaite ? T’as eu faux en y croyant ça, la vie te l’a prouvé depuis ta fuite. Souleyman à changer ta vie. Ils l’ont tous changer, tu y as participé également, en étant la principale actrice mais, sans eux t’en serais jamais là. Jamais. Tu remercies ton Seigneur dans toutes tes prières, tu t’es rendue compte de la valeur de la vie au bon moment. Le Tout-Puissant vous éprouve, non pour ennuyer, mais plutôt pour que vous en sortez meilleurs. T’as appris à connaitre ce sentiment, ce sentiment que tu n’as jamais connue au paravent avant l’arrivée de Souley dans ta vie. T’as appris à connaître, non l’amour parfait, mais l’amour, le vrai, le sincère, le dangereux, le relationnelle. L’amour avec complicité où t’as appris à ranger ta fierté. T’en as tant appris. Et tant à tant appris à tes lectrices en leurs racontant ton vécu, enfin… Je l’espère, j’espère que chacune des lectrices en tire leurs PROPRES LECONS de vie et en font une force pour leurs vies ici-bas. Ne jamais perdre espoirs. Dieu est juste avec tout le monde. T’en a tellement souffert, tellement pleurer, tellement rigoler, tellement crier, tellement sombrer et surtout : t’as su te relever dans tous les cas. Souleyman est celui qui a voler ton premier baiser, ta dignité, ton honneur, tes pleures, tes joies et surtout : ton cœur. En retour, t’as peut-être eu de la méchanceté, de l’incompréhension, de la haine mais c’est seul qui a su t’accepter tel que t’es, qui a su te donner cette chance d’être mère, qui a su te prouver son amour sincère à ton égard. T’as fait de lui un homme avec des valeurs, des principes et une destination final : viser le paradis. T’as su le remettre dans le droit chemin : le chemin d’un vrai croyant. Le repentir sincère est la meilleure façon de se faire pardonner de tous ses péchés. C’est avec lui que t’as décidé de finir ta vie pour ton bonheur, son bonheur et votre bonheur : Amira et Amir. Souley & Samira a la vie à la muerte. Souley, pourquoi ? Qu’est-ce qu’il t’es arrivé ? Gardons espoirs. »
La cité tue les rêves.
Lettre à Souleyman :
« Souleyman… Par où commencer ? Peut-être par le commencement ? Oui je pense aussi. Commençons par ce jour où tu es rentré dans ma vie… Non, au final. J’y arrive pas, j’y arrive pas à parler sans avoir su la vérité... Je t’ai tellement tout dit, tout donné que j’ai l’impression qu’il fallait que je t’en donne encore plus. Oui encore plus… Même si tu le sais déjà, faut que je te l’écrive quand même : je t’aime. A la vie, à la mort. Je t’aime du plus profond de mon être. Je te donnerai ma vie s’il le fallait. J’ai tant de choses à te dire que je ne sais pas par quoi commencer tellement tout se chamboule dans ma tête. J’essaye de faire comme eux, eux ? Ceux qui disent « l’écriture comme échappatoire ». J’essaye, mais je n’y arrive pas. Moi, ça me fait bouffer le cerveau à force d’écrire, déchirer la feuille et reprendre une autre feuille et recommencer ce mouvement cinquante fois. Je suis perdue… J’ai besoin de toi. En retour, tu m’as donné Amira et un petit bout de toi en moi. Comment t’en remercier ? J’ai l’impression de ne pas avoir été à la hauteur d’une vraie femme… Souleyman ? Sache juste que nous sommes à deux l’antidote de ce venin qui traverse nos veines.. Oui, nous sonnes qu’un . »
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23h41 : TOC ! TOC ! TOC !
Khelti Fatima - kelb ! Il est là, c’est jusqu’à maintenant qu’il rentrer !
On se précipite vers la porte. Elle ouvre la porte et lâche un :
Khelti Fatima - Kelb ! C’est maintenant que tu re…
Deux hommes vêtus d’une veste qu’on reconnait de loin, une allure qui ne trompe personne : deux inspecteurs.
Khelti Fatima - BismiLlah Irahmani Rahim. Qu’est-ce qu’il y’a monsieur ?
L’inspecteur 1 - bonjour, madame Samira A**** est là ?
Moi - oui oui, c’est moi. Qu’est-ce qu’il y’a ?
Le deuxième inspecteur jette un coup d’œil vers mon ventre et donne un coup de coude à son collègue et lui montre mon ventre des yeux.
Moi - c’est à propos de quoi ?!?
L’inspecteur - à propos de votre époux…
Sans attendre la nouvelle, des perles salées coulent sur mes joues…
Moi - il… Il…
Khelti - MALO MON FILS (il a quoi mon fils) ?!
L’inspecteur 1 - madame nous sommes désolé, nous n…
Je le laisse pas finir sa phrase, que je perdis connaissance dû stresse.
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THE END.
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La fin de la chronique est enfin là lol. A vrai dire, je sais pas par quoi commencer. Vous vous demandez surement qu’est-ce qu’il est arriver à Souleyman c’est ça ? Ben vous le serais seulement à la fin de cette partie mdr. Les suspens et moi, ça à toujours coller et vous l’avez du remarquer je pense mdr.
Je vais commencer par ceux qu’ils sont devenus je pense, afin de finir par ce que j’ai voulue vous faire passer comme morale et pour finir vous dire ce qu’il lui est arriver à Souley.
Bon, les personnages (je dis ceux qui étaient le plus important dans la chronique) :
Khelti Fatima : la mère de Souley. Ma belle-mère. Elle habite toujours avec nous, et j’en suis contente w’Allah. Sans elle, je sais pas ce que je ferai. Elle a ateint le même degré que ma mère adoptive dans mon cœur .
Ma mère adoptive : elle reste la seule mère qui m’a élever, qui m’a appris et qui m’a comprise. Je l’aime de fou . Elle se comporte bien El Hamdulillah.
Mon père adoptif : alors lui, il s’est calmer mais de fou. La plupart du temps, il l’a passe à la mosquée comparait à avant. Il a enfin compris la valeur de cette vie. Il m’a demandé des excuses et j’ai bien sûr accepté. Je suis personne pour ne pas pardonner. Il passe de temps en temps prendre Amir, Amira et Soufiane pour les faire sortir. Je l’apprécie mais sans plus, j’ai pardonné mais pas oublier. Il va également bien Hamdulillah.
Ma mère biologique (ma vrai mère quoi) : elle passe de temps en temps pour voir les enfants mais c’est sans plus avec elle. Quand elle vient, c’est comme si c’était une voisine qui se ramener boire du café. Elle a jamais fait des efforts et je lui en ai jamais demandé. On se parle en bref. J’en demande pas plus, autant se parler bref que de s’ignorer hein.
Khelti Khadija : La mère de Yassine. Ma voisine. Elle et ma belle-mère, elles sont devenues les meilleures amies du monde lol, y’a pas un jour où elles se parlent pas. Elle se comporte bien également HamduliLlah.
Sadek (mon vrai frère) : lui il va bien HamduliLlah. Il s’est marier y’a quelques temps et sa femme est enceinte d’une petite fille.
Hamid : lui, il gatte Sofiane mon fils, il va bien aussi HamduliLlah. Il s’est fiancé y’a un an et quelques, je sais pas il attend quoi pour se marier. --‘ Il va bien HamduliLlah.
Moad : lui, toujours isoler de tout lol. Il est toujours dans son monde à lui mais quand il s’agit de m’aider, il est toujours là . Pas marier ni de fille en vue, d’après lui « sa sert à rien w’Allah, juste elle va te vider ta carte bleu ». Il va également bien hmdl.
Anouar : lui, quand il vient chez moi c’est juste pour Amira mdr. Il veut plus se marier depuis que sa « meuf » lui a fait doublette ou je ne sais plus c’était quoi la story. Il va bien hamduliLlah aussi.
Marwan : Marwan… Marwan… Mon grand frère qui a toujours été là dès le début jusqu’à la fin sans qu’on sache qu’on était frères et sœurs. Je vous explique à la fin de partie ce qu’il est devenu…
Bilel : grand frère adoptive qui pensait toujours bien faire. Actuellement, il va bien hamduliLlah, il est marié à sa meuf, même elle s’appellait Fadoua. Ils font le tour du monde eux deux mdr.
Mourad : lui, il va très bien hamduliLlah aussi. Il a ouvert son propre entreprise et y gagne bien hmdl. Il est marié et père de deux petits jumeaux.
Foued : lui, il vient tout juste de se fiancé avec une fille de la cité. Au début, ça à pas été facile parce que son ex, celle qui lui avait fait croire qu’elle était morte ben elle a refait surface… Mais maintenant sa va, tout s’est remis dans l’ordre et il se marie dans quelques mois insh’Allah.
Samia : elle va bien hamduliLlah, elle est enceinte de son cinquième gosses mdr. Elle pert pas de temps elle. Ses enfants ils vont bien hamduliLlah aussi.
Sara : ma cousine, la femme de mon beau-frère Souleyman. Elle va bien hamduliLlah. Toujours pas d’enfants, d’après elle « faut profiter de la vie ». On la laisse dans son délire hein, elle passe de temps en temps chez moi aussi. Je l’aime trop.
Samir : frère de Souleyman, il va très bien hamduliLlah maintenant. Il veut des enfants mais Sara elle en veut pas maintenant, et des fois il vient s’en plaindre chez moi mais je peux rien y faire moi. Lui il gatte de trop Amir.
Leila : ma belle-sœur d’amour lol, elle se comporte bien également. Elle a eu un petit garçon qu’elle a appelé Souleyman.. Il est mignon mais qu’est-ce qu’il me rend folle quand il vient chez moi.
Niro alias Hamza : bon lui, il a divorcé de sa femme là et il vit dans un appartement seul avec Yassine. Il va bien, zahma maintenant il travaille, d’après lui « il est dans le turfu ». --‘
Yassine : le fils de khelti Khadija. Mon ex-voisin. Lui et Niro, j’ignore comment ils se sont connu mais ils sont meilleurs amis maintenant zahma. Il cohabite (je sais pas si ça se dit) avec Hamza (Niro). Il va bien aussi.
Wassima : la mère d’Amir. Elle m’a donner la responsabilité d’Amir parce que son mari ne veut pas d’Amir… --‘ J’ai accepté avec joie, je le considère comme mon propre fils w’Allah. Wassima et moi on se parle de temps en temps, elle prend des nouvelles de son fils et quand elle me dit de lui passer le salem à Amir : je le fais mais Amir, d’après lui « je m’enfou de sa vie à cela, c’est pas ma mère. C’est toi ma mère ». J’ai tenté plusieurs fois de le raisonner mais sa haine prend souvent le dessus…
Yanis : lui, ben lui il s'est marier avec Amina, la cousine à Souley. Celle qui habitait seule là même (au début de la chro).
Amine : mon ex-meilleur pote. Bon, ben lui, dernièrement il était parti au bled et il est plus jamais revenu lol. Et j'ai aucune nouvelles de lui.
Kezia : ma ex-meilleure pote. Ben elle, aucune signe de vie de sa part.
Je pense avoir fait le tour de tout le monde, si y’en a que j’ai oublié et que vous voulez savoir ce qu’ils sont devenues : faites-en moi part en commentaires ou en message privé de la page.
Et la meilleure pour la fin bien sûre : Moi ! Mdr.
Ben moi, actuellement je vais bien hamduliLlah comparer à trois ans de ça… J’ai accouché d’un petit garçon que j’ai appelé Soufiane. Une photocopie de son père. Après mon accouchement, je me suis voilée hamduliLlah. Pour trouver un taff ça à pas été facile, mais maintenant ça va, je travaille dans un magasin à porter de mains de 10h à 17h sauf que je dois mettre mon voile en arrière mais c’est mieux que de l’enlever complètement hein.. Mon travail me plait w’Allah, surtout l’horaire car j’ai le temps de déposer les petits à l’école et d’aller les chercher après le travail. Tout va pour le mieux hamduliLlah. Je ne peux en demander plus.
Voila, la chronique a pris fin. Vous vous demandez tous après Souley et Marwan hein ? Je vais vous résumer ça en une anecdote qui s’est passer y’a deux semaines et vous dire ce qu’il s’est passer après mon évanouissement face aux inspecteurs.
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ANECDOTE.
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Moi - Tu fais un vœu ma princess ? Et après tu souffle.
Amira – je peux demander ce que je veux ?
Amir - ouais tout ! Vite, j’ai faim !
Samir - mddr hafrit, je vais te frapper. Parle lui bien.
Amir - c’est bon. Amira, regard. Ferme tes yeux et pense force à ce que tu veux et tu ouvres tes yeux et tu souffle !
Amira elle ferme les yeux et dit :
Amira – J'aimerai que Papa il soit là, avec nous.
Un silence s'installe.
Khelti Fatima (ma belle-mère) - insh'Allah benthi. Allez souffle.
C'est les 5 ans d’Amira. Elle souffle ses bougies à l’aide de son petit frère Soufiane et court vers ses cadeaux afin de les ouvrir.
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FIN DE L’ANECDOTE
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Cela fait déjà 3 ans que Souleyman a rendu son âme, qu'il a laissé sa vie d'ici-bas pour rejoindre le Très-Haut.
Le pourquoi du comment ? C’est simple : maladie qui l’a tué… Quand il m’avait lâché après l’accouchement d’Amira, c’était à cause de ça et conne que je suis, j’avais rien remarqué… Comment je l’ai su ? A cause de son médecin traitent et des lettres qu’il m’avait laissé.
Et ce qu’il consterne Marwan, ben lui, il a également rendue son âme. Cause ? Suicide. Après la mort de Souley, il l’a pas du tout digérer. Il avait fini en taule pour une connerie et s’est tuer là-bas.
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La morale de la chronique, je voulais vous la faire mais au final, j’ai changé d’avis : faites-en une morale à vous-même, donnez-vous des projets, visez plus hauts. Tirez chaque faits de la chronique, et en faites une morale qui pourrait vous aidez dans votre vie .
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Y’en a avec qui j’ai eu l’occasion de parler, d’autres non : mais je vous aime tous et toute fi’Allah. Que Dieu vous protège et protège votre famille. Que Dieu vous éloigne des gens du mal et vous rapporte pleins de bien faits dans votre vie. Je vous souhaite à toutes le bonheur !
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The End. Toutes choses ont une fin . Pour ce qu'il en ai de faire une autre chronique, elle est en cours et en ligne sur : https://www.facebook.com/SoumyaGhettoGame?ref_type=bookmark.
Et j'ai réactiver les messages de la page pour que vous puissez envoyer un message ou demander de la pub. Bisous .
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De votre chroniqueuse à vous .
