73. – « Souleyman connard n'1 & Azur connard n'2. »
Moi – faut dire ce qu’il y’a à la fin, je dis rien, je rigole et tsa, mais Marwan j’ai un fort lien avec lui, même si ces derniers temps c’est tendus, moi je veux pas qu’il parte sans m’avoir pardonner. On est gentilles, mais faut pas abuser aussi.
Ahmed – ferme ta gueule ! Tu zehef là ! Déjà que tu m’a coller pour venir, alors fait toi petite là !
Il m’énerve lui à parler pour rien dire, à croire que je l’ai causer lui. Je voulais atteindre Souleyman moi, je voulais que ça le touche.
Medecin – bonjour.
Moi – alors ?
Medecin – je pourrai avoir les coordonnés du jeune blesser ?
Souleyman – Marw…
Je lui coupe la parole et répond à sa place
Moi – Marwan ****, né ici, le ** **** 19**.
Medecin – très bien. Merci.
Moi – comment ça merci ? Il a quoi ?
Medecin – nous nous occupons de lui madame, veuillez patienter svp.
Je souppire et me rassoie à coté d’Ahmed. Le temps passe tel un escargot w’Allah. Moi j’étais loin dans mes pensés, je fixai Souleyman et en même temps je reflechissais, en sah je suis trop méchante, je li lance des pics de gamine hors qu’il a déjà des problemes avec son fils. En plus si son fils il clamse, sa seraqit de ma faute et non de la sienne, c’est moi qui aura refuser de l’aider. Et si je l’aidai sans l’aider ? Je lui donne l’argent et c’est tout, en plus je perd quoi à dire qui à les sacs ? Rien, puis ce que Ahmed il m’a dis qu’il n’y aurai pas de mort, jute des récupération. On verra ça demain, le sommeil m’appelle. Je finis par m’endormir sur l’épaule d’Ahme jusqu’à ce que Ahmed me reveille, on était déjà en plein matin. Je me lève d’un coup et saute sur le medecin pour savoir ce qu’il a.
Moi – commence même pas avec ta biologie, dites nous cash ce qu’il a.
Medecin – très bien madame, calmez-vous. Il a su s’en tirer sur ce coup, malgré que la blessure est de plusieurs points de souture.
El Hamdoulillah ya Rabbi, un soucis en moins. Je regard Souleyman du coin de l’œil, il sourit difficillement, et Ahmed de même. J’ai pas de temps à perdre à attendre à aller le voir, faut que je retrouve le gars qui serait près à me donner l’argent, mais je le trouve ou moi ? Je veux as que Ahmed il le sache. J’aime pas quand ma famille sache des trucs comme ça. Et si j’allais au dépôt d’hier soir ? Oei bonne idée sah ! En plus Hamdoulillah j’ai bien fais attention à ou est ce qu’on allait et quel direction on prenais en allant jusqu’à là-bas.
Moi – d’accord, merci, au revoir. Azy ciao.
Je commencais à partir quand y’a Ahmed qui crie. –‘
Ahmed – OH TU VA OU LA ?
Moi – on se rejoind à la maison, j’ai un truc à faire là ! Bisouuu !
Je lui laisse pas le temps de me répondre que je nashave en courant. Après deux bonnes heures de route à trouver le chemin à pieds, j’arrive enfin devant ce dépôt abandonné.
Une fois devant le vieux dépôt abandonnée, je me dirige vers un arbre et arache une branche, on sait jamais tahu. Je fais le tour du dépôt tout en étant prudente. Faudrai faire un choix parce qu’il y’avais plusieurs portes là. Je rentre dans cella ? Nan dans l’autre c’est mieux. Bref je suis rester dix bonne minutes à me décider par la quelles de ces cinq portes rentrer jusqu’à ce que j’entend quelqu’un qui crit. J’ai sursauter sur place, qui pourrait crier de cette manière à une heure pareil ? Je prend le risque, merlish. J’avance vers le bruit, qui revenait de la porte de secours du dépôt, j’ouvre doucement la porte et rentre, je descend quelques marche et je vois de la lumières. Je me colle au mur et avance doucement, les crits se fessaient de plus en plus entendre. Une meuf qui criait. J’arrive à l’encardre de la deuxième porte et penetre ma tête doucement pour voir ce qu’il y’a. Pleins de gars entrainent de discuter tranquillement, une meuf dans un coin entraine de pleurer et de crier à l’aide. Dommage que je ne peux pas voir son visage.
J’étais tranquille entraine de regarder la grande salle, quand d’un cou je me fais pousser violament dans la salle et que je tombe par terre. Tout les regars braquer sur moi. P*tain. Je me retourne pour voir qui m’a pousser. C’était un gars qi fessait le double des muscles de Booba. Bref, c’est bon je ferme ma gueule, j’ai pas envie de mourir maintenant moi.
Double’Booba – matez y’a qui qui nous admirer.
Un gars – elle sort d’où cella ?
Bon ben lui, il a rater ces cours de chimie et biologie à ce que je vois.
Double’Booba – oh chef ! Y’a quelqu’un qui est venu te rendre visite !
Le « chef » il se ramène, ça va lui il fessait moins peur de Double’Booba.
Chef – t’es qui toi ?
Je comptait bien le rabaisser et lui faire la misére comme je l’avais fais au tout début avec Niro. Je déteste les gens qui prennent les autres our leurs chiens.
Moi – un humain.
Croiyez pas que j’avais pas peur hein, juste je cachais ma peur pour faire genre la meuf qui à peur de rien. Parce que en voyant la meuf qui pleurai t et criait à l’aide sans que personne ne l’a calcule, je crainait le pire pour moi.
Chef – c’est marrent ?
Moi – sah ? Je sais pas, y’en a qui rigole, d’autres nan. Donc tout dépend de toi.
Chef – elle sort d’où cella ?
Double’Booba – elle tema par la porte, et quand je suis désendu je l’ai vu là, et je l’ai pousser.
Chef – tu veux quoi là ?
Moi – ben rien, je me suis perdu.
Il rigole nerveusement et me relève en m’attrappant par les cheveux et aroche son visage du mien.
Chef – tu crois l’a faire à qui là ? Petite p*te, parle avant que je t’encaisse. Tu fous quoi là ?
Moi – déjà, avant de mettre qui que ce soit devant ton visage, évite de parler quand ta bouche elle est pas laver tahu.
C’était pas vrai hein, je sentais rien comme allaine, mais j’ai dis ça comme ça pour pas répondre à sa question bidon.
D’un coup je me ramasse une gifle phénoménale, sah je l’ai bien sentis cella.
Moi – waw l’homme ! Tu tes ent comment de fraper une meuf ? Tu te sent pas zemel un peut ?
Chef – prenez là les mecs, avant que je l’a tue cella.
Moi – oei, vieux lache va. Tellement tu sais plus rien faire que tu demande à tes hommes de le faire à ta place. La retraite tu connais ? C’est vrai que c’est rare pour des gens comme toi, mais y’a des cas dans ton cas.
Chef – oei et ? Ta cru qu’en me disant ça, t’allais me rabaisser oulah ?
Moi – nan même pas, hassoul moi je vais y aller parce que c’est chaud comment tu parle mal.
Chef – reste à ta place oei, et je reete plus, tu fous quoi là ?
Moi – j’étais venu chercher quelqu’un c’est tout.
Chef – qui ça ?
Moi – ben je connais sa gueule, mais je connais pas son nom ni rien.
Chef – et pourquoi tu le cherche là ?
Moi – pour un ruc, de quoi je me mêle dit donc toi ?
Chef - ferme ta gueule, et pourquoi tu le cherche là ?
Moi – pour hajja, c’est pas tes affaires.
Chef – ramène ta gueule au bureau. C’est bon, retournez à ce que vous etiez entraine de faire.
Je le suit tel une conne, mais avant de le suivre je dévisage le Double’Booba, zahma je voulais me sentir forte tahu –‘ mddr. On passe devant la meuf qui était à terre, et me regardait avec pitié, et mais c’est pas la meuf à Niro ? Enfin sa femme là ? Je lui fais des gros yeux genre tu fais quoi là ? Je m’abaisse et prend sa tête sur mes genoux, elle reéclate en sanglots.
Moi – ça va ?
Ellle me répond as et pleure de plus belle.
Moi – ils t’ont fait hajja ?
Chef – oh tu fais quoi là ?
Moi – c’est qui ?
Chef – c’est pas tes affaires, lève toi de là !
Elle – va pas Samira, il est fou lui.
Chef – oh petite connasse, ferme ta gueule et pleure ! Toi vient !
Moi – comment tu lui parle toi, t’aimerai bien voir ta mère ou ta sœur à terre comme elle là ?
Chef – ma mère laisse-là ou elle est gamine de m*rde. Et lève toi de là !
Il m’attrape par le bras et me relève et me fais rentrer de force dans son « bureau », il referme la porte à clé et va s’assoie sur sa chaise dérrière le banc.
Chef – approche.
Moi – pourquoi faire ?
Chef – vient et tema le quel tu cherche.
Je m’approche de son banc, il éparpie pleins de photos sur tout son banc. Je regard les photos une à une, y’avais une photo de Niro, une de Souleyman, une d’Ahmed et une de Marwan et y’avais même une photo du pote à Ahmed, celui qui voulait me donner de l’argent pour que je lui montre les gars. Je fais des gros yeux, ils foutent quoi tous là eux ? Fallaut que je fasse style que je les connaissais pas et fallait que je m’informais un maximum.
Chef – c’est le quel tu cherche ?
Moi – il y est pas là, c’est qui lui ?
Chef – un gars, pourquoi ?
Moi – je demande juste, qu’est ce que tu fais avec sa photo ? T’es homo ?
Chef – parle bien avec ta bouche là, nan lui il s’apelle Souleyman, le batard il m’a voler de la tune hier avec son pote Marwan, celui-là là. Tu les connais ?
Moi – nan, ils me disent rien. Et c’est qui lui ?
Chef – Ahmed, un gars qui croit me l’a mettre à l’envers avec son shab Azur là.
Mmmh.. Donc le pote à mon cousin Ahmed, il s’apelle Azur. Interessant..
Moi – ils habitent ou ?
Chef – celui-là (Ahmed) Lyon et Azur dans le 78 à ****.
Moi – ah je connais pas, je suis pas de là-bas moi sinon je t’aurai aider.
Chef – tu cherche qui toi ?
Je lui décris un personnage imaginaire, tout le contraire d’ « Azur ».
Chef – connait pas.
Moi – dommage alors, merci quand même.
Chef – je sais qui t’es, donc t’ouvre ta bouche et t’aurai à faire à moi, à Bilel et à Foued !
Je le regard dix bonnes secondes, je suis trop conne. Fallait bien que je m’endoutais qu’il me dévoile comme ça les bails.
Moi – c’est des menaces ?
Chef – prend ça comme tu veux.
Moi – ben voila, je prend ça pour une rigolade. Salem.
Chef - oei on verra, azy casse-toi.
Je me casse de son bureau en claquant la porte. Je vais vers la femme à Niro et la relève. Elle pleurait encore –‘.
Un gars – ooh toi, tu fais quoi là ?
Moi – ben rien, le chef il m’a dit de l’a prendre avec moi.
Insh’Allah Ya Rabbi qu’il va pas lui demander ou que le chef ne sort pas avant que je ne parte avec elle.
Un gars – azy prend la le canichelà. Et nashave.
Moi – c’est ta mère la caniche connard.
Le mec – tu aprle à qui toi là ?
Moi – à toi, zahma tu va faire quoi ? T’aimerai bien voir ta mère à terre entraine de pleurer comme ça et que quelqu’un la traite de caniche ? Nan ben voila. Ta gueule maintenant.
Il se lève et allait venir vers moi, quand y’a un autre gars qui le fait rassoier et me dit :
L’autre gars – azy ta gueule là et casse-toi avec l’autre.
Je lui répond pas et détache la femme à Niro et met son bras autour de mon cou et part avec elle. On avancait doucement tout le long de l’autoroute.
Moi – arrète de pleurer là, tu fais mal au crane w’Allah.
Elle – merci w’Allah.
Moi – c’est rien, tranquille. Ca va pour marcher ?
Elle –oui, tien.
Elle met sa main dans sa poche et elle me tend des pièces de deux euro.
Moi – je vais faire quoi avec ça ?
Elle – je m’assois là, je suis trop fatiguer w’Allah. Regard, là-bas y’a une cabine S.O.S et juste à coté y’a un téléphone, t’insére les pièces et appelle Hamza stp. Il va venir nous chercher.
Moi – je connais pas le numéro de Hamza moi.
Elle – c’est le 06 ** ** ** **.
Je lui répond pas et retient et répéte plusieurs fois le numéro jusqu’au S.O.S, je tema c’est our appeler les urgences ça, j’avance encore un peu et y’a une petite cabine pour pourvoir téléphoner, j’insére les poèces et appelle Niro.
Niro – oei allo ?
Moi – Hamza, c’est Samira.
Niro – ah.. Bien depuis ?
Moi – hamdoulillah et toi ?
Niro – tranquille.
Moi – dit moi, tu connais le vieux dépôt abandonnée vers la sortie de **** ?
Niro – tu fous quoi là-bas ?
Moi – tu sais venir me chercher stp ? Je t’expliquerai après w’Allah.
Niro – dit moi pas que t’es parti voir dans le dépôt ?
Moi – bref, tu vien ou ?
Niro – oei azy j’arrive dans vingt minutes.
Moi – mer..
J’ai même pas eu le temps de lui remercier qu’il me raccroche à la gueule. Je reprend ma monnaie et retourne m’assoier à coté de l’autre. On attend dix bonne minutes même pas, qu’il arrive enfin. La meuf elle monte derrière et moi ben je monte devant.
Niro – y’a eu quoi ?
Moi – rien, je devais aller voir quelqu’un au dépôt et je l’ai trouver là-bas et c’est tout.
Niro – ah oei ?
Moi – oei.
Elle – demande moi-même pas pourquoi j’y étais moi, ok ?
Niro – déjà qui ta dis que je m’interesser à ta vie là ? Personne, je parle à Samira en qu’a ta pas remarquer. T’es partie voir qui là-bas toi ?
Moi – ben personne. Ramène moi dans le 78 à ***** stp, c’est trop urgent w’Allah.
Niro – pourquoi faire ?
Moi – je dois aller chez quelqu’un vite fait c’est tout et c’est trop urgent w’Allah,
Niro – m’enbalek ! Tu foutais quoi ici ?
Moi – pourquoi tu crie là ? Ca va changer quoi à ta vie je te dise ou pas ?
Niro – soit tu parle, soit j’éclate ta face contre la vitre.
Moi – ben azy, claque ma face contre le mur pour voir.
Il soupire et me répond pas, il démmare. Il me dépose dans le 78 à ******, puis se casse sans me parler. Je fais comment moi maintenant pour trouver le « Azur » là ?
Je regard tout au tout de moi, y’avais un gars allongé sur un banc, belek il connait lui. Je m’approche de lui et le reveille, il puait la tise sah.
Lui – casse-toi z*bi !
Moi – c’est bon smeh, tu connais pas un des nommer Azur qui habite quelque part ici ?
Lui – oei bloc A. Nashave maintenant.
Moi – impoli va.
Il me repond pas et se rendort. Je vais au bloc A, et je reste debout devant le bloc, je vais faire 17 étages et toquer à toute les porte ? Je fais comment là ?
Je reste encore dix bonnes minutes à attendre devant le bloc en essayant de trouver une solution jusqu’à ce que y’a une petite meuf d’environ dix sept ans un truc comme ça sortir du bloc.
Moi – oh smeh !
Elle – oei ?
Moii – t’habite ici ?
Elle – oei, pourquoi ?
Moi – tu connais pas un gars nommer Azur ?
Elle – je voudrai bien t’accompagner mais là je suis déjà en retard pour les cours mais monte toute seule, je t’ouvre la porte du bloc.
Ell m’ouvre la porte de l’immeuble et me dit :
Elle – il habite au 3éme étage, porte avec un autocollant d’un tête de mort.
Moi – d’accord, merci.
Elle – tranquille, salem.
Elle se casse, moi je rentre dans le bloc et monte les escaliers jusqu’au 3éme étage, je toque à la porte ou y’a l’autocollant. Personne répondait, je sonne encore et encore, m’enfou.
…. – OEI C’EST BON LA ! TA CRU QUE C’ETAIT LA SONNETTE A TON PERE OU QUOI LA ?
La porte elle s’ouvre et ta le gars de la dernière fois avec Ahmed sortir, Azur.
Azur – t’es qui toi ?
Moi – pourquoi tu crie ?
Azur – fais pas la folle, et tu veux quoi là ?
Moi – tu te rappelle de moi ?
Azur – oei en viteuf, tu veux quoi là ?
Moi – te parler.
Azur – de ?
Moi – du sac d’arme là.
Azur – ferme ta gueule et rentre.
Il me tire par le bras et me fait rentrer chez lui et ferme la porte derrière lui. Il est fou lui.
Moi – oh tu fais quoi là ? Ta cru que j’étais ta connasse ou quoi ?
Azur – y’a des voisins, c’est des commères, et tranquille à croire que je vais te violer là –‘ !
Moi – on sait jamais, on se connait pas en même temps.
Azur – oei ferme ta gueule c’est bon, c’est qui qui à le sac là ?
Moi – j’ai combien en échange ?
Azur – 3 milles comme d’ab’. C’est qui le gars ?
Moi – ben c’est des gars tah ******.
Azur – va me les chercher, puis revient.
Moi – nan, je te fais pas confiance.
Azur – fais moi confiance tranquille, ta ma parole w’Allah !
Moi – nan, si t’es rechercher c’est surement que tu tien pas tes prommesse nan ?
Azur – rechercher dans quel sens ?
Moi – rechercher dans le sens que le chef tah le dépôt abandonnée à ***** il te cherche pour je ne sais plus quoi.
Azur – TU LE CONNAIS ?
Moi – nan, j’y étais la-bas vite fais et j’ai parler avec lui et il m’a montrer votre gueule, à toi et Ahmed.
Azur – déclare les bails là.
Je lui raconte en vite fais ce qu’il s’était passer, il me fixe dix bonnes secondes puis me gueule dessus ! –‘
Azur – POURQUOI T’ES PARTI LE VOIR Z*BI ? TU SAVAIS PAS DEMANDER A TON ZINK APRES MOI NAN ?
Moi – déjà ferme ta gueule, ok ? Qu’on te surnomme Azur ou pas, m’enbalek ok ? Je suis pas ta connasse je t’ai dit ! Parle moi autrement saha ? Pote à Ahmed ou pas, m’en balek aussi ! Azy tu sais quoi ? N*que ta race et ciao ! Bouffe le ton biff, le sac c’est moi qui l’aurai !
Il me repond pas et me tire par le bras et me faire rentrer au salon.
Moi – lache-moi là connard !
Azur – ferme ta gueule, tu va faire venir les keufs pour walo là !
Moi – c’est bien, m’enfou.
Il me répond pas et bouge dans sa chambre ou je ne sais ou, je m’assois sur le canapé et tema le salon. Il revient peut de temps après habiller autrement, je le tema normale.
Azur – baisse tes yeux.
Moi – tu me donne ou pas là ? J’ai pas ton temps, et si je me casse, je change de décision w’Allah.
Azur – mais z*bi tu pige d’où ? Ta foiré en allant voir le chef au dépôt, on avait pas affaire avec eux wesh !
Moi – oei ben j’avais pas d’autre solution pour te trouver moi.
Azur – ah oei ? Et Ahmed c’était pas une solution ?
Moi – ce qui est fait, est fait c’est tout. Tu donne ou pas ?
Azur – ramène moi les gars d’abord.
Moi – nan, l’oseille d’abord. C’est pas moi que tu va douiller.
Azur – oh petite, il te manque une case je crois là ! Wesh je connais ton zink depuis X temps, et y’a jamais eu de blèmes !
Moi – tu connais mon zink depuis X temps, mais pas moi. C’est pas pareil.
Azur – oei ta gueule c’est mieux.
Il se lève et bouge ouvrir la fenetre, et se grille une clope tout en appellant quelqu’un. Tout au long de la discution, j’ai compris qu’il s’agissait d’Ahmed.
Azur – t’es ou là ? …… Ou chez toi ? Lyon ? …… y’a bon que tu me rejoind là ? …… y’a un truc qui à foiré là z*bi ! …… z*bi c’est ta cousine là, Samira ou je sais pas quoi, elle est parti voir la bande D.P.T ! …… Oei, nan elle est avec moi là …… Oei azy, ciao …. Oei oei tranquille mec !
Il raccroche, jéte sa clope, referme la fenetre et vient s’assoier en face de moi et me fixe. Je le calcule pas et regard son appartement, des canettes par terres, des morceaux de nourriture au plafond, enfin un appartement d’un gars qui vit seul quoi.
Azur – tu va faire quoi avec l’oseille ?
Moi – c’est pas tes affaires ça.
Azur – tranquille c’est entre nous, dit.
Moi – à croire qu’on se connait depuis X temps.
Azur – tu fais trop la ouf toi un truc de ouf !
Moi – sii sii la rime !
Azur – mddr azy on sait pas parler avec toi !
Moi – ta tout compris.
Il se lève et se casse je ne sais ou, et revient cinq minutes après avec une canette et une assiette de biscuits. Il se rassoie et s’allume la Play.
Azur – tu veux ?
Moi – nan. Tu fais quoi là ? Ta cru que j’avais ton time ou quoi là ? Le gars il va encore se taper une partie de Play ! Donne l’argent et je te ramène les gars.
Azur – nan, ta une gueule d’une vicieuse, je te fais pas confiance toi w’Allah.
Moi – bon ben t’enpis alors, c’est pas moi qui va perdre des millions d’euro pour des armes perdus. Salem.
Je me lève, il me fais rassoier et me tema.
Moi – quoi ?
Azur – ta quel age déjà ?
Moi – bientôt 22.
Azur – t’a des projets dans ta vie ?
Moi – oei.
Azur – les quels ?
Moi – tu veux quoi là ?
Azur – croit pas que j’essaye de te gerer ou quoi, juste une meuf à 22ans, elle pense plutôt à se marier et tsa, mais toi tema t’es là.
Moi – moi c’est moi, ok ? Les meufs de 22ans, c’est les meufs de 22ans, ok ?
Azur – oei ferme ta gueule c’est bon, Ahmed il arrive en qu’a.
Moi *en l’imitant* - tranquille dit moi, ça reste entre nous ! Mais va te tej oei, t’es le premier à poucave ou je suis donc stp ta gueule.
Azur – je vais pas me zehef contre toi tahu, Ahmed il m’a déjà dit que faut même pas te calculer et sah il a raison, mais fait belek à ta bouche parce que y’a des mots qui me plait pas.
Moi – c’est ta vie ça.
Il me répond pas, et commence sa partie de Play –‘, je le mate comme une bouffonne. Vingt minutes après ta quelqu’un qui sonne à la porte, personne d’entre nous se lève.
Azur – t’attend quoi pour aller ouvrir ?
Moi – je suis l’invitée là, donc c’est toi qui va ouvrir.
Azur – on verra.
Il continue sa partie de play comme si personne ne sonnait –‘, je me lève et va ouvrir au final. Y’avais Souleyman et Ahmed. Il manquait plus que Souley –‘.
Ahmed – bouge.
Il me bousqulle et rentre comme s’il était chez lui –‘, Souleyman il me dévisage puis rentre à son tour. Je reste quelques minutes devant la porte d’entrée, et repense aux p*tain de paroles que Souleyman m’avait dite.. Je referme la porte et rentre dans le salon. Y’avais Azur et Souleyman le front collé l’un contre l’autre.
Azur – et quoi zahma ?
Souleyman – ferme ta gueule fils de p*te !
Azur il saute sur Souleyman, et se battent comme des chiens.. C’est quoi l’histoire là encore p*tain ? Ahmed il les sépare et fait sortir Souleyman dans le couloir de la porte d’entrée et demande à Azur de rester calme. Ils s’insultaient tout en gueulant. Je comprennais rien, jusqu’à ce que Souleyman il m’attrape par les cheuveux et me fait sortir de l’appartement tout en tirant fort sur mes cheveux.
Souleyman – SALE GROSSE P*TE !
Moi – lache-moi Souleyman, tu me fais mal..
Souleyman – M’EN BALEK ! Z*BI !
Il en dit pas plus qu’il me gifle si fort que je tombe à terre dans les escaliers. Là sans chercher à me releèver ou quoi, j’éclate en sanglot sans raison. Pourquoi l’amour fait toujours mal p*tain ?
Souleyman – croit pas que je suis jaloux ou quoi, juste fait belek à ta bouche ! Les gars qui ont le sac, je connais c’est qui ! Maintenant m’en balek de ta gueule, sauf si je suis en hess de k*h, je t’appellerai peut –être. Et tu poucave c’est qui qui à le sac d’armes à l’autre zemel d’Azur, tu passera par moi le premier saha ? Allez pleure caniche !
Je lui répond pas et tien ma tête entre mes deux mains, il va me tuer avant l’heure lui w’Allah.
Souleyman – et encore un truc, le hlel il est annulé en cas t’es pas au courante, j’ai déjà prevenue ma daronne, à toi de prevenir la tienne. Et Insh’Allah, je vais aller khtob Wassima, ta pas interet à venir foutre le zbeul entre nous, saha ?
Qu.. Quo.. Quoi ?.. Nan.. Je rêve là.. Dit moi que je rève p*tain..