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46 – « fuit moi, je te suit, suit moi, attention y’a le mur.. »



Sara – aide Samira à esquiver la demande en mariage, je sais pas trouve un plan stp.

Souleyman – tu m’a pris pour ton pigeon ou quoi ? Elle a qu’a refuser ou demander à son zemel de l’aider, qu’est ce que tu vien chez moi ?

P*tain le connard ! C’est que dans les moments difficile qu’on reconnait les personnes qui tiennent à toi..

Sara – t’es un vrai enc*lé en vrai ! Tfoo 3lik connard !

Souleyman – parle bien avec ta bouche toi, passe la moi et enlève le haut-parleur, vous m’avez pris pour un con ou quoi ?

Sara – ta gueule tien.

Elle enlève le haut-parleur et me passe le phone.

Moi – oei quoi toi ?

Souleyman – parle bien, tu veux quoi ?

Moi – c’est moi qui ta appeler ? Nan ben voila.

Souleyman – p*tain elle va me rendre ouf cella.

Moi - …

Souleyman - …

Moi - …

Souleyman - …

Moi - …

Souleyman - …

Moi - …

Souleyman – tu le keaf ton zemel ?

Moi – nan, c’est pas un zemel.

Souleyman – pourquoi tu le défend ?

Moi – envie.

Souleyman – t’attend quoi ?

Moi – rien.

Souleyman – t’es ou ?

Moi – ma chambre.

Souleyman – t’attend quoi ?

Moi – je sais pas.

Souleyman – wesh tu crois quand fessant rien, y’aura un miracle ou c’est comment là ?

Moi – j’ai jamais dit ça.

Souleyman – ta gueule, ils sont chez toi ?

Moi – oei en bas.

Souleyman – tu va dire quoi ?

Moi – j’ai pas de choix à faire.

Souleyman – p*taiin ! Azy ciao !

Il me raccroche à la gueule, je regard Sara choqué, j’hallucinai sah !

Sara – alors ?

Moi – connard, il m’a raccrocher à la gueule.

Sara – tfooo c’est quoi ce gars ? Azy ou au pire, vient on cavale ?

Moi – pour aller ou ?

Sara – ah oei m*rde, je sais pas.

Moi – ok ta gueule.

Sara – tu va faire quoi ?

Moi – attendre un miracle.

Sara – Okey 

Moi – ta gueule.

Sara – ah mais nan attend ! J’ai mieux !

Moi – quoi ?

Sara – laisse moi faire ma gueule.

Elle prend son phone, et appelle je ne sais qui et met le haut-parleur.

Sara – allo ? Samir ?

Je l’a regard avec des gros yeux, d’où elle parle à Samir cella ?

Samir – oei oei oei, bien grosse ?

Sara – je suis pas grosse connard, faut que tu m’aide stp !

Samir – t’es ma grosse alors ta gueule, à quoi ?

Sara – dit oei stp stp.

Samir – mais à quoi ?

Sara – vient me chercher maintenant ?

Samir - pourquoi ? Tes zinks ils vont te laisser sortir ?

Sara – ouii stp,vient me chercher ! Mais maintenant sinon laisse tomber.

Samir – ta quoi dérrière la tête ?

Sara – vient me chercher et je t’explique !

Samir – azy alors j’arrive.

Sara – p*tain je t’aime trop connard !

Samir – mddr t’inquiète.

Elle raccroche et me sourit de toute ces dents, moi je l’a regard toujours choqué.

Sara – quoi ?

Moi – depuis quand tu parle à Samir ?

Sara – euuh.. euh.. Je sais plus enfaite mddr.

Moi – t’es avec ?

Sara – oei ta gueule.

Je l’a regard encore plus choquée.

Moi – t’es pas serieuse ?

Sara – c’est bon ta gueule et habille-toi, on bouge avec lui.

Moi – wah t’assure, mais on va ou avec lui ? Yanis il va directement savoir qu’on est chez eux.

Sara – t’inquiète. Azy vient on descend et on fait comme si de rien n’était.

Moi – t’es une sah toi la vie de moi ! Oei azy.

Je lui saute dessus et la prend dans mes bras, j’étais heureuse, heureuse que je serai pas marier à Aymen grace à Sara  !

On descend, on mange et tsa, et on parlait, on fessait comme si y’avais rien, je me lève et débarasse, j’étais à la cuisine quand Aymen il rentre.

Aymen – tu dis nan ?

Moi – nan, je me casse.

Aymen – ou ça ?

Moi – le gars de ma cousine.

Aymen – ah oei chaud, et les parents ils vont te faire quoi après ?

Moi – je sais pas.

Aymen – oei hassoul, fait belek à toi hein !

Moi – t’inquiète.

Aymen – te laisse pas marcher dessus, je sais que t’es une battante toi, ta carapace de dure laisse-là tel qu’elle est, laisse personne te l’a détruire.

Moi – oei t’inquiète.

Je lui souris, il me décoiffe avec sa main, il rigole puis il repart au salon. Je finis de tout débarasse avec l’aide de personne, j’étais entraine de mettre la vaisselle dans le lavabo quand Sara elle arrive en furit et m’attrape par le bras et me fait cavaler avec dans les escaliers. En bas, y’avais deux sacs de sprot, elle prend et m’en donne un, et me demande de courir. Je cours avec elle, une fois devant le portail de la maison, y’avais la voiture à Souleyman.. Je freine sec.

Moi – je monte pas avec lui moi.

Sara – roooh ! C’est Samir wesh ! Azy vient !

Je monte à l’arrière avec Sara, et il démarre, je reprend ma respiration doucement mais surement, p*tain je vais me faire tuer c’est sur ! Je regard devant et souris à Samir.

Samir – ta quoi toi ?

Moi – rien, juste merci hein.

Samir – tranquille c’est rien, si c’est pour ma belle-sœur.

Je le dévisage et tourne ma tête vers Sara, elle le fixe en souriant. –‘ mddr

Moi – ta quoi toi ?

Sara – rien, Samir ça va ?

Samir – oei, mais évite de me foutre dans des plans comme ça, je dehak pas.

Sara – smeh, c’est la première fois et dernière fois.

Samir – Samira je te dépose chez moi ?

Moi – Leila elle est là ?

Samir – oei tranquille, j’ai expliquer en vite fait l’histoire à ma daronne, elle m’a dit ramène-la chez moi, c’est quoi ce père qu’elle a cella. Mddr

Je lui souris, il dit à Sara :

Samir – sal gitane, tu savais pas t’habiller bien ?

Sara – pourquoi faire ? On va juste chez toi.

Samir – ta rien compris à la vie toi.

Sara – hein ?

Samir – mdddr après.

Sara – t’es bizarre sah.

Samir – t’inquiète.

Samir et Sara ils discutent entre moi, moi je me plonge dans mes pensées, je suis sur que quand je rentrerai à la maison ou qu’ils me retrouveront c’est la mort directement !

Je prend mon phone et casse la puce. Sara elle fait de même. On arrive devant chez Souleyman, on descend et on rentre.

Khelti – C’EST QUI ?

Samir – yemma c’est moi.

Khelti – je suis au salon.

On rentre au salon, elle y est avec Souleyman allongé. Il se redresse et me dévisage, je fais de même. Samir il prend Sara par le bras et dit à sa mère :

Samir – eh yemma, tu te rappelle de Sara ?

Khelti – celle que tu veux khtob là ?

Samir – oei c’est elle.

Sara elle me fait des gros yeux, moi je reste choquée sur la scéne, Khelti elle se lève et embrasse Sara et youyoute, Samir il lui embrasse le front, Sara elle commence à lacher des petites larmes, Samir il le lui essuit. P*tain c’était trop mignon ! Pourquoi Souleyman il est pas comme Samir ? Pourquoi ?

Je me retourne vers Souleyman, il me regardait aussi, puis tourne sa tête, se lève et monte.

Khelti – et toi hmara ? Ca va ?

Moi – Hamdoulillah et toi khelti ?

Khelti – Hamdoulillah aussi, c’est quoi ce père que ta ah wili ?

Sara – ta vue ça khelti ? Sah smeh de débarquer tard comme ça, mais c’ét..

Khelti – soukti (tait-toi), tu crois je suis béte oulah ? C’est pas grave ! Benthi monte en haut chez Leila, elle est dans ta chambre et toi Sara vient avec à la cuisine, on va faire à manger et on va parler !

Sara elle me regard avec un regard qui veut dire je ne sais quoi, j’avais pas compris. Je luis sourit et monte en haut chez Leila. Je monte et avance dans le couloir, la chambre de Souleyman était ouverte, il était dans sa chambre allongé sur le lit à me fixer passer.

Souleyman – vient !

Je m’arrète devant sa porte et le regard genre « tu veux quoi ? ».

Souleyman – rentre, ferme la porte.

Moi – pourquoi faire ? C’est pas toi qui m’a dit ciao la taleur ?

Souleyman – rentre et ferme la porte.

Je lui fais un doigt d’honneur et avance vers la chambre de Leila, et rentre sans toquer. Elle était dans son lit à parler au phone, quand elle me voit, elle me sourit, je lui rend son sourire et m’allonge à coté d’elle, j’étais trop faitgué.

Elle se retourne vers moi et joue avec mes cheveux et en même temps elle parlait avec Malik, son gars là.

Souleyman il toque.

Leila – oei c’est qui ?

Souleyman – c’est moi !

Leila – Malik reste en ligne, attend.

Elle cache son phone sous l’oreiller et lui demande de rentrer. Il rentre, et nous regard.

Souleyman – c’est bon je sais que tu parlai avec Malik au phone, prend pas les gens pour des cons aussi.

Leila – je te jure que c…

Souleyman – ta gueule, je vous donne mon accord mais s’il vient pas te khtob avant septembre oublie-le et lui je lui ferai comprendre à ma manière.

Leila – t’es sah ?

Souleyman – oei.

Elle me saute dessus et m’enbrasse la joue, et se lève et saute sur son frère et elle lui fait des bisou –‘, il l’a repousse.

Souleyman – dégage !

Leila – p*tain w’Allah je t’aime Souley’ !

Souleyman – je vais maintenant changer d’avis.

Elle se dégage de lui et lui dit :

Leila – nan c’est bon, c’est bon, merci w’Allah !

Souleyman – tranquille mais avant septembre, je dehak pas.

Leila – je lui dirai.

Souleyman – laisse-nous maintenant.

Leila – hein ?

Souleyman – sort wesh, prend ton phone et va dans ma chambre, je dois lui parler.

Leila – ah excuse, j’avais compris.

Elle prend son phone et se casse la connasse, elle me laisse en plan. Je me redresse.

Souleyman – tu va ou ? Recouche toi.

Moi – tu veux quoi à la fin ? Tu m’a dis ciao nan ?

Souleyman – nan ta gueule.

Il ferme la porte derrière lui et s’allonge à coté de moi –‘.

Souleyman – allonge toi tranquille.

Moi – nan c’est bon je reste assise, tu veux quoi ?

Souleyman – toi.

Moi – rève alors.

Souleyman – je t’ai déjà de toute facon, je veux juste qu’on parle.

Moi – tu m’a jamais eu khoya, ben parle qu’est ce que t’attend ?

Souleyman – ben allonge-toi wesh.

Moi – nan, dit.

Souleyman – allonge toi, je vais pas te toucher tranquille.

Je soupire et m’allonge à coté de lui.

Moi – parle.

Souleyman – pourquoi t’es partie de chez toi ?

Moi – tu te fous de ma gueule ah oei ?

Souleyman – nan même pas, tu le keaf Aymen nan ?

Moi – nan.

Souleyman – pourquoi tu l’a défendu alors ?

Moi – parce qu’il m’a aider c’est tout.

Souleyman – à quoi ?

Moi – je sais pas, dés le debut il m’a aider et tsa.

Souleyman – hmm.. Pourquoi tu m’a regarder au salon la taleur ?

Moi – j’avais envie c’est tout.

Souleyman – t’espère que je te fasse pareil que Samir ah oei ? Mais moi sah, je suis pas prêt à me poser tah sah comme lui.

Moi – t’es jamais prêt toi.

Souleyman – tshek, j’ai 21 ans, toi t’en a 18, bientôt 19. On a encore le temps nan ?

Moi – toi peu être, mais pas moi, ma vie elle est pas entre mes mains, elle est entre les mains de mon père et mes frères, et ils sont deter à nous marier moi et Aymen.

Souleyman – pourquoi Aymen ?

Moi – je sais pas, va demander à mon daron.

Souleyman – p*tain.

Moi - …

Souleyman - …

Il me sourit et me caresse la joue.

Moi – quoi ?

Souleyman – rien, tu peux pas comprendre.

Moi – comprendre quoi ?

Souleyman – rien mddr.

Leila *en toquant* - descendez manger au lieu de faire des cochenneries ! Mddr

Souleyman il rigole puis se redresse. Il ouvre la porte et se retourne et me regard.

Souleyman – tu descend pas ?

Moi – nan, j’ai pas faim.

Il vient et me prend tel un sac de patate.

Moi – dépose moi stp !

Souleyman – nan, tu descend manger !

Moi – d’accord mais dépose moi.

Il rigole puis me dépose à terre.

Souleyman – wah t’es grosse en sah, quand on te regard on va dire qu’elle est mince juste avec des gros hanches, mais t’es en sah t’es grosse, tout ton poid il est dans tes gros seins et ton gros c*l !

Moi – casse-toi ! Je t’enmerde moi !

Souleyman – mddr azy vient.

Il me donne sa main, et me releve et m’attrape par la taille.

Souleyman - laisse moi me ranger doucement et je vien voir ton père.

Moi – quand ? Dans cinq ans ? Dans cinq ans, je serai déjà marier je crois et ge3 avec sept gosses !

Il soupire et me détache de lui et descend. Je lui court pas après, il me fatigue. Je descend après lui, je rentre dans le salon, ils y sont déjà tous.

Leila – il était temps dit donc, il ta fait mal en bas ou quoi ? Mddddrr

Je l’a regard choqué, elle est sah à dire des trucs comme ça elle ?

Souleyman – ferme ta gueule toi avant que je me lève et je t’en colle une, je dehak pas avec toi moi !

Leil a- c’est bon rooh, un peu d’humour dans ce monde de loveurs ! Hein Samir ? Mdddddrr

Samir – et mais la vie de moi elle veut des claques cella ! Continue à parler et je vais t’en coller une !

Sara – parle bien à ta sœur clochard, c’est pas une fille de la rue pour que tu lui parle comme ça.

Leila – tshek belle sœur ! Dit lui, dit lui ! Mddr

Khelti – Leila soukti (tait-toi), et mangez !

Je m’assois à coté de Leila et mange un peu, on avait déjà manger chez nous, mais Sara elle a toujours faim cella, elle mangait comme une dinde.

Khelti – Samira melek (ta quoi) ? Mange benthi.

Je sent le regard de Souleyman poser sur moi, mais qu’il aille se faire f**tre celui-là, autant attendre l’escargot qui arrive du Sahara que de l’attendre lui –‘ tss.

Moi – walo khelti, nan j’ai déjà manger.

Khelti – mange benthi, mange avant que tu devien un squelette et personne voudra de toi pour le mariage mddr.

Moi – ça m’arrangerai sah.

Khelti – wili ! wili ! Hmara cella ! Tu veux pas te marier ?

Moi – nan, je suis encore petite.

Khelti – toi petite ? Hmara cella ! Mange avant que je te frappe !

Leila – j’en connais une qui tombe en dépression.

Moi – ta gueule toi.

Leila – et j’en connais un qui rend malade sa bien aimé ! Ptdddrr

Souleyman – je vais me lever et t’en coller une et après ose me demander qu’est ce que ta fais !

Leila – pourquoi tu te sent viser ? Ta un truc à te reprocher ?

Khelti – qu’est ce que ta toi à rigoler pour rien et dire n’importe quoi ?

Leila – je sais pas, j’ai trop la pêche ! Mddrr

Sara – stahfou’Allah cette meuf.

Leila – mais ta gueule toi mddr !

Samir – parle lui bien toi.

Leila – yeeeeuuu trop mignon ! Mon frère qui est amoureux ! Youyouyouyouyouyou 

Samir – ta quoi là toi ?

Leila – rien, je suis heureuse sa race !

On finit de manger, on fessait pas attention au vieux commentaires de Leila, elle rigolait pour un rien cella. –‘

Je débarasse avec l’aide de Sara et Leila puis on se pose devant la tv avec khelti, Samir et Souleyman. Ils regardaient le journal, moi je fixe Souleyman et plonge dans mes pensés, cet enfant je l’aime, mais il complique toujours tout ! Pourquoi il est pas simple comme Samir son frère ? Pourquoi je dois tomber sur lui ? Il me fatigue, enfin l’amour que je porte pour sa gueule me fatigue. Bientôt j’assumerai pas.

Sara – oh Samira !

Moi – quoi ?

Sara – wesh tu m’a entendu ?

Moi – nan, tu disait quoi ?

Sara – moi et Samir on sort à deux, on va y aller là, bonne nuit d’avance.

Moi – oei azy m’enfou.

Je lui claque la bise et elle part avec Samir. Pourquoi avec moi et Souleyman c’est pas pareil qu’avec Sara et Samir ?

Leila – moi aussi, je vais monter. Bonne nuit la populasse !

Elle se casse en haut, Souleyman il l’a regard monter, puis se redresse et dit à sa mère :

Souleyman – yemma ?

Khelti – oui ?

Souleyman – je peux te dire un truc ?

Khelti elle me regard en souriant, elle a cru qu’il allait faire pareil que Samir avec Sara.

Souleyman – tu vois, avant j’étais avec une fille.

Khelti – comment ça ?

Souleyman – zahma, on était ensemble et tsa, tu vois et euh..

P*tain le connard, il va lui parler de Wassima. Je le fixe, il avait la tête baisser.

Khelti – c’est qui ? Samira ?

Souleyman – nan, elle s’appele Wassima. Mais tu vois, on est plus ensemble là, enfin je l’aime plus tahu et euh..

Faut d’abord se demander si tu l’a vraiment aimer clochard. –‘

Khelti – continue.

Khelti elle le fixe en froncant les sourcils.

Souleyman – et tu vois quand on était encore ensemble, ben elle s’est donner à moi tahu et euh..

Khelti – comment ça donner à toi ?

Moi – tout ce qu’il te dit là, c’est rien oublie Khelti, tout ce qu’il veut te dire là, c’est qu’il a un fils avec la fille.

Il relève sa tête et me sourit, et se retourne pour fixer sa mère. Khelti elle me fixe avec un visage neutre, ça a pas encore atteint son cerveau je crois.

Khelti – tu me dit que weldi il est papa ?

Moi – oei, mais c’est rien khelti t’inquiète.

Elle éclate en sanglot et se tape les joues et crit.

Khelti – WILI ! WILI ! T’AVAIS MIS UNE K*HBA ENCEINTE ET C’EST QUAND ELLE A ACCOUCHER QUE TU ME LE DIT ? WILI ! WILI ! Qu’EST-CE QUE JE VAIS FAIRE DE CE FILS ? WILI ! WILI !

Je me lève et l’a prend dans mes bras difficilement, elle se dégage de moi et se lève et frappe Souleyman , face à ces coups il réagis pas, il sait qu’il est en tord et sait que les larmes des mamans fait plus mal que les claquettes en plastique !

Moi – arrète khelti, l’essentiel c’est qu’il assume.

Souleyman – laisse la.

Khelti elle criait encore et encore, elle insulter Souleyman, son fils, Wassima, elle demande à son mari Allah Y Rahmo pourquoi elle a mériter un fils comme ça, elle demande à Allah pourquoi Souleyman il est pas pareil comme Samir, elle crit et pleure en même temps. Elle me fessait de la peine sah, je voulais trop pleurer..

Souleyman – Yemma arréte stp.

A chaque fois qu’il parlait, elle criait et pleurait encore plus. Je prend khelti et la dégage de Souleyman. Je lui dit :

Moi – dégage de sa vue Souleyman.

Souleyman – oei azy.

Il monte, Khelti elle s’assoie et tien sa tête entre ces mains et pleure, je l’a prend dans mes bras, et elle me dit :

Khelti – benthi ? Pourquoi il me fait ça à moi ? Pourquoi ya Rabbi ? Pourquoi ? Pourquoi tu l’aime ? Il est pas bien comme garçon pour toi benthi, stp benthi oublie-le et choisit quelqu’un d’autre stp, fait le pour moi et pour toi, il va jamais changer benthi ! C’est mon fils, je sais comment il est !

J’éclate en sanglots moi aussi, elle me prend dans ces bras et me demande de me calmer, pourquoi il fait ça lui aussi ? Pourquoi il touche à la bicrave quand il a l’amour de sa mère ? Pourquoi il est mauvais comme ça ? Pourquoi il se détruit ? Pourquoi ya rabbi ?

Moi – je vais essayer Khelti.

Khelti – Insh’Allah que t’y arrivera ! Aime un autre homme benthi, je vuex que ton bonheur moi.

Moi – je sais.

Khelti – y’allah va dormir.

Moi – tu va pas dormir toi ?

Khelti – si, moi ma chambre elle est au rez-de-chaussée, elle est là bas.

Moi – je t’accompagne alors.

Je l’accompagne dans sa chambre, elle se couche, je lui enbrasse le front et sort. Cette femme je l’aime, elle est comme ma mère, elle vient après ma mère.

Je monte à l’étage, Souleyman il venait de sortir de la salle de bain, il avait les yeux tout rouge, j’en conclue qu’il a pleurer. Souleyman pleurer ? …

Je m’approche de lui, et lui caresse la joue.

Moi – ça va ?

Souleyman – bouge de là.

Moi – ta quoi ?

Souleyman – rien, tire tes mains Samira.

Moi – nan, ta quoi ? Ta pleurer ?

Souleyman – ta cru que j’étais un zemel pour pleurer ? J’ai juste fume des zdeh.

Je m’approche encore de lui et le sent, il sent même pas la fumer des zdeh –‘.

Moi – je te crois pas.

Souleyman – m’enbalek, tu veux quoi là ? Degage sahbi, et ecoute ma daronne, je suis pas fait pour toi !

Moi – tu nous a écouter ?

Souleyman – oei, azy bouge de là ! Oublie moi, j’ai jamais changer pour ma daronne, et c’est pas pour une meuf que je changerai, je suis vouer à l’échec depuis petit, c’est pas toi qui va débarquer dans ma life comme ça et me changer ! T’étais juste une de plus dans ma liste.

Je recule de lui, et lui sourit. S’il a cru que j’allais être faible face à ces mots, il rève.

Moi – oei ta raison, je vois pas pourquoi je veux t’aider si tu t’aide pas toi-même, t’es pas vouer à l’échec, c’est juste que t’es plus bas que terre depuis que ton père est mort, et depuis ta jamais su remonter à la surface parce que c’était ton père il s’occuper de tout chez vous à la maison, et t’a toujours eu son soutien et depuis qu’il est partie t’es tomber bas c’est tout, ta toujours eu besoin de ton père pendant toute ton enfance, et si tu l’aurai voulu rendre fier, t’aurai jamais toucher à cette m*rde et à cete heure-çi, tu serai entraine de lire le Coran, et la tentot tu serai parti à la mosqué en tant que bon musulman, mais je vois que ton père il a une si petit place en toi comme ta mère a une si petit place en toi aussi, on aurait dit que tu les a jamais aimer et que tu veux les faire regretter, regretter quoi ? Seul toi connait la réponse. Je suis peu être pas parfaite aussi, voir même que je suis une p*te parce que je t’ai laisser m’enbrasser hors que la fornication est haram, mais à coté de toi je suis une sainte, toi tu nage dans le haram.

…. – Sniif.

Je me retourne et voit Leila à la porte de sa chambre. Je voulais pas lui dire tout ça, mais fallait que ça l’atteint, que ça le choque, que ça le change, que ça le déclique, enfin tout ce que vous voulez mais mon but était que ça l’atteint !

Il me colle une gifle, je me colle contre le mur, je relève ma tête et le regard.

Souleyman – moi je suis pas ton pote et encore moins ton gars sale p*te ! Moi je te ken et ciao ! Moi tu rentre pas dans ma vie et tu me parle pas comme ça !

Je lui souris et lui tourne le dos, je me dirige vers la chambre de Leila, elle pleurait tel une madeline. Souleyman il frappe dans le mur –‘, je fais rentrer Leila dans sa chambre et ferme la porte et laisse l’autre con dans le couloir a s’énerver contre le mur.

Je regard Leila et lui souris, enfin je souriai pour pas que mes larmes coulent devant elle. Je me suis affaiblie devant Khelti, c’est déjà trop.

Leila – pourquoi tu dis ça ? Qu’est ce qu’il y’a ?

Moi – rien, il a un gosse ton frère et il a fait pleurer ta mère. Et j’ai dit tout ça sans réflechir pour que ça l’atteint. Smeh.

Leila – de qui ? Nan, tu dis sah w’Allah, des fois il est tellement dur que tu crois qu’il vit sans cœur, on aurait dit que la haine c’est son cœur et qu’il respire avec haine.

Moi – d’une Wassima. Bref dort.

Leila – ah oei cette p*te, elle m’avait frapper et je l’ai plus revue.

Moi – comment ça ? Tu t’es laisser faire ?

Leila – oei, normale elles étaient cinq contre moi et après elle t’a appeler un gars pour qu’il me viole mais j’ai viser là ou il faut et j’ai cavaler.

Moi – et pourquoi tu m’a rien dit ?

Leila – je sais pas.

Moi – dort maintenant.

Leila – bonne nuit ma sœur.

Moi – oei.

Elle s’endort, je m’endort à coté d’elle. Ce gars, faut que je l’oublie parce que plus le temps passe, plus ça devient pas possible.

Le lendemain, j’ouvre les yeux, je reste coucher dans le lit, je me retourve de l’autre coté pour reveiller Leila quand je vois que c’est Souleyman.

Moi – tu fou quoi là toi ?

Souleyman – ta gueule, laisse moi dormir là.

Moi – d’où tu dors avec moi toi ?

Souleyman – ta gueule ou je te viole.

Moi – mais n*que toi connard ! Ta cru que j’étais ta pote ou quoi ? Allez n*que toi !

Je me lève et descend en bas, Leila je vais la tuer ! Je rentre dans la cuisine et salem Khelti et lui demande ou est Leila, elle me dit dans le salon, je vais voir au salon, et lui saute dessus.

Leila – eh mais ta quoi toi ?

Moi – d’où tu change de place avec Souleyman ?

Leila – mais n’importe quoi, quand je me suis lever, il était 7 heure, je devais aller avec Yemma au marché et lui il venait de rentrer et il a dormi à coté de toi c’est tout.

Moi – oei et tu sais pas lui dire dégage nan ?

Leila – nan, il pigait pas.

Moi – connasse !

Leila – mddr, la meuf elle a tout bon et elle parle.

Moi – nan, sah je dehak pas. Je le deteste ton frère maintenant.

Leila – tant mieux, ça t’évitera de tomber dans une dépression et te retourver avec un corps de bagette.

On parle encore, on mange et on monte au stah, zahma on voulait bronzer. On s’était mise en bikini, parce que Samir il allait pas monter, et Souleyman il dort, il en a jusqu’à 21 heure. On met de la crème sur nous et on s’allonge.

Leila – et je peux te poser une question ?

Moi – oei, dit.

Leila – vous avez quoi toi et Souleyman ?

Moi – comment ça ?

Leila – allez ta gueule c’est bon.

Moi – Ok. –‘

Leila – comment j’ai trop envie d’être enceinte en sah, j’aurai un bête de bide trop mignon.

Moi – mskina. Tu sais même pas t’occuper de toi, et tu veux déjà un gosse.

Leila – ta gueule mddr, nan sah c’est halla d’être enceinte, mais pourquoion tombe pas enceinte comme ça ? Faut faire toute une démarche au lit pour être enceinte. Pff c’est nul en plus ça fait mal a ce qu’il parait.

Moi – sah ? TA GUEULE !

Leila – mdddr je dehak c’est bon, mais moi si Malik il me fait mal, je divorce directe.

Moi – d’accord.

Leila – je dehak pas, je te parle sah.

Moi – je m’enfou wesh.

Leila – et toi ?

Moi – quoi moi ?

Leila – si Marwan il te fait mal, tu fais quoi ?

Moi – pourquoi tu me parle de ça là ? Et pourquoi Marwan ?

Leila – je sais pas, une envie. Parce que Marwan tu le keaf aussi.

Moi – Ok. –‘

Sara elle arrive peu de temps après.

Moi – ta dormi ou toi ?

Sara – avec Samir tient. –‘

Moi – ta gueule.

Leila – vous avez fait quoi ?

Sara – c’est quoi cete question ?

Moi – depuis la taleur elle parle de ça.

Sara – aaah tfooo ! Tu dégoute ma sœur ! Waaah tfoo !

Leila – azy vos gueules, tss. Mddr

Sara – vous faites quoi ?

Moi – sa se voit nan ?

Sara – mddr azy j’arrive, je me rejoind à vous.

Elle part puis revient, elle se met de la crème et s’allonge. Elle et Leila elles parlaient de leurs amoureux là, elles m’avaient saouler.

Sara – il s’est passer quoi hier ?

Leila – demande à Samira, elle était là. Moi je suis monter après vous.

Sara – Samira ?

Moi – quoi ?

Sara – pourquoi t’agresse ?

Moi – ta gueule.

Sara – il s’est passer quoi hier ?

Moi – rien.

Je voulais pas parler de ça, je voulais pas repenser à sa gueule de connard.

Sara – sah ta quoi ?

Leila – c’est un sujet qui fache.

Sara – mais je veux savoir.

Leila – en gros, Souleyman il a dit à ma mère qu’il a un gosse avec une autre meuf et Samira et Souleyman ils se sont battue, enfin pas battue dans le sens claques, balayettes et tsa, nan dans le sens ils se sont insulter et ça.

Sara – et vous saviez pas m’appeler nan ? Et quoi, l’histoire de son fils c’est vrai cette histoire ?

Leila – sah je sais pas w’Allah.

Moi – oei vos gueules c’est bon. Son fils il a des problèmes de cœur.

Sara – quoi ? Il te l’a dit ?

Moi – oei, il m’a montrer les lettres et tsa, des factures et tsa.

Sara – p*tain le pauvre, il vient de naitre haramement, sa mère c’est une p*te et là il a des problèmes de cœur, depuis sa naissance le malheur le poursuit mskine. P*tain j’ai de la peine pour lui.

Leila – oei, bref. Arrete avant que je pleure.

Moi - --‘

Sara – tu va faire quoi maintenant ?

Moi – qui ?

Sara – toi tien.

Moi – qu’est ce que tu veux que je fasse ?

Sara – ben je sais pas, Souleyman tu l’aime nan ?

Moi – nan.

Sara – pourquoi t’assume pas ? Pourquoi tu garde tout pour toi comme ça ?

Moi – je suis pas vous moi.

Sara – ta gueule c’est bon.

Y’a eu un silence de ouf, et c’était repartie pour Sara et Leila à raconter des anercodes avec leurs chéris –‘. Je finis par m’endormir au soleil moi.

Sara – oh Samiraaa !

Moi – hmm ?

Sara – lève-toi là ! T’es toute cramé.

Je me redresse et m’étire. J’ai trop bien dormi sa race.

Leila – mdddr

Moi – ta quoi toi ?

Leila – enlève tes lunettes stp.

J’enlève mes lunettes de soleil et là regard, toute les deux elles explosent de rire.

Moi – quoi ?

Sara – ta la trace de tes lunettes mddr !

Moi – m’enfou.

Sara – mdddr c’est trop marrent !

Moi – ta gueule.

Y’a quelq’un qui toque à la porte de stah, je prend une serviette et l’a met autour de moi, les filles elles font pareil.

Leila – oei c’est qui ?

Souleyman *en rentrant* - ta pas vu mon chargeur ?

Il nous regard avec des gros yeux, puis regard autour de lui.

Souleyman – vous faites quoi là ?

Leila – rien, on bronze.

Souleyman – EN BIKINI ? VOUS ETES SAH A FAIRE LES P*TES LA ?

Moi – ta gueule, c’est bon. On fait les p*tes quand on veut, y’a quoi ?

Souleyman – toi ferme ta gueule !

Moi – je suis pas toi pour en avoir une.

Leila – Samira arrète.

Moi – nan mais attend, il a trop cru que j’était sa pote lui !

Souleyman – ferme ta gueule avant que je t’en colle une et je dehak pas avec ta gueule maintenant !

Moi – ben vient clochard.

Sara – arretez wesh.

Nous – ta gueule toi.

Leila – c’est mignon, ils l’ont dit en même temps ! Mddr

Souleyman – déjà toi ferme ta gueule et lève toi t’habille avant que je t’enchaine et toi bouge avec avant que Samir il monte et t’arache ta gueule.

Leila – azy Samira vient.

Moi – nan, je reste. Je fini de bronzer et je viens après.

Je voulais trop lui f**tre le seum, je voulais lui faire comprendre qu’il est personne pour moi. Les filles elles descendent, moi j’enlève ma serviette, met mes lunettes et m’allonge. Je redresse ma tête, il me regard choquer, je lui souris et lui dit :

Moi – tu veux de la crème ?

Souleyman – ya rabbi, dit moi qu’elle se fout de ma gueule.

Moi – ah, tu crois en Dieu toi ? Je savais pas.

Souleyman – ferme ta gueule et lève toi, et habille toi. Je dehak pas là Samira.

Moi – zahma t’es qui pour moi toi ? Soit bouge de là, soiassied toi et bronze, choisit.

Souleyman – Samira, heshek m’énerve pas et lève toi te rhabiller.

Moi – nan wesh, je bronze tranquille, y’a pas de mal.

Souleyman – lève toi.

Moi – nan.

Souleyman – m’énerve pas stp.

Je soupire et remet mes lunettes.

Moi – nan bouge, tu veux quoi là ? T’es personne pour moi et tu t’en fou de moi qu’est ce que tu veux là maintenant ?

Souleyman – lève toi d’abord.

Moi – pourquoi faire ? Dit d’abord.

Souleyman – lève toi, descend t’habiller et je te fais sortir, je dois te dire hajja.

Moi – quoi ? Dit là.

Souleyman – nan. Je t’attend dans la voiture devant la porte.

Et il se barre. Je me redresse, descend, me fait une douche et m’habille. Je met ma casquette, ma sacoche et je rajoute les lunettes de soleil. Et descend, khelti elle est devant la porte, assise à manger des pipas, je m’assois à coté d’elle.

Khelti – t’es toute rouge.

Moi – le soleil.

Khelti – Souleyman il t’attend, même si je t’ai dit de l’oublier, fait le, là tu va avec lui comme ça c’est tout, il te ramène quelque part, parce que ton frère il a appeler Souleyman et il lui a dit qu’il sait que t’es chez nous, et il arrive. Toi va avec lui et Sara. Vazy benthi, Sara elle est déjà dans la voiture.

Je lui enbrasse le front et ouvre la portière de derrière, y’a Sara et Samir –‘

Sara – va devant.

Je lui claque la portière a la gueule et monte devant. Il démarre.

Moi – on va ou et combien de temps ?

Sara – demande à Souleyman, et pendant deux trois jours je crois.

Moi – ben fait demi-tour, mes affaires.

Sara – tranquille j’ai pris mon sac, on partage si tu veux.

Moi – ta gueule.

Samir – parle lui bien toi !

Souleyman – ferme ta gueule, parle lui bien toi aussi.

Samir – mddr tss, vieux loveur.

Souleyman – pas autant que toi.

Samir – je t’enmerde moi mddr.

Pendant le chemin, je me suis endormis tellement leurs feintes étaient pas marrentes. Sara me reveille et me demande de me lever et qu’on était arriver. Je sors de ma voiture et vous savez on était ou ? –‘ devant l’immeuble avec l’ascenceur qui est trop lent là –‘.

Moi – c’est pas à ta tante l’appartement ?

Souleyman – elle est toujours en France, c’est pas maintenant qu’elle va s’installer.

Moi – je t’ai pas parler à toi, j’ai parler à Samir.

Il soupire et avance. Cheh fik connard.

Samir – arrete de faire la gamine avec lui.

Moi – ta gueule quand tu sais pas.

Sara – laisse-les Samir, c’est entre eux.

Samir – oei mais quand même wesh, c’est gamin ce que tu fais.

Moi – oei ta gueule.

Souleyman – Vous attendez quoi là ? Je suis pas votre consierge là !

On rentre dans l’immeuble, on monte dans l’ascenceur lent là, après vingt minutes (sans déconner sah), on arrive. On rentre dans l’appartement, on se pose au salon. Souleyman il sort une Play d'un sac, et l'installe à la tv et joue.

Souleyman – Sara stp, fait nous a manger.

Sara – tu reve, demande à ta femme.

Souleyman – j’en ai pas.

Sara – et elle alors ?

Il se retourne vers moi et me regard, je le dévisage.

Souleyman – c’est bon, j’ai pas faim.

Samir – azy Sara fait nous a manger.

Sara – je parie que la cuisine elle est vide.

Samir – nan je vien de faire les courses, quand je t’ai laisser monter chez les filles, je suis partie les faire, j’ai pris un peu de tout.

Sara – ben azy, Samira vient avec moi ?

Moi – nan, je suis pas leurs chienne.

Samir – vieux bébé va.

Moi – ta gueule toi.

Samir – bande de gamin, moi je rejoind aider ma femme à faire à manger. Tchip.

Moi – quand tu sais pas tchiper, tchipe pas stp.

Souleyman – oei et quand tu sais pas faire le loveur, fait le pas stp.

Samir – vos gueules les amoureux. Faites l’amour, pas la guerre.

Souleyman – sah ? Ta gueule.

Samir il se lève et rigole puis va à la cuisine. Moi je reste poser à regarder Souleyman jouer tel une imbécile.

Souleyman – vient faire une partie avec moi.

Moi – nan merci.

Souleyman – tu saoule. Tshek, je fais le gentil, tu fais la dure là mais allez n*que toi.

Moi – je t’ai pas demander de faire le gentil moi. Et n*que toi toi-même clochard.

Souleyman – c’est ta mère la clocharde.

Moi – parle bien de ma mère.

Souleyman – et si je veux pas, on fait comment ?

Moi – tu veux quoi là à la fin ?

Souleyman – ta gueule.

Je lui répond pas, encore un peu il va m’énerver. Il continue de jouer et un moment il rigole solo, il met pause et se retourne vers moi en rigolant.

Moi – quoi toi ?

Souleyman - rien, ta gueule. --'

Il regard sa montre, puis dit :

Souleyman - OH SAMIR ! J'ARRIVE !

Samir - oei azy !

Souleyman il se lève et sort de l'appartemment, moi j'enlève le cd de fifa qu'il y'a dans la Play et cherche un jeu de combat dans le sac qu'il avait apporter. Je met et je joue. Quand y'a quelqu'un qui sonne à la porte.

Samir -Samira, va ouvrir c'est Souley' !

Je me lève et va ouvrir, j'ouvre la porte sans regarder, j'allais re-rentrer au salon quand j'entend une voix de meuf qui dit :

... - euuh.. Smeh ?

Je me retourne vers la porte d'entrer et voit une meuf avec un gosse dans les mains, je l'a regard de haut en bas.

Moi - oui ?

Elle - tu parle francais ?

Moi - oei, quoi ?

Elle - ben, c'est pour savoir, Souleyman il est là ?

Moi - nan, mais il arrive, c'est pour ?

Elle - ...

Belek j'hallucine là..

« Princess ? Qui ta dit qu'aimer était facile ? » - Chronique.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant