63. – « J’avancais en tête que Dieu était grand, aujourd’hui je cherche une vengeance auprès des gens. J’ai pas honte de dire cela, j’assume toutes paroles. Marre de ces personnes qui dans ce bas monde jouent un rôle. »
Bilel il monte les derniers marches et s’approche de Souleyman, ils se collent le front et se regardent dans les yeux, p*tain..
Bilel – c’est à qui que tu venais de parler là ?
Souleyman – à toi tien, y’a quoi ? Zahma tu va faire quoi stp ? Croit pas je sais pas quoi, ta sœur elle est à moi maintenant, donc tes blablas servent plus à rien.
Bilel il lui répond pas et donne un coup de tête à Souleyman, Souleyman il fait de même aussi. Bilel il se détache de Souleyman et lui colle un coup de poing sur le visage, ni un ni deux secondes, ils se tapaient comme des chiens, je criais d’arreter mais ils m’écoutaient à peine. Mourad et Baba sortent de l’appartement et séparent les deux cons, j’avais la haine et sur Souleyman et Bilel, ils ont le même age près ce que et ils trouvent le moyen de s’entre tuer comme des chiens.
Baba *à Bilel* - qu’est ce qu’il se passe ici ? Ta pas honte toi hein ? Tu frappe les gens maintenant ? C’est bien ça hein !
Je voulais trop lui répondre « tu fessais pareil en tappant Yemma », mais je me suis tait par peur qu’il me force aure chose encore, déjà ces derniers temps il est gentil avec moi, donc autant laisser la situation ainsi hein.
Bilel – azy azy c’est lui aussi qui cherche là, croit pas que j’ai finis avec toi moi !
Souleyman – t’inquiète pas pour ça mec.
Baba – chut ! Et si j’apprend que vous vous êtes encore disputer, toi je t’envoi au bled, et toi j’en parle à ta mère elle va faire pareil !
Souleyman – oei smeh 3amo, c’était juste on s’est mal compris c’est tout, mais c’est bon y’aurai rien.
Baba – y’a interet, vous êtes des hommes maintenant, pas des adolescents pour vous battre. Y’Allah toi rentre ici.
Bilel – oei c’est bon là, *à moi* toi aussi rentre, tu verra toi.
Baba – tait toi et rentre avant que je m’énerve !
Bilel il lui répond pas et rentre à l’intérieur. Moi je tchip (à ce moment là c’était un keaf pour moi de tchiper mdr), et je rentre à l’intérieur aussi, je laisse Souleyman avec Mourad et mon père et bouge dans ma chambre.
J’étais dans ma chambre tranquille, Bilel il est pas venu m’enbrouille et Hamdoulillah sah. Ta Samia elle rentre dans ma chambre, et elle me tend son phone, surement Leila.
Moi – allo ?
Souleyman – oei allo ?
Ah nan, c’est Souleyman. Lui j’avais le seum contre lui, au lieu de pas provoquer mon frère, lui il le provoque en lui parlant tchiip (mdr).
Moi – oei quoi ?
Souleyman – quoi oei quoi ? Ta quoi là encore ?
Moi – rien, tu veux quoi ?
Souleyman – je vais te coller des gifles, je dehak plus avec toi, prend pas la confiance.
Moi – ok, tu veux quoi ?
Souleyman *en soupirant* - tahu, tahu !
Moi – quoi ?
Souleyman – tshek je devais sortir avec Marwan, mais je me suis dit nan je reste chez moi et je t’appelle, zahma pour faire un effort et toi tshek comment tu fais Samira.
Moi – tu comptais aller ou avec Marwan ?
Souleyman – QU’EST-CE QU’ON S’ENBAT LES C**ILLES DE L’ENDROIT ? JE FAIS LE TIL-GEN AVEC TOI ET TSHEK CE QUE TU FAIS Z*BI !
Moi – c’est bon là, pourquoi tu crie ?
Souleyman – parce que tu pige walo z*bi !
Moi – oei c’est bon smeh, c’est toi tu fou le seum toi aussi.
Souleyman – y’a quoi encore ?
Moi – rien, mais tu fous le seum à provoquer mon frère Bilel, au lieu d’essayer de faire des efforts pour qu’il ait confiance en toi, toi tu le provoque avec tes phrases à deux balles.
Souleyman – moi je suis pas un z*mel, pour me laisser faire marcher dessus, je t’ai toi donc c’est bon . J’ai pas besoin d’avoir la confiance de ton frère, il me les casse lui, on sait même pas parler avec lui donc ta gueule quand tu sais pas.
Moi – tchiiiiiiip.
Souleyman – tu tchip qui là toi ?
Moi – mddr personne, je parlais à Samia.
C’était pas vrai hein, Samia elle était déjà sortie de ma chambre depuis le début.
Souleyman – oei c’est ça, arréte avec tes tchip, tu va commencer à prendre l’habitude et tu va faire que de le faire et ça va me zehef.
Moi – c’est bon rooh, tu fais quoi là ?
Souleyman – je sais pas, je parle à une princess tahu.
Moi *en souriant* - ah oei ? C’est qui ?
Souleyman – oei, c’est quelqu’un.
Moi – elle est belle ?
Souleyman – oei, elle a un de ces bête de sourire, laisse tober sahbi, aucune meuf elle lui arrive à son niveau.
Moi – même pas Wassima ?
Souleyman – pourquoi tu me parle d’elle là ?
Moi – ben, je sais pas, je demande c’est tout.
Souleyman – on va mettre les choses au clair là, déjà quand je parlais d’une princess, c’est pas toi hein, je te sentait sourire mais oublie, c’est pas toi c’est ma daronne, elle est à coté de moi. Et azy attend.
Mon sourire il s’est effacer, il keaf faire ça lui w’Allah, mais j’aime pas ce jeu moi p*tain !
Souleyman – oei allo ?
Moi - …
Souleyman – oh z*bi, t’es al ?
Moi – oei, quoi ?
Souleyman – bref j’ai décaler dans ma chambre là, je te disai quoi déjà ?
Moi – ta princess.
Souleyman – ah oei, je parlais pasde toi mais de m…
Moi – je m’enfou, j’ai compris. Termine tes conditions tah khra pour que je raccroche là.
Souleyman – ta gueule déjà, première chose. Deuxième chose, je suis pas ton chien donc parle bien tahu. Et troisième chose, reparle moi de Wassima, je te ken sans pitié !
Moi – pourquoi je devrai pas te parler d’elle ? Pourtant si on regard bien, t’étais bien entraine de parle avec elle au mariage de ton frère Samir et ma cousine Sara.
Souleyman – Samira ?
Moi – quoi ?
Souleyman – parle correctement, ou parle pas.
Moi – c’est toi qui fout le seum Souleyman.
Souleyman – je fous rien du tout, c’est toi qui comprend tout de travers. Wassima j’ai plus rien à voir avec elle, si on se parle c’est juste pour Amir c’est tout, elle a tenter des trucs, mais je l’ai recaler parce que y’avais toi.
Moi - ...
Souleyman – ta confiance en moi ou pas ?
Moi – je sais pas.
Souleyman – ben ca sert à rien qu’on continue alors. Salem.
Moi – att..
Il me raccroche au nez, je commencai à regretter de ouf mon je sais pas, pourquoi je parle toujours sans reflechir ? Pourquoiiii p*tain ?
Moi – SAMIIIIIAAAAAAA !
Elle arrive dans ma chambre, et me demande ce que je veux.
Moi – il a appeler avec quoi Souley ?
Samia – avec le numéro de Leila, Souley il a pas mon numéro, mais Leila si.
Moi – ta du crédit ? Je peux appeler ?
Samia – oei tranquille, c’est Jawad qui me paye mon crédit donc tranquille mdr.
Moi – ptdr sale michtonneuse va.
Samia – c’est pas de la michtonnanie, mais je sais pas si t’es au courant ou pas mais un mari ça sert pas qu’a te faire des gosses, mais aussi à te combler hein.
Moi – je le savais ça –‘.
Samia – oei ben on sait jamais, toi et Souleyman hein..
Je prend mon coussin et lui jette dessus, elle rigole et sort en fermant la porte derrière elle. Je rappele Leila en privé, on sait jamais si son phone il est toujours chez Souleyman ou pas.
Leila – allo ?
Moi – Leila ?
Leila – ah Samira, ça va ?
Moi – Hamdoulillah et toi ?
Leila – Hamdoulillah aussi. Tu veux quoi ?
Moi – pourquoi t’agresse ?
Leila – ptddr parce que c’est pas normale que tu m’appele c’est tout mddr.
Moi – mddr j’avoue, passe moi ton frère stp.
Leila – il est sortis y’a pas longtemps.
Moi – il est partis ou ?
Leila – je sais pas w’Allah, il est partis avec Marwan il a dit à ma mère.
Moi – ta le numéro de Marwan stp ? Dit moi oei !
Leila – oei mddr, azy je t’envoi par texto. Ciao connasse.
J’ai pas eu le temps de répondre qu’elle me raccroche à la gueule –‘, mddr deux minutes plus tard elle m’envoit le numéro de Marwan, je l’appelle en inconnue.
Marwan – allo ?
Moi – je vous dérange ?
Marwan – oei un peu, t’es qui ?
Moi – un humain, t’es ou ?
Marwan – sur Terre et toi ? T’es qui ?
Moi – hassoul je vais pas faire la gamine tahu, c’est Samira. T’es ou ?
Marwan – quel Samira ?
Moi – je sais pas t’en connais combien mais passe moi Souleyman stp.
Marwan – waaah Samira Samira tah la connasse qui s’est enfuit dans le sud ?
Moi – mddr n*que ta race, passe mon Souley wesh ! C’est pas le crédit à ta mère ?
Marwan – n*que la tienne ma sœur, il est loin, attend je vais chez lui. Ca va toi ?
Moi – oei Hamdoulillah et toi ? Vous êtes ou ?
Marwan – dans un coin paumé, cherche pas. Oh Souley’ tien c’est pour toi ! Azy tien petite.
Souleyman – oei allo ? C’est qui ?
Moi – c’est moi.
Souleyman – tu veux quoi là ?
Moi – ben rien, t’es ou ?
Souleyman – dans ma cité. D’où t’appelle Marwan toi ?
Moi – ben je sais pas, j’ai su que t’étais avec lui c’est tout.
Souleyman – oei et tu sais pas appeler sur mon num nan ?
Moi – j’y ai pas penser w’Allah, et pourquoi tu crie là ? A croire que c’est la fin du monde sahbi !
Souleyman – sah si t’a rappeler pour qu’on s’embrouille, dit le moi maintenant comme ça je raccroche.
Je lui raccroche à la gueule, déjà que j’ai mis ma fiérté de coté pour sa gueule, et lui il ose crier en plus tss. Je me lève et rend le phone à Samia dans sa chambre et retourne dans la mienne, je prend mon pc et matte le film « La Haine », à la fin de ce film j’ai pleurer, parce que ça me fessai rappeler à mon ancienne cié ou y’avais chaque an un mort, juste pour une bête histoire sa se tire dessus comme des chiens sans penser que personne n’a le droit d’enlever la vie à un autre être humain sauf Allah Azawajel. Y’a trop de haine dans ce monde w’Allah, sa s’entre tue comme des chiens enragé pour quelques centimes et voir même juste pour un mot placer de travers.. Allah Y Hdina seulement sah.
Je me matte encore un autre film, et finit par m’endormir. Le lendemain, je me lève, fait le rituelle du matin et m’habille pour aller avec ma mère et ma sœur choisir sa robe de mariée. On descend, y’a Jawad mon beau-frère en voiture, il nous accompagne je suis pose. Il nous salem, et on monte avec lui. Il nous dépose devant le magasin et repart.
Ma sœur elle essaye un robe, puis deux, puis trois, puis quatres, puis cinq.. Tout le magasin elle l’a retourner je crois. Toutes les robes étaient belle une après l’autre, elles étaient juste magnifique w’Allah. Je me revais déjà dans une des robes, mais je me ratrape à la réalité, je suis encore loin de passer dans une de ces robes, avec ce futur mari et ce frère qui m’épuisent.
Samia – t’en pense quoi de cella ? J’aime bien moi.
Moi – oei elle est belle w’Allah, enfin elle sont toute belles quoi.
Yemma – tu me fatigue toi, elle est belle cella, elle te va bien, j’aime bien moi.
Samia – je prend cella c’est bon.
Vendeuse – bon choix, je te l’a reserve à quel date ?
Ma sœur elle va avec la vendeuse à la caisse pour régler et tsa, moi et ma mère on s’assoit sur les chaises qui était dans le magasin, Samia une fois qu’elle ait finit elle vient chez nous.
Samia – c’est bon venez on part.
On se lève et on part, y’avais Jawad qui étai revenus nous chercher. On monte et il démarre.
Jawad – Samira ça va ?
Moi – oei tranquille.
Jawad – tu parle pas trop toi.
Moi – en même temps qu’est ce que tu veux que je te dise ? Te raconter ma vie ? Nan c’est bon, merci.
Samia – Samira parle bien wesh.
Je lui répond pas et l’a dévisage. Jawad c’est pas que je l’aime pas, mais c’est juste que je le déteste, pourquoi ? Parce qu’il se croit trop beau et se l’a pète de ouf et ça j’aime pas w’Allah.
Yemma – malek encore avec Jawad ntina (ta quoi encore avec Jawad toi) ?
Moi – rien wesh.
Jawad – nan merlish Khelti, c’est rien, il va bien ton fiancé ?
Moi – je sais plus.
Jawad – tu sais plus ?
Moi – oei je sais plus, ta gueule et fait pas le choqué, toi aussi tu fesai pareil avec ma sœur. Elle savait même pas si t’allais bien donc ton visage de choqué, range-le merci.
Samia – mais t’es serieuse toi ? Parle bien Samira stp.
Jawad – laisse.
Y’a eu un silence dans la voiture jusqu’à la maison, il était déjà 15 heure –‘. Moi et ma mère on descend et mon te chez nous, Samia elle est partis avec Jawad chez sa belle-famille là, elle m’a proposer d’aller avec elle, mais j’ai refuser.
Le lendemain, ma mère elle me reveille et me demande de m’habille, je cherche pas plus loin, je fais mon rituelle du matin et m’habille. Je vais la voir dans le salon, elle était entraine de déjeuner elle aussi, y’avais Souleyman avec elle. Je le dévisage, et m’assoit à coté de ma mère.
Yemma – mange vite, pas lentement.
Moi – tu veux aller ou encore ?
Yemma – tu va avec Souleyman.
Moi – ou ?
Yemma – m’acheter des trucs à Auchan.
Moi – pourquoi t’y va pas avec Baba ?
Yemma – parce qu’il est pas là, et parce que Souleyman il va faire des courses pour sa mère, donc tu fais les courses pour moi aussi et dépéche-toi y’Allah ! J’arrive je vais te chercher l’argent.
Elle se lève et va dans sa chambre, je fais ma tartine et mange en zappant la Tv.
Souleyman – tu voulais quoi avant-hier ?
Moi ah c’es jusqu’à maintenant que tu demande ? Deux jours après, c’est bien ça. Fallait même pas que je t’appele, fallait juste que je t’envoi une lettre.
Souleyman – commence même pas hecheik et fait vite stp.
Moi – tu fous quoi chez moi déjà ?
Souleyman – je sais pas, je devais aller à Auchan pour ma daronne, elle m’a demander de passer te prendre pour faire les courses ensemble zahma, et ta gueule aussi, chez toi c’est chez moi, t’es ma femme donc ta gueule.
Moi – tu saoule Souleyman, tu m’enbrouille puis tu part sans donner de tes nouvelles, puis tu reviens avec tes belles phrases de loveur là.
Souleyman – après on parle.
Ma mère elle revient et me tend l’argent, je les prend et les met dans ma sacoche avec la feuille des courses à acheter. Je finis de manger, je débarasse et on y va. On salem ma mère, et on descend les escaliers, on sort de mon bloc, les teneurs de murs au rendez-vous –‘, Souleyman il les salem tous un par un et parle avec eux, moi je sors déjà. Après dix minutes, monsieur sort enfin à son tour !
Moi – il était temps dit.
Souleyman – vaut mieux tard que jamais. Azy vient, elle est là ma voiture.
On se dirige vers une voiture qui n’est pas la sienne, enfin c’est ce que je croyai.
Souleyman – monte.
Moi – c’est ta voiture ça ?
Souleyman – oei, monte.
Il monte, je monte aussi et le regard.
Moi – t’a enprumter la voiture à qui ?
Souleyman – je l’a pas emrpunter, elle est à moi. Je l’ai acheter.
Le gars il travaille même pas, et il a le moyen de s’acheter une voiture.. Je fronce les sourcils et le regard, il allait démarrer mais j’enlève les clés de la voiture et appuis sur le bouton des clés pour verouiller les portes. Il me dévisage.
Souleyman – tu fais quoi là ? Donne.
Moi –nan, ta trouver ou l’argent ?
Souleyman – c’est à moi, donne les clés Samira.
Je met les clés dans ma poitrine, il me regard avec des gros yeux.
Souleyman – tu fais quoi là ? Donne p*tain !
Moi – nan, d’abord dit moi la vérité.
Souleyman – quel vérité ? Azy Samira, me force pas à venir les chercher.
Moi – tu me touche, je le dit à mon père. La vérité de l’argent, de la voiture.
Je savais que c’était la bicrave, mais je voulais l’entendre dire de sa bouche.
Souleyman – Samira stp donne, on fait les courses après on parle si tu veux.
Moi – nan je veux parler maintenant.
Il m’attrape par les cheveux et aproche mon visage du sien.
Moi – lache-moi.
Souleyman – on parle comme ça c’est mieux, tu veux savoir quoi ?
Moi – l’argent de ta voiture.
Souleyman – je bicrave, y’a quoi ? Tu va encore me taper une crise c’est ça ?
Il me laisse même pas repondre qu’il m’enbrasse. Trop skyzo ce gars w’Allah. Mon cœur il dancait de la dance africaine, encore ces p*tain de sentiments.. Par amour, on peut pardonner facilement d’après ma sœur Samia, je viens de comprendre sa phrase en sah, elle dit trop vrai. Je lui rend son baiser puis le repousse doucement. Il me lache les cheveux, et me sourit.
Souleyman – tu vois quand t’es mignonne mdr, azy donne les clés.
Moi – je sais j’avais pas besoin que tu me le dise mddr, nan d’abord on parle.
Souleyman – mais z*bi, je t’ai dis qu’est ce qu’il y’avais et d’où ça venait.
Moi – oei mais pourquoi t’arrete pas ?
Souleyman – quand on fait le Hlel, j’arrete si tu veux.
Moi – t’es sur ? Et si j’apprend après que t’a toujours pas arreter ?
Souleyman – tu va pas l’apprendre parce que j’aurai déjà arreter hbiba.
Moi – ta dis quoi là ?
Souleyman – rien, oublie. Mddr
Moi – nan allez, pourquoi t’assume pas ?
Souleyman – parce que t’assume pas aussi. Azy donne les clés stp.
Moi – mddr tien.
Je les resort et le lui donne, il me fait encore des gros yeux.
Moi – quoi ?
Souleyman – ta une de ces paires polalala mddr.
Moi – mais casse-toi oei et tien tes clés !
Souleyman – tranquille, t’es à moi donc normale je te matte.
Moi – oei mais nan et ta gueule en plus.
Il rigole puis démarre. Sur la route, c’était le silence totale, lui entraine de penser à je ne sais quoi et moi, à comment l’aider à arreter le bis. On arrive enfin à Auchan, il stationne et on descend.
Souleyman – tien une pièce, va chercher un charriot.
Je lui souris et lui prend la pièce et va chercher une charrette, je l’attend à je ne sais plus quel entrée, il arrive quelque temps plus tard.
Souleyman – t’attend quoi ?
Moi – mon prince charment, ça se voit pas.
Je voulais lui faire comme il me fesait quand il me disait « ma princess », mais après il me disait qu’il parlait de sa mère.
Souleyman – mddr, je suis là. Azy vient.
Moi – c’est pas de toi que je parlais.
Souleyman *en froncant les sourcils* - t’essaye de me rendre jaloux là c’est ça ?
Moi – ça à marcher nan ? Tu m’a fait pareil avant-hier.
Il rigole et met son bras autour de mon cou.
Souleyman – oei ça à marcher mais pas autant que ça marche avec toi.
Moi – mdr ta gueule.
Souleyman – mddr.
On rentre à Auchan, lui il roulait le charriot et moi je prenais les trucs des rayons.
Souleyman – tien, j’arrive.
Moi – tu va ou ?
Souleyman – j’arrive, reste là.
Il part, je le dévisage, il se retourne vers moi et me fait un clin d’œil, s’il me fait un coup de travers, je l’enterre vivant ! Je continue de prendre ce qu’on avait besoin dans le rayon ou j’étais. Il revient avec un sachet de mélange de bonbons –‘.
Moi – vieux bébé va.
Souleyman – c’est pour ça tu me keaf, t’en veux ?
Moi – nan, après.
Il me répond pas et mange son mélange de bonbons –‘.
Moi – met en moi une dans la bouche.
Souleyman – zahma tu veux faire comme les loveurs là ? Zahma je te nourrit, mais toz tu m’a pris pour ta daronne ou quoi ?
Moi – c’est bon, je t’ai rien dit. Pas la peine de faire tout un cirque hein.
Souleyman – ouvre ta bouche, tien.
Il vient près de moi, et tien un bonbon dans ses doigts, je lui sourit et ouvre ma bouche. Il met le bonbon dans ma bouche et me fait un bisou sur la joue.
Souleyman – tahu j’ai étais gentil, je t’ai offert un bisou.
Moi – mddr oei, c’est mignon.
Souleyman – nan ta gueule là mddr. Azy il manque quoi ?
Moi – tu dois acheter quoi à ta mère toi ?
Souleyman – rien, je dois juste lui acheter les vélo fixes de sport là, qu’on fait à la maison, zahma elle veut maigrir –‘.
Moi – mddr elle est déjà maigre, qu’est ce qu’elle veut maigrir ?
Souleyman – je sais pas w’Allah –‘ ! Eh ah oei ! Tu me fais pareil quand on se marie, je te tue.
Moi – de quoi tu parle ?
Souleyman – de maigrir, tu me dis que tu veux maigrir, Souley va m’acheter ça et çi, je t’enterre vivante w’Allah.
Moi – je suis pas ta mère moi.
Souleyman – mddr parle bien, mais je te préviens parce que ma mère elle m’a dit que tu va faire pareil, donc vaut mieux prévenir que guérrir.
Moi – mddr ben ça serait pas le cas, enfin j’éspere mddr.
Souleyman – mddr rigole, gros c*l va !
Moi – tchiiiip
Souleyman – c’est un truc de ouf, comment tu sais pas le faire le tchip !
Moi – mddr m’enfou, je préfere essayer que de ne pas le savoir faire du tout.
Souleyman – attend chut, j’arrive.
Il me fait un clin d’œil et avance devant moi discretement, y’a une meuf qui arrivait en ma direction, Souleyman il avancait dans l’autre direction, la meuf elle fesait ces courses tranquille, lui il passe prés d’elle et lui tapote les fesses et continue d’avancer, je fais des gros yeux. Il est tomber sur la tête.
La meuf – OH ! MAIS T’ES SERIEUX LA SALE SALOPARD ? SALE PD DE MES C**ILLES ! TA CRU QUE J’ETAIS TA P*TE OU QUOI ?
Souleyman il se retourne et avance vers la meuf qui était près de moi, il souriait de ouf. Je sais pas il joue à quoi, mais j’aime pas son jeu là.
Souleyman – c’est qui le salopard ? Le pd ? La p*te ?
La meuf – waaah Souleyman c’est toi ! Ptddr connard, t’es serieux à faire ça toi aussi !
Il lui claque la bise, c’est bien il aggrave son cas lui.
Souleyman – mddr c’est bien, je voulais voir si t’es toujours rester clean comme meuf, alors tu devien quoi vieille meuf ?
La meuf – ben rien, comme d’habitude tahu, et toi ? J’ai entendu que t’a demander la main d’une meuf ? C’est qui ? T’es sah à me faire doublette ?
Souleyman – ptddr azy dit pas de la m*rde toi aussi, on a jamais étais ensemble donc ta gueule ! C’est une meuf, je crois pas que tu connais.
La meuf – je sais hmar, je dehak avec toi, en plus moi me poser avec toi ? Nan mais lol quoi ! Mddr elle est belle au moins ?
Il lui répond pas, et se retourne vers moi, il se met à coté de moi et met son bras autour de ma taille et pose sa tête sur mon épaule.
Moi – bouge.
La meuf – ah c’est elle ?
Souleyman – beau gosses ou pas ?
La meuf – si si, Mash’Allah vous allez trop bien ensemble ! Salem ma sœur.
Moi – salem.
Elle me claque la bise pusi rigole.
Souleyman – ta quoi toi encore ?
La meuf – ben rien, comment elle me matte ta femme mddr, à croire que j’ai ken avec toi, tranquille ma sœur, je suis plus grande que lui en plus il est personne pour moi.
Souleyman – elle est jalouse mddr.
Moi – je t’ai rien dit ma sœur, tranquille je savais t’inquiète.
La meuf – ben sava alors, c’est quoi ton prénom ?
Moi – Samira et toi ?
La meuf - **** (je lui donne pas de blaze, parce qu’elle est pas interessente pour la suite.). Vous faites quoi là ? Sortie entre amoureux c’est ça ?
Souleyman – oei oei oei, et parle et on verra si je te balance pas à ton gars.
La meuf – waw les menaces, mddr, laisse mon homme tranquille toi. Bon ben je vous laisse moi.
Elle nous claque la bise puis part.
Moi – tire tes mains de ma taille c’est bon.
Souleyman – c’est bon, c’est juste une ancienne meuf de ma cité, c’est une grande sœur tahu, mais ça fazit longtemps qu’elle a démenager dans un autre quartier avec son gars.
Moi – pourquoi tu te justifie ? Mddr je t’ai rien demander hein, mais ça se fait pas de faire ça Souleyman.
Souleyman – tranquille, on s’enfou.
Moi – oei ben pas moi.
Souleyman – t’es jalouse parce que j’ai toucher son dérrière, tu veux que je touche le tien c’est ça ?
Moi – mais bouge de là oei, t’es ouf toi dans ta tête.
Souleyman – mddr ben c’est ce qu’on pourrait croire tahu, azy ta finis là ou pas ?
Moi – oei c’est bon, il est ou le vélo pour ta mère là ?
Souleyman – en haut, vient.
On remonte au rez-de-chaussée, on prend le vélo fixe pour sa mère et on va payer le tout. Monsieur voulait pas que je paye –‘, j’ai pas répliquer, je l’ai laisser payer, mais je comptait lui rendre l’argent.
On va à la voiture, on met tout dans le coffre. Une fois finit, il va remettre la charrette, moi je réflechis à comment mettre l’argent dans sa veste. Il revient et se met près de sa porte coté conducteur, prêt à monter.
Souleyman – monte, t’attend quoi ?
Moi – vient, vient j’ai un bête de truc à te proposer.
Il referme la porte de son coté et fait le tour, je met l’argent dans ma manche pour pouvoir les faire ressortir facilement et les glisser dans sa poche. Il arrive et me matte.
Souleyman – y’a quoi ?
Je m’approche de lui et me colle à lui en mettant mes mains dans les poches de sa veste.
Souleyman – wesh ta quoi ?
Moi – rien, je peux pas t’avoir ?
Souleyman – mddr trop zarbi la meuf.
J’enlève l’argent de ma manche et les met dans sa poche. Je le regardait dans les yeux en souriant, cet homme je suis sure de l’aimer w’Allah.
Souleyman – sah ta quoi ?
Moi – rien, je t’aime.
Je baisse ma tête automatiquement, il me l’a relève, me sourit et m’enbrasse. Je lui rend son baiser, ferme les yeux et met mes bras autour de son cou.
Souleyman – ouvre tes yeux nan ? Mddr
Je me sentais trop conne p*tain, j’ouvre mes yeux et le regard, je détache mes bras de son cou. Il me fait un bisou sur la joue et me chuchote à l’oreille :
Souleyman – moi aussi t’inquiète.
Il contourne la voiture et monte de son coté, je reste deux bonnes minutes paralisé sur place, nan j’ai pas rêver. Je souriais comme une imbécile de toute mes dents, je monte à mon tour. Il démarre, sur la route, on rigolait comme si de rien n’étais, comme des heureux à vie. Il me dépose chez moi, m’aide à tout porter en haut puis part.
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Plus les jours passaient, moins ça allait avec Souleyman, il donner de ces nouvelles que quand il le voulait, sortait quand il le voulait, tandis que moi j’avais pas le droit de sortir sans lui demander son autorisation, entre nous c’était enbrouille sur embrouille pour rien, juste pour un oui ou pour un non c’était soit lui qui était pas content, soit moi. D’après ma mère, Bilel le lendemain que Souleyman est venus demander ma main, il est parti au maroc pour changer d’air à ce qu’il parait. Ca fessait des vacances pour moi perso.
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Mariage de Samia ma sœur. (entre temps elle avait déjà fait le Hlel, c’est juste que là c’était le civile, le Hlel je l’ai pa raconter parce que y’avais rien d’interessant.).
On se reveille, y’avais mes tantes, mes cousines et tsa, on se prépare toute, y’avais même ma cousine Sara.
Sara – wesh ma belle-sœur ! Mddr
Moi – ça va ?
Sara – Hamdoulillah et toi ?
Moi – idem.
Sara – ta quoi ?
Moi – rien, et toi ?
Sara – ben rien aussi, c’est toi qui est bizarre oei.
Moi – j’ai rien tranquille, je me suis juste embrouiller avec l’autre.
Je m’assois sur mon lit et soupire. Sara elle s’assoit à coté de moi et me dit :
Sara – pourquoi encore ? Qu’est ce qu’il y’a Samira ? Tu me fait peur wesh.
Moi – plus on essaye de faire les choses bien, plus on s’embrouille Sara. Embrouille sur embrouille, pour un oui ou un non. Il me fatigue w’Allah.
Sara – perd pas espoir, kheir Insh’Allah w’Allah. Mais pourquoi vous vous êtes enbrouiller ?
Moi – je sais pas, c’est ça le pire, mais je crois que c’est juste je lui ai demander il est ou son gosse, ça fait longtemps que je l’ai pas vu, il me dit c’est pas tes affaires c’est mon gosse, pas le tien. Après il remet la faute sur moi. J’aurai mieux étais avec Aymen en sah.
Sara – arrète dit pas n’importe quoi toi aussi, Aymen tu l’aimait pas, c’était juste ton père qui voulait que tu te marie de force avec lui. Mais Souleyman tu l’aime, c’est pas pareil, si tu veux je vais lui parler.
Moi – nan, laisse. Samia elle a fait pareil, il m’a enbrouiller moi après, genre pourquoi tu raconte ma vie à ta sœur et blablabla.
Sara – waaah.
Elle se relève et sort de ma chambre. C’est sympas ces conseils à cella. Je me relève, me maquille, me met de la mousse sur les cheveux et le tour et jouer, je me lisse ma mèche et voila ! Pas besoin de chignon. Je coiffe mes petites cousines, je leurs fait des tresses africaines, les tresses coller au crane, je sais pas si vous voyez, je leurs en fait chacune trois sur un coté de la tête et leurs fait une petite coiffure avec le reste des cheveux, je leurs faite toute pareil comme ça pas de jalouse puis je vais aider ma mère à la cuisine. Sara elle débarque dans la cuisine et me sort de la cuisine.
Sara – vient avec moi en bas.
Moi – nan, c’est mort je suis déjà habiller et tsa. Je sors pas comme ça avant d’arriver à la salle.
Sara – ben monte avec en haut.
Moi – tu va faire quoi en haut ?
Sara – chercher un truc pour la coiffeuse, sa cousine elle habite en haut.
Moi – ben azy, vite alors.
On monte en haut, troi étages plus haut, je vois la meuf elle me sourit puis fait demi-tour.
Moi – tu fais quoi là ? Tu te fous de ma gueule ah oei ?
Sara – retourne toi mdr.
Je me retourne et voit Souleyman, c’est bon elle a signer son arret de mort cella, et moi aussi j’ai signer mon arret de mort avec Souley..
Souleyman – tu joue à quoi encore toi ? C’est quoi ton problème ?
Moi – de quoi encore ?
Souleyman - …
Sara je vais la tuer c’est bon..