80 - << Plus le temps passe, plus je suis ces traces sans me rendre compte.>>
Le lendemain, une journée riche en émotions w'Allah, je m'attendai mais vraiment pas à ça w'Allah. Comme quoi, faut jamais se rejoui trop vite..
Donc, je me reveille toujours dans ma bulle de loveuse, me lave, prie et tsa. Puis hop, direction le boulot, enfin c'est là que je devais m'y rendre mais une personne dont je ne connaissais pas son existance m'en en a empécher.
Bref, revenons quand je descendis en bas de mon bloc. Personne à l'horizon, en même temps on était en plein matin. J'allais sortir de mon bloc quand quelqu'un m'attrape par le bras et se mit derrière moi et éttouffe ma bouche avec sa main.
Moi - MMH !!
.. - chut, crit même pas. Descend à la cave.
Une voix que je peux reconnaitre parmis tant d'autres. Celle de Souley'. Je me débat pas et descend à la cave. Il me lache enfin, je me retourne directement vers lui en attendant des explications.
Moi - qu'est ce que tu fous ici?
Souley - je vais pas te laisser aller au boulot sinon ils vont te tirer dessus.
Moi - je dois aller au travail Souley et qui ça même?
Souley - l'italien, fils de p*te. P*tain de passé qui casse les c**illes.
Il s'assoie par terre contre le mur et tien sa tête entre ces deux mains. Vous avez compris quelque chose ? Effectivement, moi non plus j'ai rien compris.
Je m'assoie à coté de lui et pose ma main sur son bras.
Moi - explique-moi.
Souley - des fois, j'ai envie de te baffer w'Allah.
Je répond pas, à quoi bon ? Je soupire et retire ma main de son bras. Je cours après plus personne moi maintenant.
Moi - je vais au boulot et kheir pour ton souci.
J'allais me relever, mais monsieur m'attrape par le bras et me refais assoier près de lui.
Moi - lâche-moi, je dois y aller.
Souley - nan, tu reste. Appelle ton patron et demande des congés.
Moi - mais j...
Souley - fait ce que je te dis et après je t'explique tout w'Allah.
Je soupire, et appelle mon patron. Je négocie un peu avec lui pour avoir au moins une semaine de vacances puis ce que j'avais pas pris de vacance pendant les vacances de octobre. Il finit par accepter et me donner dix jours de vacances. Je raccroche et en fait par à Souley.
Souley - appelle ta mère maintenant et demande-lui que tu va dormir chez Fatima ta collègue genre parce que y'aurai l'inspecteur qui va venir pendant dix jours et genre tu devrai commencer le boulot à 6 heure du matin et Fatima elle habite au coin de la rue de ton boulot.
Moi - t'es malade ou quoi ?
Souley - fait ce que je te dis et tu verra pourquoi par après. Mais w'Allah que c'est pour la bonne cause.
Je soupire et appelle ma mère, je parle avec elle vite fait et lui raconte le mensonge de Souleyman, elle me donne l'autorisation à condition que je l'appelle tout les jours. Je l'a rassure du mieux que je peux et raccroche.
Moi - voila, et maintenant ?
Souley - je te fais bouger d'ici le temps que je régle l'histoire.
Moi - mais explique-moi là.
Souley - on bouge d'ici, puis je t'explique, saha ?
Moi - nan, je veux que tu m'explique là maintenant.
Souley - tu me fais confiance nan ?
Moi - ben non, justement.
Souley - t'es serieuse là ?
Moi - autant dire la vérité que de te mentir Souley.
Souley - Ok. Mais cette fois-çi, fait moi confiance ok ?
Moi - mais pourquoi ? Moi je veux que tu m'explique.
Souley - Marwan, il nous attend en haut, puis je t'expliquerai dans la voiture. Azy vient.
Je soupire en guise de réponse, et le suit. Il sort de l'autre coté de la cave, derrière le bloc, y'avais Marwan dans la voiture. Je monte derrière et Souley devant.
Souley - accèlere.
BAAAM.. Coup de feu sur la voiture.
Marwan - p*tain.
Il accèlere d'une puissance que j'arrivais pas à relever ma tête de l'appuis-tête. Y'avais une voiture derière qui le suivait, en gros c'était une course poursuite. Moi, je criais comme une folle, ça me fessait grave peur w'Allah, Souley et Marwan me criaient dessus de me l'a fermer et d'arreter mon cirque.
Souley -TOURNE VERS ****. ET PUIS TU PREND LE TUNNEL COMME SA ON LES VESQUI.
MOI - LAISSE-MOI DESCENDRE.
Souley - FERME TA GUEULE !
Moi - FERME TA GUEULE TOI ET LAISSE MOI DESCENDRE LA P*TAIN DE TOI. MAMAA ! MARWAN STP !
Souley - LA P*TAIN DE QUI ? TU M'A PRIS POUR TON PD DE VOISIN C'ST CA ?
Marwan - VOS GUEULES LA C'ST BON ! JE RALLENTI BIENTOT SAMIRA. ON LES A SEMER JUSTE J'ACCELERE UN PEU COMME CA ILS NOUS RATRAPPE PAS.
Je lui répond pas et ferme les yeux, j'avais juste un p*tain d'envie de revomir mon petit dejeuner w'Allah.
Marwan - Je descend au sous-terrains. On sait jamais.
Souley - azy.
Marwan - azy, c'est bon là. Y'a l'ascenceur là, moi je nashave pour faire genre. Azy. Tars plus.
Souley - merci sah. Azy. Samira tu descend ?
Moi - j'ai envie de vomir.
Marwan - stp, vomie ou tu veux mais pas dans ma caisse stp.
Moi - connard.
Marwan - oei je sais. Allez descend avant que tu vomis.
Je lui répond pas et descend. Il accèlere et part. Je me sentais dans tout mes états sauf bien. Je m'assoie par terre et tien mon ventre.
Souley - oh ta quoi là ?
Moi - je me sent pas bien.
Souley - t'a quoi wesh ?
Moi - j'ai envie de vomir, j'ai la tête qui tourne, je vais tout sauf bien. w'Allah tu rend ouf Souley.
Souley - vient, on monte puis je m'occupe de toi. Tien toi à moi.
Il me tiens par la taille, je m'appuis contre lui et marche doucement. Il avance vers un bloc et ouvre avec le badge et on rentre.
Souley - on prend l'ascenceur.
J'acquit de la tête.
Moi - on va ou enfaite ?
Souley - chez ma tante, mais elle est au deble donc tranquille.
Je lui répond pas et monte dans l'ascenceur qui venait d'arriver.
Souley - qu'est ce que tu fous ? Je t'ai dit tiens moi wesh.
Moi - c'est à cause de toi, donc crit même pas.
Il me répond pas et appuis sur le deuxième étage. On arrive, je sors de l'ascenceur avec l'aide de l'autre imbécile. Il ouvre la porte de l'appartement, et rentre dans le salon. Automatiquement, je m'allonge sur le canapé. Il s'assoie sur le canapé à coté de moi, à l'angle de ma tête.
Souley - tu veux un doliprane ?
Je lui répond pas et ferme les yeux.
Souley - je te jacte.
Moi - ben me jacte pas.
Souley - ta gueule. T'a quoi là ?
Moi - rien, vous m'avez tourner le cerveau et l'estomac à cause de votre course poursuite de gamins.
Souley - tu veux un doliprane ?
Moi - nan, merci.
Souley - Ok. Repose-toi.
Moi - je dance là hein.
Souley - mdr, ta gueule.
Je lui répond pas et essaye de faire partir la douleur à l'estomac et la tête. Dix minutes après, il reçois un appel :
Souley - oei, quoi ? ... Nan, elle est avec moi. ... Nan, elle dort je crois. ... Ils ont pas interet ces fils de p*te. ... Tranquille mec, appelle Marwan et il te dirait quoi, saha ? ... Oei azy, à tars plus. ... T'inquiète même pas pour ça. ... Toi c'est ta tipeu, moi c'est ma femme donc c'est pas pareil. ... Oei oei mdr, va te faire zink. ... Oei salem.
Il raccroche et rigole tout seul.
Souley *à lui-même* - mddr, la vie de moi, les gens des n*qués. Samira ?
Moi - mmh ?
Souley - rien, dort. Je sors et je reviens saha ?
Moi - Ok.
Il me tire la joue et part. Je finis par m'endormir je ne sais combien de temps, j'avais pas la notion du temps. Je me reveille par les engueulades de Niro. Niro ? ..
Niro - LA P*TAIN DE TOI ! CASSE-TOI DEUX MINUTES LA WESH !
Souley - ta gueule wesh, tu va reveiller Samira pd. Et azy, oublie. J'ai gagner.
J'ouvre les yeux doucement et les voit entrainent de jouer à la Play --'. Je referme les yeux et fait style de dormir toujours. Qu'est ce qu'il fout Niro avec Souley ? Ils étaient pas en guerre ces deux là ? Je comprend plus rien là, j'ai l'impression d'avoir rater cinq chapitres.
Niro - fils de. Azy, elle se reveille pas ou quoi cella ?
Souley - laisse-là dormir wesh, elle est plus belle quand elle dort que quand elle dit de la m*rde.
Niro - ta lovance attitude, garde-là pour toi. Wassima tu compte en faire quoi ?
Souley - je sais pas, elle est toujours à sa place, toi même tu connais les bails.
Niro - un jour ou l'autre, tu devra choisir mec, soit Samira soit Wassima.
Souley - je sais ce que je veux, mais c'est pas facile wesh. Elle, je veux la voir vieillir avec moi tahu, et Wassima elle elle reste pas walo, tu vois.
Niro - chaud pour ta gueule de con. Moi, en sah, je m'enbalek de ta life juste fait pas le con avec elle.
Souley - je vois où tu veux en venir, mais oublie. Je compte pas faire le con avec Samira.
Niro - je préviens juste.
Souley - tranquille. Ta meuf là, bien avec elle ?
Niro - laisse tomber w'Allah. Elle s'est enfin décider à me demander le divorce.
Souley - hein ? Tu m'avais pas dit que tu l'a keaffait ?
Niro - ptddddrr, wesh tu m'a pris pour une pédale ou quoi ? Je suis pas toi quand t'es avec Samira moi, moi et toi on est très différent mec.
Souley - je préfére faire ma pédale avec elle, que de toi même tu sais hein, mdddr.
Niro - va te faire enc*lé mddr.
Souley - ta raison, je parle peu c'est mieux mddr.
Bon je les laisse parler de moi et de l'autre connasse de Wassima ou je les interpelle ? Azy, j'opte pour la deuxième solution parce que plus ils vont me comparé à l'autre clocharde de Wassima, plus ça va m'énerver betement.
Moi - mmh.
Souley - wesh. Bien dormi ?
Moi - oei. Tu fais quoi là ?
Niro - je dérange ?
Moi - nan, mais je veux dire, qu'est ce que vous faites à deux ? Vous etiez en dispute non ?
Niro - rendort toi c'est mieux w'Allah.
Moi - nan sérieux.
Souley - wesh, sa date qu'on est pote juste t'es en retard c'est tout, quand t'avais boycotter tout le monde ben y'a vla les choses qui ont bouger hein.
Moi - ah oei ? Depuis la fois ou tu m'a frapper et m'a humilier ? Ah oei je m'en rappelle très bien aussi.
Je le fixe, il me dévisage, qu'est ce que t'a cru cousin ?
Souley - wesh, sa date qu'on est pote juste t'es en retard c'est tout, quand t'avais boycotter tout le monde ben y'a vla les choses qui ont bouger hein.
Moi - ah oei ? Depuis la fois ou tu m'a frapper et m'a humilier ? Ah oei je m'en rappelle très bien aussi.
Je le fixe, il me dévisage, qu'est ce que t'a cru cousin ? J'qi peu-être pardoner mais pas oublier. Et vu la course poursuite, le seum contre toie t Marwan j'en ai et pas qu'un peu, crois-moi.
Niro - hassoul, je vais y aller moi. Samira, si t'a besoin de hajja, toi même tu connais mon 06. Et azy gros, tars plus.
Souley - oei azy.
Il nous tshek puis sort.
Souley - tu voulais dire quoi par là toi ?
Moi - tu parle à moi ?
Souley - nan à mon c*l.
Moi - ah d'accord.
Je me lève et bouge à la cuisine, j'avais juste envie de manger w'Allah.
Souley *en rentrant à la cuisine* - je te parle là. Et je vais pas parler dix fois, tu me connais maintenant.
Je soupire et me retoure vers lui.
Moi - laisse-moi manger et après on parle si tu veux.
Souley - Ok. Fait pour deux stp.
Moi - Ok.
Je fais cuire des oeufs --', (j'avais trouver que ça devant moi). Je dépose sur la table et m'assoie.
Souley - le pain ?
Moi - va le chercher. Je sais pas il est où.
Il soupir et se lève, puis revient avec le pain. On mange en silence totale w'Allah. Une fois finit, il se lève et se casse je ne sais où. Je débarasse et va me poser devant la Tv. Bon, qu'est ce que je fous là hors que je dois être au taff car il est 16 heures et des poussières.
Souley - je sors.
Moi - ah..
Souley - quoi ah ?
Moi - t'excite pas, je croyai juste que t'étais déjà sorti. Moi aussi je vais rentrer chez moi.
Souley - essaye pour voir. Je revien dans cinq minutes.
Moi - Ok.
Je l'entend soupirer un "p*tain" puis sortir en claquant la porte derrière lui. Je met mes chaussures et ma veste et prend mon sac et me casse sauf.. sauf que la porte d'entrée était fermer à clé. Génial ! --'
Je compose son numéro que je connaissais par coeur, et l'appelle.
Souley - oei allo ?
Moi - les clé.
Souley - hein ? T'es qui déjà ?
Moi - revient m'ouvrir la porte là.
Souley - Ah c'est toi. J'arrive dans pas longtemps.
Il me raccroche à la gueule. --' Je soupire, range mon phone et va m'assoier sur la canapé en attendant l'autre imbécile. Au bout de dix minutes, il se décide enfin à pointer le bout de son nez.
Il s'assoie sur le canapé en face de moi et me lache un :
Souley - oei donc ?
Moi - ben rien, j'avais juste besoin de la clé de la porte d'entrée.
Souley - arrête de faire la gamine et vient on parle normale là.
Moi - tu veux parler ? Ben azy, parle. On va parlez hein. Je te donne la parole.
Il se lève et vient à coté de moi, il met son bras autour de mon cou, des frissons me travers le corps come à chaque contact avec lui.
Souley - je te veux, on fait comment ?
Moi - va voir mon père.
Souley - il veut, mais tes frères là.
Moi - ah ok.
Souley - quoi ah ok ?
Moi - ben rien, je te dis ça parce que je connais déjà la suite de ton refrain.
Souley *en soupirant* - ouuf. Tu me saoule. Vient sur moi et je te dis hajja.
Moi - lol.
Il approche son visage de mon oreille et me soufle un " JE T'AIMA CONNASSE " ! J'étais.. Comment expliquer ça en mot ? J'étais heureuse-joyeuse-choqué-heureuse-frissons-coeur amoureux-cerveau pause-heureuse. J'étais trop heureuse w'Alah, depuis le temps que j'attendais son p*tain de je t'aime, même si le "connasse" à un peu casser tout. Du moment qu'il m'a dit je t'aime !!
Je lui saute dessus et lui fait des bisou sur la joue et lui mord la joue.
Souley - SAMIRAA !! MDDR !! MA JOUE CONNASSE !!
Il prend ma tête entre ces mains et pousse ma machoire de sa joue et tien toujours ma tête entre ces mains, moi j'étais sur lui sans m'en rendre compte. Je venais de capter le truc enfaite. --' mdr.
Moi - euh.. Pardon. Lâhce ma tête, je te mord plus.
Souley - sa me dérangait pas, juste tu mordais fort c'est tout mdr. Pourquoi tu rougis là maintenant ?
Moi - mdr n'importe quoi. Allez lache-moi là.
Il me répond pas et me fixe en souriant.
Moi - quoi ? Mdr, allez lache-moi stp.
Il me répond pas et m'embrasse, pas n'importe comment. Non. Doucement, tendrement, gentillement, enfin bref tout ce que vous voulez mais en gros c'était magnifique comparais aux autres baisers.
- " Une femme et un homme ne se retrouve jamais seuls, Sheytan est toujours la troisième personne qui les accompagne. " -
- DANS LA PEAU DE SOULEY -
P*tain, première fois que je ressend ce p*tain de truc en plus quand je passe un moment de plaisir au lit avec une meuf, là c'était ma meuf et pas ma p*te. Première fois que y'avais ce petit truc, ce petit "sentiment" ou je ne sais comment on appelle ça tellement c'est indécrivable w'Allah. En gros, premère fois j'avais fait l'amour et non b**ser.
Je me retourne vers elle et lui sourit, elle me tourne le dos. P*tain, je savais qu'elle allait regretter par après.
Moi - Samira ?
Samira - quoi ?
Moi - regarde moi.
Samira - nan.
Moi - t'a quoi ?
Samira - rien.
Je soupir et me lève. Je me douche, m'habille et bouge à la cuisine. Je fais à bouffer et retourne chercher mon phone dans la chambre. Elle y était plus et les draps non plus. Surement, sous la douche. Je calcule pas et tema mon phone.
" 10 appels en absences : Marwan le kho"
Je le rappelle.
Moi - oei, allo ?
Marwan - tu m'a fais quoi là ? Je t'attend là wesh.
Moi - y'a quoi ?
Marwan - tu me les casse, il est 18 heures là mec. On s'était dit à 17 heures trente devant chez paki.
Moi - j'avais zapper, azy j'arrive. Hamza (Niro), il est là ?
Marwan - oei, il manque plus que toi. Accèlère.
Moi - azy, j'arrive.
Je raccroche, si je bouge maintenant, elle va croire que j'ai tirer mon coup et nashave comme un connard hors que c'était pas le cas, mais azy les potos avant les meufs. Tel est là devise.
Je toque à la porte de la douche.
Samira - quoi ?
Moi - je sors.
Samira - oei, casse-toi. Je savais de toute façon.
Je soupire et me casse sans lui répondre. Je rejoind les gars devant chez paki, les tshekent et parle avec eux du plan foireux.
Marwan - oei donc, lui, moi, toi et eux deux, on se met d'un coté et vous de l'autre, vous connaissez les bails, pas la peine de repeter.
Un gars - oei t'inquiète pas, parle pas les murs ont les oreilles à Dumbo toi même tu sais.
Marwan - oei mdr, azy, cimer les reufs, on se capte à la fin de la semaine alors.
L'autre - oei oei. Azy salem.
On se tshekent et nashavent. On parle encore vite fait avec Hamza (Niro) et il part parce qu'il avait une urgence ou je sais pas quoi.
Marwan - on va bouffer ?
Moi - nan, je dois rentrer w'Allah. Prochaine fois.
Marwan - rentrer chez toi ou chez Samira ?
Moi - Samira. Azy, on se capte ce soir ou quoi ?
Marwan - y'a quoi là ?
Moi - rien, rien. Azy à tars plus.
Marwan - oei, casse-toi enflûre.
Je le tshek et me casse à l'appartement de ma tante.
Moi - je suis rentrer.
Aucune réponse. Je fais le tour de l'appartement et l'a trouve allonger sur le lit propre et rangé. Je m'assoie à coté d'elle, et lui caresse les cheveux. Elle réagis pas et fixe le plafond.
Samira - t'a réussi ton coup hein.
Moi - je t'assume.
Samira - c'est ce que t'avais dit à Wassima. Elle était comme moi et tema, je finis comme elle si on regarde bien son parcours et le mien.
Je soupire, elle disait vrai mais elle est Wassima c'est différent, trop même. Samira elle a su viser mon coeur et Wassima mes c**illes. Y'a une grosse différence, on est bien d'accord ?
Moi - pourquoi tu te compare à elle ? C'est pas pareil.
Samira - suffit d'analyser et connaitre la suite de mon destin.
Moi - dit pas de la *rde.
Samira - je sais que tu va me lacher maintenant que t'a eu ce que t'a voulu. Part même maintenant s'il le faut, je m'enfou.
Je l'a regard, soit je rêve, soit je rêve. Les meufs normals elles chialent pour que le gars ne l'a lache pas, et elle, elle invite le gars à partir. Je comprend plus rien avec elle maintenant.
Moi - t'es sérieuse là ?
Samira - oei. J'ai plus rien à perdre maintenant de toute façon. Va dire à tout le monde que tu me l'a mise et que je suis une sal*pe. Court.
Moi - ferme ta gueule c'est mieux, et parle mieux. On parle tranquille, donc jacte bien. Et je dis rien du tout, je t'assume je t'ai dis.
Samira - je crois pas w'Allah.
Moi - tu te compare à Wassima là ? T'es sah ?
Samira - oei, je l'a critiquais mais je viens de devenir pire qu'elle, la p*tain de moi.
Moi - tema moi et arrète de tema le plafond.
Samira - nan. Je veux plus.
Moi - t'a honte ?
Samira - ...
Moi - tu m'énerve w'Allah, parle. Dit ce que t'a wesh.
Samira - j'ai pas envie de te blesser betement. On s'arrète là c'est mieux. Demain je rentre chez moi.
Je comprend plus rien avec elle là waah.
Moi - qu'est ce que tu jacte là ? Azy, ta gueule w'Allah et dort. Demain, on parle si tu veux.
Elle me répond pas et me tourne le dos, je l'entend renifler doucemenet mais surement. P*tain, je l'a fais pleurer et comme un con, j'opte toujours pour la solution facile : la fuite.
Je m'allonge sur le canapé et pense à sa p*tain de gueule, w'Allah que je regrette pas de l'avoir fait avec elle, je suis prét à assumer son erreur avec elle, mais si elle le regrette elle, ça va pas marcher.