Chapitre 56

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Laura.

Je suis sous la couverture, prête à m'endormir. Je regarde la télé, je suis hypnotisée par ce qui passe. C'est un télé-crochet débile, j'adore. C'est parfait pour s'endormir.

Du mouvement me dérange, je tourne la tête vers Herman, qui vient de s'allonger. Il me regarde en souriant, il est beau ! Il passe doucement sa main dans les cheveux et bloque une mèche derrière mes oreilles, puis il dessine les traits de mon visage avec ses doigts, c'est très agréable. Je pose ma main sur la sienne, elle est si douce.

-Approche.

Je lui obéit, j'approche jusqu'à me plaquer contre son torse. Il passe ses doigts sous mon menton, le redresse et s'approche à son tour. Il regarde mes lèvres et vient les embrasser délicatement, avec une grande douceur. Je réponds à son baiser, sa langue vient doucement ouvrir mes lèvres et chercher ma langue. Herman vient au dessus de moi, je le laisse s'installer entre mes jambes.

Je glisse doucement mes mains dans son dos, sous son tee-shirt que je relève doucement. Notre baiser ne s'arrête que pour retirer nos hauts, Herman me regarde droit dans les yeux.

-Tu es magnifique.

Il m'embrasse sans attendre de réponse, des papillons se mettent à voler dans mon ventre et le désir arrive en flèche. Herman descends dans mon cou, puis il arrive à ma poitrine. Il prends mes seins avec douceur dans ses mains et les embrasse longuement en titillant leurs pointes dressés. Je soupire de plaisir, il a l'air si doué avec sa langue. Je ferme les yeux et profite de cette langue délicieuse sur ma poitrine. Mes mains glissent doucement dans ses cheveux et les lui tirent.

Herman continue sa descente sur mon ventre, jusqu'à atteindre mon pantalon. Il se redresse, glisse ses pouces sous l'élastique et le retire avec une lenteur ! Je me tortille pour qu'il le retire plus vite, mais il ne fait.

-Sois patiente ma douce.

-Retire ce pantalon plus vite !

-Chaque chose en son temps.

Il finit de le retirer, sans accélérer. Quand il quitte enfin mes cheville, Herman prends ma jambe droite et l'embrasse de la cheville jusqu'à la couture de ma culotte, toujours avec cette même lenteur, que je trouve sensuelle. Son regard m'enflamme, je sens ma culotte devenir très humide. Jamais je n'ai ressenti ça.

Mes mains glissent de nouveau sur son torse, jusqu'à atteindre à mon tour son pantalon. Je tire sur le noeud de l'élastique et retire comme je peux son pantalon. Il m'aide et finit de l'enlever seul. Je regarde son caleçon, on dirait que son sexe est à la hauteur de l'homme, je vois une jolie bosse. Je me mordille la lèvre inférieur, cet homme est non seulement beau, mais aussi très bien gâté par la nature.

Herman retourne entre mes jambes et retire ma culotte plus rapidement que mon pantalon. Il m'embrasse doucement le bas de mon ventre, le haut de mes cuisse, tourne autour de mon intimité, me laissant désireuse de la suite. Il place ses bras autour de mes cuisses, les écartent au maximum et pose un premier baiser sur mon sexe. Un coup de langue suis, un coup qui me fait déjà gémir. Je plaque mes mains dans ses cheveux, ferme les yeux et attends la suite. Je sens rapidement ses lèvres, sa langue et ses doigts sur mon intimité, mes mains se crispent dans ses cheveux, il est extrêmement doué !

Le plaisir monte tout doucement, c'est juste délicieux. Je comprends la réputation maintenant, les femmes sont comblées au moment même où ses lèvres touchent notre intimité. Il me fait aller jusqu'au bord de l'orgasme, puis il se redresse. J'ouvre les yeux et le regarde, il est juste au dessus de mon visage. Je l'embrasse en glissant mes mains jusqu'à son caleçon, que j'essaie de retirer comme je peux. Il le comprends et le retire.

Je passe mes mains entre nous et saisie son sexe, il est définitivement bien gâté par la nature, sans être trop énorme. Je fais un doux va-et-vient avec mes mains, Herman ferme les yeux et profite. J'y fait quelques minutes, puis il réussis à se libérer. Je le sens me chercher, puis il me remplit en douceur en m'embrassant.

Ses va-et-vient sont tendre, son baiser aussi. Je passe mes jambes autour de sa taille, il sourit contre mes lèvres et prends ma main droite dans la sienne. Il les plaquent contre le coussin et se redresse légèrement. Je garde les yeux clos et me concentre sur le plaisir qu'il me procure.

Et je ne tarde pas à sombrer dans un orgasme, je laisse mon cri sortir. Je ne sens pas Herman s'arrêter, bien au contraire, il accélère. J'ai du mal à sortir de mon orgasme, il ne me laisse pas de répis. Je pose ma main libre sur son bras et plante mes ongles dedans. Ce va-et-vient intense dur encore un bon moment, un moment où mon plaisir reste au plus haut. Il ne se calme qu'à son orgasme, je réussis à revenir doucement sur terre.

Herman.

Laura s'agite dans le lit, je ne sais pas de quoi elle rêve, mais ça a l'air agréable pour elle. Je décide quand même de la réveiller, elle s'agit beaucoup trop. Je la secoue légèrement, elle grogne.

-Hé, Laura, réveille-toi.

Elle soupir de nouveau en remontant la couverture sur elle, j'essaie quand même de la réveiller, et j'y arrive ! Elle me regarde, puis plaque ses mains sur son visage.

-Putain, c'était un rêve !

-Je ne sais pas de quoi tu rêvais, mais tu étais à fond.

-J'imagine bien. Pourquoi tu m'as réveillée ?

-Parce que tu t'agitais autant ?

-Pour rien.

-C'était un rêve coquin, c'est pour ça que tu ne veux rien me dire ?

Elle marmonne une réponse que je ne comprends pas, puis elle se redresse.

-Je vais me changer.

Elle quitte le lit, ça récupère son pyjama et s'enferme dans la salle de bains. Je souris en secouant la tête, elle a effectivement dû faire un rêve coquin. J'y crois pas, cette femme m'étonnera toujours. Je rouvre mon livre et je continue ma lecture.

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Je ne suis pas désolée. Herman et Laura n'ont couchés qu'en rêve...

Une vie sous contratOù les histoires vivent. Découvrez maintenant