solène.
- debout la dedans !
j'ouvre les yeux et je constate que tous le monde a déserté la voiture, sauf sneazzy qui prend un malin plaisir à me gueuler dans les oreilles.
je sors doucement et retrouve tous le monde dehors devant la maison.
j'observe les alentours, alors on est à nice.
ken s'avance sur le perron et une vielle dame vient nous ouvrir. sa grand mère je suppose.
il la prend dans ses bras et elle pleurniche en voyant tous les garçons. je reste en retrait le temps des retrouvailles car après tout, elle ne me connaît pas et moi non plus.
- qui est cette charmante jeune fille ? demande t-elle en s'avançant vers moi.
elle prend mon visage entre ses main et m'embrasse les deux joues.
- solène, yiayiá, présente ken.
(ndla:grand mère en grec)
- qu'elle est magnifique ! commente sa grand mère.
je souris gênée et les garçons rigolent. elle passe à mekra et lui pince les joues.
- alors chéri, tu es revenu voir yiayiá ? que tu es beau toi aussi ! et toi mon doumy, qu'est ce que tu as fais à tes malliá !
(ndla:cheveux en grec)
je ris accompagné du reste de la bande et elle reprend.
- vous êtes parti póte ?
(ndla: quand en grec)
- echthés, répond ken et les garçons hoche la tête.
- hier en grec, me souffle eliott dans l'oreille. mais on est parti ce matin enfaite.
je le remercie d'un sourire et yiayiá nous propose de monter nos valises.
- eum, on en a pas pris, lâche eliott.
- oh ! vous êtes parti précipitamment ?
- sur un coup de tête, corrige ken.
elle hoche la tête.
- il doit rester des habits de la dernière fois, dit elle. entrez ! et mettez vous à l'aise mes enfants !
je me rapproche de doums et il passe un bras sur mes épaules.
- elle vous connais tous apparement, je dis en souriant.
- on vient de temps en temps pour s'éloigner de paris, m'explique eliott. elle nous accueille à chaque fois, elle est tellement gentille.
je souris en rentrant dans ce qui s'apparente à un salon. il est ouvert sur une petite cuisine ou s'affaire déjà la propriétaire de cette maison.
- vous devez avoir faim !
elle s'agite dans tous les sens et ken la regarde préparer le repas.
- va dont l'aider au lieu de te marrer, je dis.
il se retourne et hausse un sourcil.
- allez allez.
je claque ses fesses et il sursaute. un sourire malicieux s'installe sur son visage et il s'en va aider sa grand mère.

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c a r e e r s .
Fanfictiondeux personnes. deux cœurs brisés. pour des raisons différentes mais pourtant si semblables. « dans tout les cas, l'amour ça fait mal.» deux personnes portant un amour pour leurs carrières. «si tu leur montres que tu les aimes ils te haïront.» sol...