chapitre 186

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solène.

je saute dans les bras de doums et il me réceptionne avec un peu de difficulté du à sa surprise.

- t'as quoi sale gosse ?

- demain c'est noëëëël, mon doums, un peu de joie voyons ! je m'exclame en voyant les têtes de déterrés que tirent les garçons.

- putain, rappelez moi de la faire dormir moins longtemps que dix heures.

- c'est aps sa faute si elle s'endort comme une merde à chaque rée-soi, commente louis et il se prend un magnifique doigt.

je leur adresse un baiser de loin pour me poser rapidement sur les genoux de framal près de mekra et eliott, crayon à la main pour le bresson et un casque autour du cou pour mon dj préféré en équivalence avec mon hugz.

- t'es tarpin contente, remarque théo en mâchouillant son bois.

- j'espère que vous avez pensé aux cadeaux, je souris.

- j'en ai marre de t'offrir des trucs, vivement le 13 janvier que j'ai ma bagnole tiens, soupire sneazz alors qu'on éclate de rire.

- ca va comment ? je demande à mekra qui m'observe.

- ienb, et toi ?

je hoche la tête en souriant et me relève pour me placer devant tous les gars.

- vous avez pas envie daller squatter le parc ?

la plupart haussent leurs épaules.

- s'il vous plaiiiiiit.

- tu m'énerve quand t'es comme ça, râle eliott.

- elle usante j'vous jure, se plaint ken en s'asseyant entre ses frères tout en jouant avec ses clés de voitures.

- toi tu la fermes, je m'en vais pleurer dans mon coin.

- j'viens avec toi princesse.

- mon doumam's me suit, je les nargue en ouvrant la porte.

je saute sur le dos du noir qui s'offre à moi et j'entends quelques railleries.

- pas de fumette, prévient ken.

- je fais ce que je veux, je souris.

- t'es ultra chiante mahé, il lance en se levant pour me tirer du dos de doums.

- va te faire voir nekfeu.

il me traîne jusqu'au canapé ou framal s'est étalé et doums se rassoit finalement tout seul en face de nous, de l'autre côté de la table.

il encercle ma taille et je me met à tripoter ses manches de sweat.

- pourquoi on est là si tôt ? je demande, abandonnant mon écoute de la musique rythmée qui passait par les enceintes de théo.

- parce que mademoiselle n'arrivait aps à dormir peut être ?

je tire sa marche et il grogne.

- j'ai raison, tais toi homme.

je sais qu'il hausse ses yeux et je tourne me tête pour engager la discussion avec antoine qui paraît stressé.

c a r e e r s .Où les histoires vivent. Découvrez maintenant