c a r e e r s .

chapitre 87

parce que vous êtes si gentils et puis j'avais envie de poster la suite ayant posté un mini truc cet aprèm !

bonne lecture :p

ken.

on avait fêté la nouvelle dignement et solène allait le regretter si ce n'était pas déjà le cas.

- passe la 'teille, elle réclame à théo.

- t'es saoule solène.

- toi aussi, elle rit.

j'entoure mes bras autour de sa taille et elle ricane doucement.

- c'est toi bébé ?

je me tend et un silence s'installe.

- allez on rentre, je soupire.

- je reste avec doumy, elle lâche en se collant au bras de doums.

- eh sol ?

elle tourne sa tête vers moi. 

- chiche de monter sur mon dos ?

- chiche.

elle se lève et trébuche. framal la rattrape et elle le remercie en s'étalant sur ses jambes.

je grommelle mais elle reste la, moitié assise moitié coucher sur mon meilleur ami.

je lui attrape les hanches et elle rigole.

- on va faire un tour solène ?

- ouiiii.

framal la dépose sur mon dos et je lui attrape les jambes.

- on va oùùù ?

- surprise, je répond.

- maiiiis, j'aime pas les surprise.

- moi si, on s'taille.

- bon courage khey, me lance mekra en riant.

je le remercie d'un signe de tête et je sors, accompagnée de solène, parlant toute seule.

- comment il me regarde mal celui là !

je tourne la tête dans tout les sens pour essayer de capter la chose qu'il la frustre avant de me rendre compte que c'est enfaite le mur qui l'agace.

- il nous suit, dit elle en laissant glisser ses doigts contre celui ci tandis que je le longe pour déboucher sur un carrefour.

- on va où ? demande t-elle et je sais qu'elle a baillé.

sa tête tombe dans mon cou et je sens son souffle sur ma peau. je presse le pas, ne voulant pas qu'elle attrape froid et je tape le code de son immeuble pour rentrer.

je plonge ma main dans ma poche de jean et ouvre la porte de son appartement avec les clés qui m'appartiennent aussi. je la dépose directement dans son lit et elle se roule en boule.

- mon coeur, viens au moins te changer.

elle se relève doucement tout en gardant ses yeux fermés et elle monte ses bras en l'air.

je lui retire son sweat et son pantalon et elle rampe pour se mettre sous les couettes. je la rejoins après avoir enlevé mon bas et elle se colle contre moi.

- je suis qui ? elle demande en ouvrant vivement ses yeux, tellement bien que je doute de sa lucidité.

- t'es mon amour à moi.

elle sourit et referme ses yeux en resserrant ses bras autour de mon torse.