c a r e e r s .

chapitre 69

eh eh, qui dit chapitre 69 dit.. je me tais :") bonne lecture !

solène.

il était convenu qu'on aille tous à la pêche avec pappoús, j'étais donc entrain de me préparer.

ken rentre dans la chambre, que j'étais censée occupée mais ce n'était pas le cas car je dormais avec les garçons.

- tiens, dit il en me tendant une grosse polaire. pappoús te la prête pour pas que tu te les caille.

je le remercie d'un sourire et il s'assoit sur le lit. j'étais encore en pyjama, la brosse à dent dans la bouche.

- tu peux pas savoir à quel point ça m'excite de te voir porter mes affaires, dit il en souriant en coin.

je recrache mon dentifrice et me rince la bouche.

- sincèrement ? je demande en l'approchant.

je me pose sur ses jambes et il sourit malicieusement en posant ses mains sur mes hanches.

- sincèrement.

je gigote doucement en souriant et il se crispe d'un coup. je ris et il me renverse.

- coquine.

je passe une main dans ses cheveux en jaugeant son regard.

- je sais pas ce que j'attend pour te faire l'amour, la maintenant tout de suite, mais je loupe quelque chose, dit il en plongeant sa tête dans mon cou.

son souffle vient s'échouer sur ma peau et je le sens poser délicatement ses lèvres sur ma clavicule.

la porte s'ouvre en grand et on sursaute tous les deux.

- bordel, j'ai rien vu ! s'écrie sneazzy en partant en courant.

- la porte ! gueule ken en se levant brutalement et en la claquant.

il revient vers moi et je le repousse d'une main sur le torse.

- on finira ça plus tard, je dois me préparer, je glisse.

il grogne en se laissant tomber sur moi.

- j'ai envie de toi, il chuchote la voix rauque.

- je le sens bien, je ris en le poussant sur le côté.

- solèèèèène, t'es pas drôle, steuplait, ca sera rapide.

- tu me montreras ca une autre fois, dans d'autres circonstances, je rigole en m'avançant vers l'armoire.

j'attrape un t-shirt qu'on avait acheté il y'a deux jours de la et enlève mon gros sweat seine zoo pour mettre mes sous vêtements ainsi que le t-shirt.

- la torture putain, râle ken en passant ses mains sur son visage.

je souris en enfilant un autre jogging propre et j'enfile par dessus, la polaire m'arrivant aux cuisses.

- plus stylé, tu meurs, je ris.

il se relève et vient enrouler mon cou de ses bras, bloquant au passage mon bassin contre le mur derrière moi.

il relâche un peu son étreinte pour que j'ai juste le temps relever la tête alors qu'il dépose ses lèvres sur les miennes.

je le repousse.

- stop, je te vois venir, je rigole alors que ken grogne.

- putain de torture, dit il en sortant de la chambre.

je sors après lui et rejoins pappoús dans le garage pour l'aider.

il est cinq heure du matin et il pète la forme.