c a r e e r s .

chapitre 82

n'oubliez pas que je vous aime, peu importe ce que vous avez été, ce que vous êtes et ce que vous serez  ♥︎.         -ly'

solène.

- alors comme ça on ne veut pas allez chez nadine ? je demande en soulevant finn.

- nounou elle est zentille mais solène encore plus, dit il en souriant.

- finn ! je veux lui faire un câlin moi aussi !

- viens là ma nel'.

je l'attrape après avoir déplacé finn sur ma hanche droite.

- te fais pas mal sol', remarque nelly en me faisant un petit bisou sur la joue.

je secoue la tête et prend la direction de la cuisine.

- vous avez mangé ?

- non !

je les dépose sur la table, ordonnant à nelly de surveiller finn qui pourrait essayer de descendre tout seul, tandis que je me mets en préparation de leur petit déjeuner.

la sonnette retentit et je me souviens brièvement des paroles de ken hier.

- c'est moi bébé !

je me mords la lèvre en me retournant.

- dans la cuisine avec finn et nelly, j'avertis.

il apparaît en fronçant les sourcils mais il se reprend en voyant nos regards, aussi bien celui de nelly que celui de finn, sur lui.

- ca va comment ? il demande en m'embrassant la trempe et je souris.

- parfaitement bien, ma mère me les a déposé en prétextant que finn ne voulait pas allez chez la nourrice, je souris.

- nelly aussi !

- même pas vrai !

ken rigole doucement en attrapant mon frère et finn gigote.

- tu me re prête ta casquette ?

ken pose l'objet de ses convoitises sur la tête de finn et il affiche un sourire radieux.

nelly descend de la table et ken la salue.

- vous déjeuner tranquillement ? je demande en lançant un regard à nelly qu'elle perçoit.

elle hoche la tête en souriant malicieusement et commence à réprimander finn qui mange avec les doigts.

je m'écarte de la cuisine et monte dans la partie chambre, sans me préoccuper si ken suivait. je sens son regard sur moi, cela suffit déjà à me confirmer sa présence.

- tu sais ce que tu fais est mal ? je demande en poussant la porte de ma chambre mais ne la fermant pas totalement en cas d'urgence.

- ah oui ?

- réprimander par la loi il me semble ?

- mattez sa copine ? il demande en souriant.

- tout à fait, je souris alors qui se rapproche.

- j'ai tout mes droits sur son corps comme elle les a tous sur le mien, dit il en me déposant brièvement un baiser sur les lèvres.

- ca me paraît juste.

je glisse mes mains dans son dos et il en profite pour plonger sa tête dans mon cou.

- j'espérais une journée à deux, dit il en soupirant.

- deux plus deux, ca fais quatre, je rigole. ils ne seront pas pénibles, je le rassure.

- vivement l'heure d'la sieste.

j'éclate de rire et il relève la tête.

- qu'est ce qu'il y a ?

- c'que tes putain de belle quand tu rigoles.

pour toute réponse, je lui souri avant de l'embrasser à en perdre haleine. je vous jure qu'à ce moment c'était parfait. lui et moi. moi et lui. nous quoi.