I V A N I T AJe réajuster mon tee shirt qui étais remonter, balancer mon petit sac à main sur l'épaule et pousser la porte en fer que l'on m'avais ouvert.
j'étais habituée à c'est endroit, je m'y suis toujours rendu, que se soit pour mon père ou mes frères assez fréquemment.
on me laisser rentrer on me poser des questions me mettez en garde sur des bla-bla inutile que je n'écouter sincèrement pas, et que je connaisse a force sur les bouts de doigt. Il regarder dans mes affaire rapidement et me laisser passer.
je m'asseyais sur une chaise en attendant qu'on l'amène.
je le voyais arriver avec deux homme menotté. il étais beau, grand ,musclée,ses yeux clair qui éclairer la pièce entière d'un seul coup de regard. Sa peau bronzée parfaitement relever,ses balafre qui endurcissent son visage d'homme. mon grand frère..
il le détacher et il attrapé le téléphone, j'effectuer le même geste machinalement.
Paolo: tu viens foutre quoi ici?. dit-il en me fixant méchamment.
Ivanita: je suis pas ta copine parle moi mieux.
Paolo: et c'est pas une gamine comme toi qui va me la faire fermer.
Ivanita: ta pas changer .dit-je en souriant nerveusement. je vais me contenir de t'insulter pendant quelque minute, je te le dit simplement fait toi petit et ne te fais pas remarquer Emiliano et Angelo sont mort.
Paolo: intéressant .dit-il en hochant la tête positivement.
Ivanita: él te recogerá
il viendra te chercherIl hocher simplement la tête et fixer constamment mon bras.
Paolo: c'est quoi ton bras?
Ivanita: rien d'important .dit-je en le cachant sous la table. une petite histoire.
Paolo: qui ta fait sa Ivanita?
Sa m'effrayer toujours quand il employé cette phrase, sa grosse voix qui résonnait dans mes tympans,c'est yeux dure comme si il allait tuer quelqu'un juste avec un regard. Le grand méchant loup,sauvage depuis toujours.
Sa me rappelle quand nous étions plus petit, encore en Colombie,quand les petit garçons me taper ou me pousser pour que j'aille jouer avec les filles. L'époque où nous nous « supportions » encore, que nous étions plus proche que personnes, qu'on fessait tout l'un pour l'autre.Ivanita: j'ai pas besoin de toi Paolo, je n'ai plus besoin de toi depuis des année, et Dieu merci sinon je serait déjà morte.
Paolo: très bien .dit-il en soufflant en se mettant bien au fond de son siège. C'est tout se que tu avais à me dire?
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LOYALTY
FanfictionLa haine excite des querelles, mais l'amour, couvre toute les fautes. 𝐋.𝐈