I V A N I T AJe suis accoudée à la rambarde du balcon depuis maintenant une bonne heure, la nuit n'allait pas tarder à tomber à vrai dire. Les seul bruit était mes lèvres fumantes qui recracher lentement la fumer de ma cigarette.
Desireè: on m'a dit que je te trouverais ici.
Je me retournais et elle entrée sur le balcon pour s'accoudais à côté de moi.
Ivanita: merci pour la dernière fois.
Desireè: s'il te plaît ne me remercie pas pour sa,Noah oublie parfois qu'il n'a pas tout vue et tout connue.
Ivanita: nous ne vivons simplement pas dans le même monde, c'est pas vraiment de sa faute.
Desireè: il a eu la vie que son frère n'a pas eu.
Ivanita: c'est vrai.
Desireè: il parait que son état n'est plus en danger?.
Ivanita: il parait oui, il va s'en sortir.
Elle hochais la tête avant de sortir une cigarette à son tour. Le léger vent était agréable, le silence lui aussi l'était d'ailleurs.
Desireè: un soir il m'a appelé, il avait l'habitude de le faire mais cette discutions n'était pas là meme qu'habituellement, il était plus toucher, il était complètement ivre mais il paraissait pourtant si sobre. Je pensais que tout était habituel jusqu'au moment où il a bafouiller médicament et mourir dans la même phrase.
Je sourire amèrement en me remémorant se souvenir.
Desireè: je sentais mon cœur se déchirer et j'étais putain d'impuissante dans cette situation,j'étais complètement effrayée à l'idée de savoir ce qu'il fessait. Il avait seulement quinze ans, c'était un bébé, mon petit frère n'était qu'un enfant. Puis je me souvient ensuite avoir entendu des crie puis il a bafouiller à nouveau médicament et mourir dans cette phrase sauf qu'en plus de tout sa cette fois il a continuer en plaçant ton prénom, puis après sa j'me souvient que sa a continuer à crier puis il a raccrocher et il ne m'en jamais reparler, j'ai jamais oser remettre le sujet sur la table. Sa me tourmente beaucoup depuis toujours, je voudrais juste savoir après sa que ce qu'il c'est passer?
Ivanita: je l'est forcer à se faire vomir, je l'ai forcer à vomir jusqu'à que la plaquette de médicament se retrouve au fond de la cuvette. J'lui ai hurler dessus pendant au moins quarante cinq minute est c'était sincèrement la pire nuit de ma vie, mais j'lui ai promit que c'était un secret, trop honteux il ne voulais même pas se l'avouer a lui même. Au fond il voulait pas mourir, ce soir là il voulait simplement qu'on le remarque, qu'on lui porte ne serait-ce qu'un tout petit peu d'importance. J'ai passer des heures à lui dire qu'un jour sa passerait, que tout s'arrangerait. Que je l'aimais de tout mon putain de cœur.
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LOYALTY
FanfictionLa haine excite des querelles, mais l'amour, couvre toute les fautes. 𝐋.𝐈