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I V A N I T A
Je ressortais l'aiguille de ma peau et laisser la seringue tomber au sol pendant que je retirer l'élastique qui me serrer le bras. Je sentais la drogue divaguer doucement dans mon corps pendant que je lâcher un soupir délicat.
une semaine est passer, enfin je croit. Encore une longue semaine.
mes journée ne résonne plus qu'à sa à présent, me droguer, c'est tout se que je suis pas vrai? une droguer. Je n'attend que l'overdose a tout dire,mais le pire dans tout sa c'est que sa ne me fournit plus assez de bien, je veux goutter à quelque chose d'encore pire, que sa me repose même en étant morbide.
mon téléphone ne fait que de sonner depuis quelque jour, beaucoup d'appel par jour mais à vrai dire je ne sais pas où il est et je n'est pas la force de le chercher, hier je n'ai même pas réussi à me lever pour me rendre à l'église, j'ai perdu toute force, même marcher parfois est difficile.
les cauchemars me rende le peu de sommeil difficile, j'en fait de toute sorte et je ne serais les expliquer, mais je sais qu'il va se passer quelque chose,quelque chose d'horrible. Je le sent c'est tout, mais quoi? J'en sais à vrai dire pas grand chose.
je prie qu'il ne leurs arrive rien, par pitié.
je fixais le plafond en délirant à moitié, je suis sincèrement devenue une larve et j'arrive vraiment pas à me reprendre à main, je sais pas si c'est une fin ou si il va se passer autre chose, j'en sais plus que rien mais j'arrive pas à passer à autre chose.
je ne suis désormais plus Ivanita la femme forte au valeurs d'or, cette femme a décidément décidé de s'évaporer de la surface terrienne.
j'y aurais jamais crue c'est vrai, je me pensais bien trop forte, plus forte que n'importe qui est à force de jouer les dure on finit par perdre toute notre crédibilité et c'est se qui m'arrive, j'en perds sincèrement mes mots.
pourtant je ne devrait pas, je veux être la fierté de mes deux parent, je veux y arriver pour chacune des personnes qui croient en moi même si il n'y en que peu.
je veux y croire une dernière fois.
Je laisse échapper quelque larmes que j'essuyer avec le révères de ma main rapidement, puis finissais pas les laisser ruisseler le long de mes joue rougis.
je serré la crois de mon père fort entre mes doigts et essayer peut-être d'oublier?
