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I V A N I T A
Sous le soleil colombien.
un mois et demi c'est écoulée. a vrai dire ce mois n'a étais qu'une véritable catastrophe. je me suis noyée dans la peine et la détresse puis avec un peux de haine,enfin beaucoup de haine.
je ne suis plus jamais retourner à Seattle depuis la dernière fois, avec tout honnêteté je n'ai pas eu vraiment le choix. Ce même jour ils ont effectuer des examens à Valentina en me garantissant que nous étions au pieds du mur, plus que quelque semaine ne lui rester parmi nous. Ç'étais une maladie inconnue d'après eux qui tuer chaque cellules de son corps et qui la détruisait petit à petit alors j'ai pris le premier avion et j'ai passer c'est dernier jour à vivre avec elle et Alejo.
son enterrement c'est passer il y a trois jour maintenant. tout le monde étais là, énormément de personne, et je ne les remercierais jamais assez. Mais vous me connaissez maintenant je me suis renfermer, sur moi même, seul.
pour ne pas vous mentir je m'en veut, Je m'en veut de ne pas avoir réussi à la protéger, de ne pas m'en être occuper avant ou toute sorte de bordel, je n'ai pas étais digne cette fois c'est vrai. Mais vraiment pas du tout alors qu'au final je ne pensais que bien faire.
Emiliano a réussi et j'ai échouer il avait raison, certes il est mort mais il a eu bien plus il a eu la chute de mon entourage et finalement la mienne aussi. Je le déteste mais je n'ai plus aucune occasion de me venger, rien ne lui fera payer, enfin si la colère de Dieu.
J'ai couper tout contacte avec tout le monde. L'humain , le monde extérieur et même les choses au quel je n'aurais jamais penser. Cette petite chose qui est morte m'a enlever une partie de moi, une énorme partie.
un soir elle c'est mis à pleurer en plein nuit alors je l'ai bercer pendant des heures,puis elle c'est endormie sans jamais se réveiller et à vrai dire je n'ai rien su faire, je n'ai ni appeler qui que se soit, ni poser, rien de tout sa. J'ai continuer longuement à la bercer jusqu'au petit matin en priant pour qu'elle se réveil, mais elle ne c'est bien sûr jamais réveiller, je le savait mais l'espoir fait vivre.
alors j'ai organiser un grand enterrement dans l'église natal de notre famille, quelque chose des plus religieux qui existe, celle où nous avions étais baptisé ou encore ou nos parent avait l'habitude de ci rendre. Bizarrement je n'ai pas pleurer, je me suis briser jusqu'à ne plus vivre, et je refuse d'être aider, je passe des heures dans cette églises à priait ou chantonnait la berceuse que ma mère me chanter enfant.
