𝐂𝐮𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭𝐚 𝐲 𝐮𝐧𝐨

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I V A N I T A

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I V A N I T A

Deux jours sont encore passer, seulement deux simple jours mais rien ne c'est arranger et à l'entente des sanglots qui remplisse la pièce c'est une certitude.
Sont corps refuse ce que Rays lui donne pour essayer de calmer ses souffrance intérieur, son corps rejette toute ses foutue dose de médicament.

J'étais une fois de plus assise à ma place habituel depuis des heures entières à contempler ses yeux comme si je ne rêver que d'une seule chose, qu'il s'ouvre enfin.

La pièce est toujours remplie de vie c'est dernière temps, les aller retour des un et des autres la comble à chaque instant. Nos amis, sa famille ou bien même des personnes que je n'ai même jamais vue. Ils passe chacun leurs tour pour contempler sont état désastreux.

Et puis il y a moi, Ivanita.Je passe des heure entière à le regarder dormir paisiblement,lui parler de toute sorte de choses ou encore le supplier de tenir, le supplier de tenir encore quelque jours de plus ou de se réveiller à tout jamais. Je n'ai jamais attendu la mort dans un hôpital, sa a toujours était rapide ou encore très radicale. Mais il n'y a rien de pire que d'être dans le dénie. Je vient même à douter d'une futur vie, peut-être que Rays a raison depuis le début qui sait? Peut-être qu'il ne s'en remettra jamais.
Que c'est peut-être nôtre foutue fin, le moment de se quitter, de se dire adieu pour l'éternité. Mais je refuse cette option, je la refuse par pur égoïsme encore une fois. Je suis complément effrayer.

Je regarde tout ses gens passer les un après les autres se blesser en réalisant son état pitoyable, comme si il ne réaliser pas avant, comme si tout sa était nouveau alors que sa dure depuis des semaines maintenant.Il n'y a rien de pire que sa, de voir la chute des sien.

La porte s'ouvrer et se fermer une énième fois et je me suffisait seulement de pousser un soupir.

Rays: il faudrait que je vous parle Angela.

Il se raclait la gorge et les personnes en trop finissait par sortir, il ne rester plus que les plus proches de la famille.

Je placer mon regard sur la vue par la fenêtre, à force je n'ai même plus envie d'écouter ce qu'il raconte, écouter quoi? Que son état empire, encore, ou alors que son corps rejette une énième fois ses dose. Ce refrain constant me bousille le crâne en toute honnêteté.

Rays: j'ai essayer tout se que j'avais en réserve est là je suis sincèrement à court, il rejette absolument tout. Les dose sont beaucoup trop forte sa lui bousille toute ses cellule et sa commence même à ronger ses organes. Ont est au pieds du mur, je sais plus quoi faire pour le maintenir en vie, il souffre énormément enfermer dans se corps. Tout les calmant possible je les ai tester mais rien, absolument rien. Dans cette état il ne passera pas deux jours de plus.

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