𝐕𝐞𝐢𝐧𝐭𝐢𝐮𝐧𝐨

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L A T H A N

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L A T H A N

3 semaine plus tard.

Je fixais le ciel est écraser mon mégots dans le cendrier au centre de la table de jardin, je ramener mes deux coude sur la table et positionner ma tête sur c'est deux là.
je me massais les tempe en recherche de réconfort.

je frotter douloureusement mon poignets qui rougissent à ce contacte.

j'suis perdu, merde.

Herman: ta trouvé des solutions?

Lathan: j'ai l'air d'avoir trouver des solutions là .dit-je en lui crachant ma haine en relevant mon visage vers lui.

Herman: trouve en une avant c'est putain de vingt quatre heure ou je brûle tout Seattle.

Lathan: fait se que tu veux et me casse pas les couille ta compris?

Herman: TU COMPREND QUELLE A QUATORZE ANS , QUATORZE PUTAIN DANNÉE ?

Lathan: JE SAIS PAS QUOI FAIRE BORDEL TU VEUX QUE JE FASSE QUOI DE PLUS HEIN?
TE MENTIR POUR TE FAIRE PLAISIR? EH BAH NON JEN SAIS RIEN ET JE SAIS PAS SI J'EN TROUVERAIS UNE MERDE.

Herman: si on touche encore un cheveux de ma famille je te brûle vivant.

Andrew: vous foutez quoi encore?

Herman: casse toi .dit-il en le poussant pour passer.

Lathan: PUTAIN .dit-je en éclatant le cendrier contre le mur.

Je rentrer rapidement à l'intérieur et monter les escalier pour rejoindre mon lit et m'asseyais au bord.

Je retirer mon tee shirt que je jeter quelque part dans la pièce et me laisser tomber en plein milieu en fixant le plafond, c'est comme si mon cerveau étais paralysée,
j'ai plus aucune solution, pourtant je débordée toujours de solution en cas de problème.

Normalement si y'a pas de solution y'a pas de problèmes.

mais cette fois c'etais trop différent il manquer l'élément pour nous sortir de la merde et je sentais qu'on aller tous y passer sans aucune conditions, tous.

Pourtant c'est pas l'envie qui manque de les voir tous brûler sous mes yeux, si vous saviez mes idées à quelle point elle sont cruelle.

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