𝐒𝐞𝐭𝐞𝐧𝐭𝐚 𝐲 𝐨𝐜𝐡𝐨

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I V A N I T A

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I V A N I T A

Juan: où est ce que tu à passer la nuit?

Je passer mon regard sur son visage avant de le replacer a mon point imaginaire, je recracher lentement ma fumer et il tirer la chaise à côté de la mienne pour si assoir.

Juan: quand je parle j'aime bien qu'on m'écoute et surtout qu'on me réponde.

Je froncer mes sourcils avant de le fixer.

Ivanita: j'ai pas de compte à te rendre Juan, j'ai aucun compte à te rendre puis d'ailleurs ni à toi ni à personne sous se toit.

Juan: je veux savoir où tu à passer la nuit.

Ivanita: et moi je voudrais savoir pourquoi tu me lâche pas bordel.

Juan: parce que je suis ton grand frère.

Ivanita: raison de plus pour que tu me lâche, Paolo et toi vous n'êtes pas mon pere bordel rentrer vous sa dans le crâne.

Juan: heureusement pour toi.

Je souffler bruyamment avant d'écraser mon mégots dans le cendrier.

Juan: j'ai pas envie de me prendre la tête avec toi, je veux simplement m'assurer que tu aille bien.

Ivanita: arrête de jouer à ton petit jeux de frère exemplaire.

Il souffler bruyamment à son tour.

Juan: putain mais pourquoi t'est aussi compliqué à la fin?, sa t'arrive d'être une personne normale plus de dix minute consécutive?. Pourquoi faut il toujours être dans le conflit avec toi? Hein? je t'ai poser une simple question, tu ne peut pas simplement te suffire d'y répondre?

Ivanita: je n'ai pas envie de parler avec toi.

Juan: mais tu va pas avoir le choix, parce que moi je l'ai décider.

Ivanita: et d'abord pourquoi je devrait être sous TES ordres? je ne te doit rien Juan, je ne te doit rien du tout.

Je me lever pour essayer de rentrer à l'intérieur et il se lever à sont tour pour me bloquer le passage, je lever la tête pour le regarder et il froncer ses sourcils instinctivement.

Ivanita: arrête d'agir comme si j'avais quatorze ans, arrête d'agir comme quand nous étions encore que des gosse. Je suis libre de mes penser et de mes choix et qui que tu soit je resterai sur la même position. C'est ma propre vie et non la tienne, alors abstinent toi deux minute de jouer à ce petit jeux d'enfant immature tu comprend, puis tu sais quoi? je t'enmerde Juan, de plus profond de mon cœur.

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