La réaction des enfants.

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Chapitre 88 : 

La lune est la seule source de lumière autour de nous, mais tous ce qui compte pour moi sont ses mains sur mon corps, ses lèvres sur mes seins et ma peau. La sensation de son corps nu contre le mien, nos deux corps sont en feu ! Un feu ardent qui brûle encore plus à chaque fois qu'il me touche, à chaque fois qu'il m'embrasse ou me dit des mots cochons. Sa langue glisse sur ma peau, il me goût comme si c'était la première fois, son ascension le mène à l'endroit le plus sensible de mon corps. Mon clitoris ! Je crie presque quand sa langue touche ce petit bouton de chaire si sensible. Il sourit en voyant l'effet qu'il me fait, et il reprend cette agréable tortue qui me fait gémir. J'attrape ses cheveux que je tire sans ménagement, me tortillant sur notre matelas. La tension devient presque insupportable pour moi, je ne veux que lui, j'ai besoin de lui en moi ! Sentir nos deux corps se lier l'un à l'autre de la plus belle des façons, dans la plus belle des osmoses ! D'une voix rauque et pleine de désir, je le réclame, l'implorant de combler mon désir sans plus attendre. 

Il répond à mon désir en entrant en moi d'un coup de rein, provoquant en moi un cri des plus aigus qui si ce n'est pas déjà fait risque de réveiller toute la maison. Mais rien ne nous empêchera de nous donner du plaisir surtout après cette journée riche en activité sportive et nautique. Nous n'avons pas eu une minute à nous de tout l'après-midi pour la simple raison qu'on accordait la moindre minute à nos enfants. Nous sommes à Los Angeles depuis maintenant deux semaines et chaque nuit est intense ! Cette nuit ne déroge pas à la règle, il est au-dessus de moi, aller et venant avec rythme, force et passion. Je m'agrippe au drap en gémissant en même temps que mon mari. Le plaisir augmente encore et encore, l'intensité est tel que nous atteignons l'orgasme en même temps, jouissants à l'unisson.

Essoufflés, nos deux corps transpirants, nous restons allongés l'un contre l'autre en silence à tenter de nous remettre de nos émotions. Zayn se tourne vers moi et caresse mon ventre. 

Zayn : On va le dire aux enfants demain ? Il commence à s'arrondir. 

Moi : On verra ça demain, j'ai faim ! 

Zayn : Tu veux quoi ? 

Moi : Mmm... de la glace. 

Zayn : Bouge pas, je reviens. 

Il se lève, le cul à l'air mais je l'interpelle avant qu'il passe la porte pour lui rappeler de mettre un caleçon au risque de tomber sur l'un de nos enfants ou pire sa mère. Imaginant cette situation, il s'empresse d'enfiler un caleçon en grimaçant puis il sort de la pièce.

PDV Zayn :

Le corps dégoulinant de sueur, je quitte la chambre seulement vêtu de mon caleçon afin de satisfaire ma femme en lui apportant de la glace. La maison est plongée dans l'obscurité et le silence, un silence qui n'était pas présent il y a encore cinq minutes. D'un pas léger, je descends les marches pour rejoindre la cuisine. Mais de la lumière et le son de la télé m'informe que quelqu'un est levé, je me rends dans le salon où je découvre mon fils seulement vêtu d'un short assit devant la télé a envoyé des textos. 

Moi : Qu'est-ce que tu fais debout à une heure du matin ?

Noah :  Je n'arrive pas à dormir... 

Moi : Pourquoi ? 

Noah : Depuis trois jours, je sors avec une fille super canon. Elle s'appelle Samantha et elle a 17 ans.... 

Moi : 17 ans !?

Noah : Ouais, toutes mes amies disent que je ne fais pas mon âge. 

Moi : D'accord, dis-je en rigolant. Et qu'est-ce qui ne va pas avec Samantha ? 

Porter l'enfant de Zayn - Tome 4Où les histoires vivent. Découvrez maintenant