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- L'amour?
non, enfin à cette époque je n'en savais encore que très peut.
- L'amitié?
Très certainement, ou bien même sûrement.
- Le dénie?
Peut-être oui, car j'ai à plusieurs reprise étais dans le dénie.
- Alors c'est peut-être, le mensonge?
Non, sa jamais. Jusqu'ici j'ai étais sûr de très peut de chose mais là, j'en suis certaine. Je ne suit pas une menteuse et je ne l'ai jamais étais. Le mensonge est péché et Dieu déteste le péché, depuis des siècles et bien même au commencement.
Enfin ce que je veux dire parle la, c'est que au départ et à nos début je voulais combattre avec simplicité le monde a tes côté, sans forcément toucher une seul fois à ton cœur.
A vrai dire, je ne l'ai pas voulu moi, ton cœur en totale dérision et tes yeux qui si il le pouvait, passerais leurs temps à me détailler, comme tu la toujours fait. Ou bien encore tes lèvres qui elle, me chuchoterait que tu m'aime a longueur de journée.
Toute c'est étapes de nos vies fragile ou nous avons tenter tant bien que mal de nous éloigner, mais en cherchant à nous éloigner de tout sa on a tout simplement finit par au contraire, rapprocher nos âmes ainsi que nos coeur, tu ne croit pas?.
Nos coeurs qui eux, en avait bien trop vécu pour nos âges précoces. Nos âmes qui avait souffert le martyre à nos temps orageux. Mais face à tout sa, la nuit tu passais la plus part de ton temps à me chuchoter que tout irait bien.
Puis parfois ,j'y ait crut, aussi bêtement que sa l'est j'y ai cru de tout mon cœur et à plusieurs reprises, parce qu'il fallait bien s'attacher à quelque chose. Et moi, j'avais décider de m'attacher à la bonté d'une vie nouvelle.
Mais face à tout sa il y aussi eu l'étape où tu ma promis qu'on ne se laisserait jamais, mais sa pourtant, j'y ai jamais vraiment cru, parce que c'est vrai, regarde ou nous en sommes aujourd'hui.
Puis comme tu me l'a promis la larme à l'œil, on se retrouvera. Parce que avant d'être celle qui avais fais chavirer ton coeur, j'avais étais là personne qui te voulait le plus de bien dans ce bas monde, ce monde de brutes. Malgré le fait que je t'ai chuchoter à plusieurs reprise que j'en étais pourtant une, de brute, mais sa tu n'a jamais vraiment chercher à me le contredire parce que tu le savais, plus que moi même.
Alors tu ma promis qu'on se reverrait un jours, dans ses bras, en paix, puisque avant tout, l'amitié avait toujours étais plus liée que l'amour.
Parce que chez moi, l'amitié n'a aucun prix.
J'ai prier au début, jusqu'à mon déchirer mon grain de voix, J'ai prier pour ne plus jamais devoir supporter t'es mots d'amour dure et mélancolique, parce qu'en vérité cela en blesser bien trop ma conscience.
Mais quand c'est arriver, quand Dieu avait accomplit mes prouesses, c'est moi qui me trouver drôlement bête devant cette situation, car en vérité et sans mentir, sa finissait par me manquer encore et encore.
Tes yeux foncer en raccord avec les miens, tes cheveux bouclée et ton dos musclée ou bien encore tes mains douces. Je le sais parce que tu passer la plus part de ton temps à entrelacer nos doigts ensemble pour te rassurer ou bien encore calmer les ardeurs de ton âme périlleuse. Tes nombreux tatouages dissimulé, puis pour finir ton sourire, ton sourire qui communiquer à mon coeur une sensation de fraîcheur et de renouveau, celui qui me fessait sans cesse garder espoir et bien même en plein brouillard.
Me battre pour vous est rapidement venue me manquer, cette sensations unique quand je tirais sur c'est hommes et que je sentais ta main glissant doucement contre la mienne.
Quand j'appuyer sur cette gâchette pour éviter qu'il t'arrive quelque chose, pour éviter qu'ils vous arrive quelque chose. Car en vérité, votre vie a toujours eu plus d'importance et d'impacte que la mienne.
Bien vrai qu'en vérité cela me manque, cela vain peut-être bien plus me manquer que notre amour au allure toxique et impure.
Mais même si dans c'est moment, ma gorge étouffée sans oxygène j'étais heureuse parfois, heureuse de vivre à tes côtés. Cela étais la clé du bonheur, ton cœur tout près du mien étais là réel clé de mon foutue bonheur, mais je ne le savais pas encore, j'étais bien trop jeune et indiscipliné pour comprendre ce que mon cœur désirer par dessus tout.
Mais après tout c'est moment de doute, quand j'en avais enfin prit conscience ça ne l'étais toujours pas. Non, ce n'était toujours pas une de c'est histoires d'amour comme on les voit dans les films ou bien encore dans les livres, bien loin de là, bien loin de tout sa. Parce que nous étions tout deux bien trop fou et différent pour rentrer dans c'est case définit au préalable.
Nous étions plus fort que cela, plus fort que tout, que le monde entier.
Nos encontraremos de nuevo, en paz, ¿verdad? mi amor. Nous nous reverrons en paix, pas vrai? mon amour.
