Mickaël Jify (Volume 6;Partie 2)

Chapitre 27

La jolie femme fait résonner ses talons rouge vernis et répendre un doux parfum de rose dans le long couloir du collège. Ses cheveux blonds tombent en cascade sur ses épaules recouvertes d'un long manteau lui cachant les genoux mais laissant apparaître le restant de ses jambes douces camouflées par des collants noirs. Elle pince ses lèvres pulpeuses pour étalé son rouge à lèvres. À travers ses lunettes de soleil, elle aperçoit la salle de classe. Elle l'entrouve discrètement de ses doigts vernis d'un blanc pailleté et observe l'homme qu'elle cherche et réclame. Le voici devant elle. Il est assit sur une chaise, derrière un bureau avec un stylo en main et l'autre dans ses cheveux tout aussi claires que ceux de la femme. Très concentré sur son travail, il plisse ses yeux noisettes sur sur sa copie. Mais il sursaute en entendant des pas et tourne la tête. Aussitôt, il se redresse sur sa chaise surpris de la voir devant lui. Il observe l'élégante chaussure entre ses jambes qu'il eu juste le temps d'écarter puis laisse parcourir son regard sur la longue et fine jambe de sa femme.

-Bonsoir, commence-t-elle en enlevant ses lunettes qu'elle range dans sa poche.

Elle ouvre ses yeux de biche d'un vert hypnotisant.

-Jeanne ? Mais qu'est ce que tu fais ici ?

Elle retire sa jambe et s'assoit sur le bureau.

-Eh bien, tu me manquais voilà tout.

-Oh... Excuse moi ma chérie, j'avais terminé et je comptais rentré de suite, explique son mari en se levant et en rengeant ses affaires, je me dépêche, sourit-il en prenant les livres de cours empilés.

Il les emmène dans une toute petite pièce de la classe où les autres livres des matières scientifiques sont rangés. Jeanne verrouille la porte de la classe puis rejoins son mari pour faire de même avec la serrure de cette mini bibliothèque où il y a simplement des étagères, une table et une chaise.

-Tu es venu à pied, demande son mari de dos, tu n'as pas eu trop froid ? Il y a du vent, il vaut mieux mettre un pull, constate-t-il en voyant le temps se gâté par la petite fenêtre.

-Qui te dit que j'ai quelque chose sous mon manteau ?

Le professeur stoppe ses gestes, choqué. Il se retourne, pensant avoir rêvé. Mais loin de là. Jeanne déboutonne lentement son long manteau marron sans lâcher son mari du regard qui reste scotché face à la scène. Tout comme elle le souhaitait. La blonde retire son vêtement pour montrer ceux qui l'a recouvre à peine. Elle est habillée d'un soutien-gorge noire à armatures de forme balconnet décoré de jolies dentelles sur les bonnets et d'un nud satiné à l'entre-bonnet, d'un string assorti en dentelle devant et de porte-jarretelles également faites de dentelles sur les côtés et au dos munient de lanières devant ainsi que de petits nuds satinés.

-Joyeux anniversaire Laurent, sourit Jeanne.

Ce dernier pose le livre il ne sait où et continu d'admirer le corps de sa femme comme si il s'agissait du plus rares des trésors ! Du plus impressionnant des spécimens !

-Ma chérie, souffle Laurent complètement absorbé par la beauté des formes de sa femme.

Celle-ci s'approche de lui dans un petit regard joueur. Elle lui retire ses lunettes et l'embrasse délicatement. Laurent, envahit de stress toute la journée, est à cet instant au paradis. Il soupire de détente sous les baisers de sa femme qui s'éparpillent un peu plus dans son cou. Des petites mains froides se glissent doucement sous son pull qui finit très vite sur le sol. Même en t-shirt, Laurent continue d'avoir chaud sous l'effet de cette femme. Cette dernière ouvre lentement la boucle de ceinture de son mari afin de faire duré le plaisir. Il laisse tombé sa tête contre les livres derrière lui en sentant déjà  l'excitation monté sans même qu'elle ne l'ai touché. Laurent respire fort et son cur bat très vite. Amoureux il la regarde faire. Jeanne baisse le pantalon de son homme ainsi que son boxer pour y apercevoir la partie intime de son mari dont elle s'occupe immédiatement.