DARK SIDE

Chapitre 100

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Petit mot de ma part :

Bonjour/Bonsoir, ça dépend de l'heure à laquelle vous allez lire ceci 😭. J'espère que vous allez bien par la grâce de Dieu et que vous profitez au max de vos vacances d'été 🎊.

Alors nous sommes déjà au chapitre 100 et merde, je sais que ça commence déjà à faire beaucoup hein 🥲 mais vu que les chapitres ne sont pas très, TRÈS longs, ça va non ?

Je tiens vraiment à remercier ceux qui m'encourage à continuer à poster parce que si je dois être honnête, cette histoire j'avais commencé à l'écrire juste par ennuie. Mais aujourd'hui je vois qu'elle a fait 4k de vue. Et pour moi ça fait déjà beaucoup.

N'oubliez pas de voter 🌟 et de me laisser vos commentaires pour que je puisse m'améliorer 🙏🏽🙂.

Je ne vous spoile pas, mais bientôt on tire à la fin. BIENTÔT ! 😤 Mais il faut encore que j'approfondisse le récit. Alors ne vous découragez pas et tenez bon.

Sur ce, bonne lecture 📖 et prenez soin de vous ❤️

Instagram et Tiktok : underblue_wtp

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20 heures 15

— Putain mais tu vas encore durer là dedans ? Demandai-je agacé.

— Mais tu ne peux pas attendre ?

— Encore pendant combien de temps ?

— Jusqu’à ce que je termine merde !

Je regardai cette porte qui me sépare d’elle d’un œil mauvais. Parce que oui, si je ne faisais pas ces exercices de respiration que Gon m’avait conseillé plus tôt, je crois que j’aurais enfoncé cette porte. Parce que ça fait plus de dix minutes que nous étions censés aller dîner, mais là mademoiselle prenait tout son temps pour je ne sais quelle raison.

— Cinq minutes. La prevenai-je sérieusement. Si dans cinq putains de minutes tu n’as pas finis, je viendrais te sortir de là moi-même.

— Cinq minutes, j’ai compris !

Je réajustai nerveusement cette foutue cravate de soie noire en longeant ce couloir éclairée par des ampoules toutes brillantes. Je traverse le salon et vais directement sur le balcon. Et la première chose qui m’acceuille est un vent glacial. Un vent glacial pour un début de soirée très réconfortante à mon avis. Une soirée où la seule chose qui compte est le fait que celle qui s’apprête depuis des heures, puisse manger pour nourrir ce corps tout frêle qu’elle a.

Et j’observe ce paysage animé par la nuit. Et faut vraiment dire que c’est magnifique. Tellement j’observe ce paysage que je me demande comment est-ce qu’elle réagira quand elle saura pourquoi nous sommes ici. Je sais qu’elle sera furieuse et en colère, mais si c’est pour son bien, alors je préfère prendre le risque. Et peut-être qu’elle me remerciera plus tard ? Non, elle me remerciera de la libérer d’un tel fardeau. Car elle mérite d’être libre et je ne veux pas la voir être rattachée à un putain de passé qui a détruit sa vie.

Chemise noire, cravate de soie noire, pantalon noir, chaussures noires et j’en passe. Une montre en argent à mon poignet gauche, cette bague en or qui ne m’a jamais lâché autour de mon majeur, mais c'est caché par les gants noirs que je porte, et mes cheveux parfaitement plaqués en arrière avec un trait sur le côté. Comme l’italien typique que je suis. Voilà à quoi je ressemble. Du moins, comme je suis. Et rien que pour ce soir, je serais vêtu que de noir. Et vu mes yeux noirs, je crois être en accord avec tout mon ensemble.