[Pdv Harper ]Après le repas de Noël et donc la distribution des cadeaux mes parents ont finalement étaient se coucher et..Théodore en a profiter pour fuir. Espérons pour son espérance de vie que ce ne soit que fuir du salon et pas fuir du manoir. Si tel est le cas je le retrouve, le découpe en morceau et le met dans ma cave.
J'avance donc vers les étages en premier lieu mais en parcourant les différentes pièces je me rends compte qu'il n'est pas là. Sa chambre est d'ailleurs entièrement rangée, c'est pas étonnant mais ce qui est étonnant c'est que je ne vois pas les quelques affaires qu'il laisse habituellement traîner lorsqu'il est là.
Me dites pas qu'il a osé... Je tourne sur moi tout en regardant les détails de cette pièce, dans ce lit nous avons dormis un nombre incalculable de fois. Depuis petit il vient souvent à la maison et ..la nuit il fait énormément de cauchemars. Alors je l'entendais et venais dans son lit le rassurer, je caressais ses cheveux longuement avant de m'allonger à ses côtés et il venait se blottir contre mon dos en me serrant contre lui.Mais voilà, maintenant j'ai beau fixer ce drap je ne vois aucun Théo, même endormi, même cauchemardeux. Aucun.. Je fronce donc les sourcils et pars vers ma chambre d'un pas beaucoup moins souple et beaucoup plus colérique. Je pousse la porte et celle-ci vient s'éclater contre le mur. J'observe mes affaires mais aucun, aucun Théodore une fois de plus. Ce connard a fui. Ce garçon qui me mettait une couronne quand ont joué à nos sept ans pour me couronner sa princesse, celui qui rougissait sous mes baisers innocent sur la joue. Ce même garçon qui passe tous les noëls avec nous, viens de fuir !! Je descends les escaliers en empoignant ma baguette et ma dague, on ne sait jamais. Lorsque je suis arrivé tout en bas je tombe sur une silhouette qui s'apprête à passer cette porte.
H : Passe cette porte et je te découpe en morceaux.
Il se tourne vers moi lentement et un long soupir sort d'entre ses lèvres. On pourrait se perdre à croire qu'il regrette de ne pas être sorti mais..c'est un pur mensonge. S' il avait voulu vraiment partir je n'aurais pas eu le temps de le rattraper. C'est ce qui m'énerve le plus c'est qu'il a tout préparé de cette fausse fuite sans réellement partir. Ce qui m'énerve le plus c'est qu'il cherche juste à ce que je le retienne..et moi je le retient. Encore et toujours.
T : Tu ne le feras pas.
H : Ne soit pas si sûr de toi.
T : Alors prouve moi le contraire.Je descends les marchés rapidement alors qu'il laisse retomber son sac au sol dans un bruit sourd. Je pose une main sur son épaule et le pousse sur une chaise pointant ma dague sous son cou et remontant mes jambes pour totalement le bloquer.
H : Je ne me répéterai pas.
T : Pourquoi ?
H : Pourquoi quoi ?
T : Pourquoi tu ne me laisses pas partir ?
H : Pourquoi veux tu partir ?
T : Je ne ferais que t'attirer des problèmes ..
H : Bien sûr que non !
T : Tu sais que si !
H : Tu sais que c'est faux...Il ne réponds pas a la place il baisse simplement ses yeux. Je fronce les sourcils, relâche la pression et range la dague tout en relevant son menton pour croiser son regard.
H : Tu es mon ami Théodore..
Un ricanement froid sort d'entre ses lèvres et avant que je ne comprenne ses mains se posent sur mes hanches et renversé la situation. Je me trouve donc plaque au mur de l'entrée entre le mur froid et son corps chaud.
T : Ton ami ?
H : Oui mon ami ?Sous mon incompréhension total ses mains qui étaient posés sur mes hanches se déplace pour venir sous ma chemise alors que son sourire s'aggrandit. Son sourire n'est pas forcément joyeux, avec le temps j'ai apprit à discerner ses différentes émotions et masques. Et aujourd'hui au vue de son regard froid j'en conclue que ce sourire est énervé et un brin sournois.
Il déplace assez son visage pour pouvoir effleurer mon cou de son souffle mais pour ne pas me toucher. Je rejette la tête en arrière avec un sourire de stasifaction enroulant mes mains a sa nuque. Instinctivement je quémande plus..et ça lui plaît puisque lentement et sûrement il vient déposer des millions de baisers à des degrés différents de sensualité sur ma peau. Alors que je me trouve gémissante entre son corps et ses lèvres il vient murmurer de sa voix grave contre mon oreille.T : Ami ?
H : Je-Je n'ai pas le temps de terminer qu'il m'emmène dans un baiser endiablés. J'y réponds avec joie et bien vite ce baiser devient plus désirable alors que nos boutons de chemise sautent. Lorsque nous nous écartons de la respiration rapide, le même sourire s'étire sur nos lèvres.
T & H : Ami ?
Je pose ma main sur sa joue en enroulant mes jambes à sa taille. Il pose les siennes au bas de mon dos et nous remontons les étages pendant que je m'occupe de le distraire de baisers sur sa peau pâle. Arrivé dans ma chambre, il me pose sur mon lit, attrape ma baguette et lance un sort de silence avant de s'allonger sur moi.
H : Ne fais plus genre de t'enfuir.
T : Si j'obtiens cette passion je le ferai chaque soir.Je le fais taire d'un baiser en tirant sur sa cravate que je retire par la suite. Avidement nos mains parcourent la peau de l'autre faisant sauter tous les habits qu'ils nous restaient. Il vient embrasser à nouveau mon cou, puis mes seins et mon ventre. Alors que ses baisers laissaient un sillon de feu sur ma peau, ses mains la caressent à nouveau et viennent même effleurer l'élastique de ma culotte. Je glisse mes mains dans ses cheveux et me tends sous lui en réclamant plus.
H : Enlève la.
T : A vos ordres, princesse.
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La pâleur de ta peau
Fanfiction( ceci deviendra peut être un livre dans le futur mais il est là pour le concours os de @animé_Yami_N et @alextraitdecitron ) ( bon bah c'est devenu un livre, mais j'ai aucune idée de quand je l'aurais fini contrairement à d'autre de mes livres j'ai...