Rescaper de la mafia

14-Nouvelle vie

       Nous sommes au solstice de juin , la saison ou le soleil est plus éloigné de l'équateur , La saison chaude et C'est les vacances. c'est la fermeture des écoles et il y avait beaucoup d'enfant à l'hôtel ce matin là.

J'étais debout sur la terrasse sirotant un verre de thé à la menthe, le regard distrait sur les mineurs qui jouait à la piscine sous le regard insoucieux de leur parent tour en comptant le temps qui m'étais échappé et qui était entrain de me filer entre les doigts. Heureusement Oui, j'étais toujours en vie mais Ce week-end que j'avais prévu de passé ailleurs avec Bruno s'est transformé en 551 jours.

      Ça fais maintenant Un ans et six mois depuis que je ne sais pas si Carlos est toujours en vie ou si il a continué sa thérapie et que je n'ai pas contacté le docteur Giordano .

Presque deux ans depuis que je n'ai pas eu des nouvelles de ma fille . Ça me torturais de savoir que je n'ai pas eu la chance d'écouter ses premiers mots et d'assisté à ses premiers pas. Apparement j'ai raté le mariage de Tristan et de Maritza et je n'ai pas des nouvelles de Juan.

    Je ne sais toujours pas ce qu'elle est devenu la vraie Isabella Romano. La seule personne qui était en mesure de me dire ce qui lui est arrivé c'était Bruno .

Quant à moi à part mon environnement et une année de plus qui venait d'ajouter sur mon calendrier . il s'avère qu'aucun changement n'avait radicalement opéré de ma vie. Je vivais toujours dans l'ombre.

J'étais juste sous contraception. Ma vie était gâché et je refusais de le troubler encore plus en mettant au monde un deuxième enfant d'un homme que je n'aimais pas .

Sans mentir a moi même , Brno était un bel homme , stylé et très charismatique si j'enlevais son cotes autoritaire cruel et Agressive c'est sûr que n'importe quelle femme pourrait en tomber en raffole de lui mais pas moi .

C'était pas uniquement parce que mon cœur était déjà  prise car même après Un ans et six moi de concubinage , il n'y avait toujours pas eu de feeling entre nous . Parmi les quatre hommes que j'ai fréquenté de ma vie c'est sûr Bruno ne ferai pas parti de ceux que j'ai aimé .

En fin de compte j'essayais de me conformer à cette vie à laquelle j'ai été exigé que je ne m'y étais pas encore habitué et qui m'oppressait à Chaque seconde car Chaque heure me paraissait une éternité . L'espoir que je chérissais de pouvoir me obérer de ce sortilège commençait à m'abandonner .

Bruno et moi Nous étions entrain de dîner dans le restaurant de l'hôtel Dans une suite privé , et oui ce magnifique palace dans lequel je vivais depuis déjà presque deux ans , c'était Bruno le propriétaire.

Ce goinfre venait de terminer son assiette alors que moi je n'étais même pas encore à  la moitié de mon plat de raviolis rectangulaires garnis de bœuf . Il prit sa serviette et commençait à s'essuya le coin de ses lèvres.

BRUNO: Je veux que tu m'accompagnes à mon night club ce soir c'est La boite la plus réputée de toute l'Italie . Je veux que tu t' Habille de façon trèèès sexy . Je veux que ma femme soit la vedette de la soirée .

Il a dit sa femme MDR

MOI: Avez vous parlez à votre père?

BRUNO: Depuis quand je dois te faire des comptes rendu de ma relation avec mon père ?

MOI: je voulais juste avoir des nouvelles de Carlos.

Il me fusilla des yeux l'air inexpressif sans décrocher mot.

MOI:   Quand j'ai quitté les états -unis pour venir en Italie ma fille n'avait que quatre mois . Je n'ai pas assisté à ses premiers languages et encore moins à ses premiers pas , je n'ai pas entendu ma fille m'appeler maman pour la première fois ,et aujourd'hui elle a presque deux ans ... Je ne sais pas même à quoi elle ressemble . expliquais presque au bord des larmes...

BRUNO : Je crois que tu as oublié un détail très important....Isabella n'a pas d'enfant et ton mari a présent c'est moi .

J'étais plongé dans un tourbillon de colère et de ressentiment .

MOI :. d'ailleurs je me pose souvent cette question dis je en posant mes ustensiles de table et posa mes coudes sur la tables , joignant mes mains sous mon menton .... où est elle La vraie Isabella Romano ?

Il me lorgna l'air renfrogné.

MOI: Que lui est elle arrivé ? Vous l'avez tué ?

BRUNO : Ferme la.

Ça fais longtemps que je suis resté dans le silence sans jamais riposter et là je commençais a perdre patience .

MOI: Tant que je n'aurai pas des nouvelles de Carlos Vous pouvez en être sûr , je ne poserai pas mes pieds dans votre foutu boîte.

Il prit la table , et l'envoya jeté à l'autre bout de la pièce avec tout ses contenus , S'accosta de moi m'usurpant par les cheveux m'obligeant à me lever sur la chaise....

Le corps penché sur le côtés, J'étais traîné hors du restaurant avec sa main agrippé à mes cheveux en direction de l'ascenseur...

Ce n'est qu' après avoir traversé la porte de notre suite qu'il me lâcha en m'envoyant affaler sur le lit avec un gifle au visage . Sa bague qu'elle portait au doigt avait fini par me faire une ouverture et Je saignais des lèvres .

BRUNO: j'ai confondu une camelote avec Un produit de qualité tu peux être sa sosie mais tu ne seras jamais plus bonne qu'elle.

MOI: Alors pourquoi me retenez vous encore ici Lâchez moi l'utérus! Vous n'êtes qu'une grosse enfoiré de merde désespéré qui ne sais même pas niquer !

Il arbora un sourire sadique .

BRUNO: Entre une femme qui a vendu sa dignité pour un homme qui n'en a rien à foutre d'elle et un homme qui cherche à réparer une marchandise de mauvaise qualité pour en tirer profit lequel des deux est le plus désespéré ?

Des larmes honteuse sortirent de mes yeux ne supportant pas de telle bassesses.

BRUNO: Tu devrai te contenter de cette nouvelle vie que je t'ai offerte car Cinzia prend très bien soin de lui et il ne se souviens même pas de ton existence .

Il sortit en claquant la porte derrière lui et je m'affala sur le lit en sanglotant .