112- L'imposition

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                   Je venais  tout juste d'arriver dans la chambre  Je m'arrêta brusquement a l'embrasure de la porte je m'attendais pas à voir Nabila assise au bord du lit m'attendant l'air impatiente .

MOI: Qu'est ce que tu fais assis là Je croyais pourtant que t'avais sommeil ?

NABILA: T'étais avec qui  au téléphone ?

            Je lâcha un soupir l'air exaspéré J'avais l'esprit  beaucoup trop surchargé pour avoir la tête à me disputer .

MOI: Si t'as quelques réprimandes à m'adresser attends qu'on retourne chez ton père .

NABILA: Je t'ai tout simplement posé une question T'étais avec Cinzia au téléphone ?

MOI:  j'ai  pourtant été assez Claire.

NABILA: Réponds

MOI: Tu t'adresses à qui sur ce ton là?

        Elle se leva du lit tout en s'accostant de moi. Pendant qu'elle cherchait  à m'usurper  le téléphone entre les mains Je changea de  main pour l'esquiver à chaque tentative.

NABILA: Carlos Fais moi voir ce téléphone.

MOI: Hey ! pose toi .

NABILA: Donne moi ce téléphone !

         Je leva le bras au ciel et garda le téléphone suspendus dans ma main .

MOI: Alors prends le .

        c'était quasiment impossible pour elle de la récupérer même si elle avait envie de sauté Elle me  regarda frustré en acceptant sa défaite .

MOI: S'il te plaît Assied toi il faut qu'on parle.

              Bouder Elle se dirigea  vers le lit pendant que j'empocha  le téléphone. Elle s'y affala puis posa les mains contre ses oreilles pour éviter de m'écouté je n'ai pas pu m'empêcher  de rigoler.

           J'aime  tellement la voir  dans ses gamineries Franchement comment ne  pas l'aimer .

         Alors qu'elle avait les yeux fixés sur moi j'en profita pour lui articuler un  « Je t'aime » mais elle me toisa.

NABILA: Je n'ai rien compris .

       Elle faisait que simuler je sais qu'elle avait parfaitement compris je m'accosta d'elle puis m'agenouilla entre ses jambes et articula à nouveau un « Je t'aime »

    
     Cette fois Elle émis un sourire en descendant les mains les pupilles dilatés tout en me regardant droit dans l'œil .

NABILA: Je t'aime Moi aussi .

               Je bidonna.

MOI: Je croyais que tu n'avais pas compris.

NABILA: Alors tu parlais à qui?


       Je laissa tomber ma tête sur ses jambes et passa ma main autour de sa taille pendant qu'elle enfouit sa main dans mes cheveux.

MOI: Nabiii!!!

NABILA: Pourquoi tu ne veux pas me dire à qui je t'ai entendu parlé dans les toilettes.

             
          Pendant qu'elle me caressait les cheveux je pouvait  sentir sa main effleurer mon pantalon d'un geste brusque je posa ma main sur la tienne au moment où elle s'apprêtait a l'enfouir dans ma poche puis leva les yeux vers elle. 

Rescaper de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant