87- La Fugue (2)

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PDV DE L'AUTEUR

Robert hills debout devant la fenêtre de son bureau un bras derrière le dos , le regard perdu à l'horizon l'air perdu dans ses pensées quand il entendit toqué à la porte.

ROBERT: Rentrez .

Olga rentra discrètement et ferma soigneusement la porte derrière elle.

OLGA: Tu n'as toujours pas pris de leur nouvelle ?

Ce dernier s'immobila sans décrocher mot.

OLGA: Robert je comprend que tu sois agacé mais il s'agit de ta fille et de ton beau fils.

ROBERT: Olga évite de m'importuner avec tes suggestions ...je sais exactement ce que je dois faire...Dit il sans se retourner

OlGA: J'espère que tu comptes au moins les inviter à dîner même si ta fille risquerait de mal le prendre il est temps qu'elle soit au courant ...dit elle puis tenta de reprendre direction de la porte puis revint immédiatement sur ses pas ...En passant au cas où tu l'aurai oublié Demain c'est le 14 juin j'espère que ton cadeau est déjà prêt .


Alors qu'elle s'apprêtait à s'éclipser Ils entendirent à nouveau toqué à la porte.

ROBERT: Rentrez.

Christine apparut.


CHRISTINE: Désolé de vous dérangez .

OLGA: Qu'est-ce que tu veux Christine ?

CHRISTINE: C'est Carlos, Il est ici .

Robert Hills se retourna l'air comme médusé et à la fois intrigué

ROBERT: Qu'est-ce qu'il veut?

CHRISTINE: Il demande à vous voir.








—2–






Dans un atmosphère sombre et sinistre suivis de Christine , Carlos pénétra au bureau en boitant sur un pied en présence de Robert et d'Olga et s'arrêta à trois mètres d'intervalles d'eux. Les deux hommes de la pièce se fusillèrent des yeux pendant un long moment sans décrocher mot.

OLGA: Je vous en prie Carlos asseyez-vous ...lui proposa t-elle en désignant le canapé .

ROBERT: Je ne lui ai pas donné l'ordre de s'asseoir ...dit il sur un ton rancunier

OLGA: Je vous en prie Robert il a fait tous ce chemin pédestre et tu vois clairement que sa jambe n'est pas en bonne état .

ROBERT: Qu'est-ce qui vous amène Carlos Monténégro ? Lui coupa t-Il ... J'imagine que vous êtes venu me remercier d'avoir eu pitié de vous ...dit il en commençant à se déambuler dans la pièce.

CARLOS : Je ne suis pas aussi faible que vous le croyez , Je me suis jamais rabaissez devant qui que ce soit.

ROBERT: Pourtant vous l'avez fait .

CARLOS: C'est  uniquement pour vos filles .

ROBERT : Pour quelle raison vous êtes ici? Lui demanda t-il en s'arrêtant.

CARLOS : Je veux que vous passiez un avis de recherche .

ROBERT : Vous osez me donner des ordres ?

Rescaper de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant