93-Le gâteau

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Le moment était arrivé pour nous de passer à table. Je venais d'immortaliser une photo avec mon gâteau d'anniversaire avant de la couper et c'était Carlos mon photographe.

             Ensemble nous la regardions pendant qu'il n'arrêtait pas de déposer des petit bisous   sur l'écran de son téléphone

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Ensemble nous la regardions pendant qu'il n'arrêtait pas de déposer des petit bisous sur l'écran de son téléphone.

MOI : qu'est ce que tu fais ?

CARLOS : j'ai envie de te croquer.

MOI : Arrête ! Lançais je en bidonnant en tapotant ma main derrière sa tête Les gens vont te prendre pour un cinglé ! Si t'as envie de croquer je suis juste là devant toi bouffon !

CARLOS : Tu serai encore plus mignonne si t'avais accepté de sourire sur la photo Nabi.

MOI: Tu aurai dû me faire une grimace.

CARLOS: Tu vois que je ressemble à un Clown.

VOIX: Sacré spectacle tout à l'heure sur la piste de danse .

Carlos et moi reprirent nos air sérieux quand ont virent arrivé Mon père . Il avait enfin pris l'initiative de venir me parler.

ROBERT : Alors Carlos je vois que tu as retrouvé ton équilibre sur ta jambe.

CARLOS: Ouais Elle va mieux beaucoup mieux à présent .

ROBERT: Et toi ma fille le mal est passé Plus envie de se suicider .

MOI: C'est bon Pas besoin de me le rappeler.

CARLOS. je crois que je vais me chercher un verre , je vous laisse discuter entre Père et fille dit il en s'apprêtant a se retiré.

Je ne voulais pas rester seul avec Robert Hills je savais déjà que la conversation allait être ennuyeuse je lui pris retint par le pantalon pour l'empêcher de partir .

CARLOS: Bb ce serai pas long ...dit il en se retirant quand même.


ROBERT: Quelle belle soirée ! Dit il en levant les yeux au ciel ...

Moi au contraire je baissa les yeux et passa les bras derrière le dos en haussant sur la pointe des pieds L'air gêné.

ROBERT: Le temps passe tellement vite. c'est comme si c'était hier t'étais un petit bout de femme qui courait partout dans la maison.

Je n'ai pas pu m'empêcher de le bercer par mes souvenirs d'enfance quand j'entendis cette phrase.

ROBERT: Tu es splendide, Tu ressembles beaucoup à Lise, Il y a tellement de chose que j'aurai aimé te raconté à propos de ta mère ...

MOI: Je ne veux pas parler d'elle. Lui coupais je


Il baissa la tête l'air un peu vexé .Olga était là et rôdait autour de la table près de nous pour prendre part à la conversation sous prétexte qu'elle se servait des donut mais je ne prêtais pas attention à elle d'autant plus que je ne l'y accordais pas à mon père .

Rescaper de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant