PDV DE L'AUTEUR
Depuis qu'il s'était levé sur cette chaise , le visage de Carlos était devenu un punching-ball entre ses mains tellement il lui enchainait des coups de poing . Il lui administra une dernière raclée qui lui fit regorger des gouttelettes de salive ensanglanté.
ROBERT: Je n'ai jamais eu autant de plaisir à frappé quelqu'un avant vous.
CARLOS :Vous pouvez me frapper autant que vous voulez même si j'avais les mains détaché je ne vous le rendrai pas.
ROBERT: On dirai bien que vous commencez à avoir de la soumission pour moi. Ne me dites pas que vous avez peur de vous mesurer à moi Carlos .
CARLOS :vous êtes le père de ma femme et le grand-Père de ma fille. Je sais que je vous ai fait du mal Dans le passé et je regrette.
ROBERT: Vous vous en êtes rendu compte beaucoup trop tard . Mon objectif ultime c'est de vous faire disparaître de la vie de ma fille et reprendre le contrôle de ma famille.
CARLOS: vous serez prêt à laissez orpheline une petite fille de un an et demi
ROBERT: Je ferai en sorte qu'elle ne reconnaisse même pas votre existence .
CARLOS: Me tuez ne changera rien encore moins ne vous ramènera pas votre bras.
ROBERT: Je sais mais ... je peux quand même aussi vous prendre un de vos membre et ce serai votre jambe comme vous l'avez ôtez à Ricardo.
—2–
PDV DE NABILA
Christine , Tristan et moi arrivèrent devant la petite maison en bois au beau milieu des bois de chênes où était censé se trouver mon père et Carlos. Alors que je pensais pouvoir pénétrer facilement , En me précipitant à la vestibule je tomba face à deux hommes armés qui étaient entrain de monté la garde devant la porte d'entrée.
MOI: Laissez moi rentrer je veux parler à mon père ...Leur ordonnais je l'air essoufflés et le corps dégoulinant de sueur .
SBIRES: Comment êtes vous arrivé ici ? Me demanda l'un d'entre eux.
MOI: Laissez moi parler à mon père ! Laissez moi lui parlez
SBIRES: Vous ne pouvez pas rentrez ne restez pas là Mademoiselle...Me répondit l'autre en me poussant hors de la vestibule
—3—
PDV DE L'AUTEUR
Robert se retira en rentrant dans une pièce encombrée servant de dépôt et fit sortir un scie circulaire à moteur .
CARLOS : vous comptez me couper la jambe à la tronçonneuse. Dit il en avalant sa salive avec une lueur de panique.
ROBERT: C'était ça mon plan.
NABILA : PITIÉ !!! LAISSEZ MOI RENTRER ! !!!
Au moment où il s'apprêtait à mettre en marche le moteur la voix de Nabila lui alerta .
ROBERT: Mais qu'est ce qu'elle fout ici ? Lança t-il contrarié
NABILA: Laissez moi rentrer !!! Ne me touchez pas CARLOOOOS !!! hella t-elle
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Rescaper de la mafia
ActionEn arrivant dans ce Bunker en Italie c'était pas le cadavre de mon mari que j'ai retrouvé. Carlos a été secouru par Mancini Ferrari et se trouvait dans le coma . Mais , malheureusement après lui avoir expulser les vingt projectiles de son corp...