113-L'ultimatum

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PDV DE CARLOS

L'ouragan c'était arrêté au beau milieu de la nuit Nous étions réveillé à l'aube pour partir Nabila Curtis et moi Nous étions réunis au salon pour faire nos adieux à Mme Bauer avant de retourner sur l'île.

MOI: Merci d'avoir accepté que Curtis nous accompagne et de nous avoir ouvert les portes de chez vous Mme BAUEr . j'espère que ma femme et moi nous vous avons pas trop dérangé cette nuit.

MME BAUER: Il s'est passé quelque chose?

Je jeta un coup d'œil vers Nabila l'air rembrunit qui ne m'avait pas adressé la parole depuis qu'elle a raccroché cet appel avec Docteur Giordano.

MOI: Nous avons u peu disputé assez fort suite à un désaccords .

MME BAUER: Ne vous inquiétez pas Curtis et moi nous avons le sommeil lourd . Avant de sortir faut écouter la météo pour ne pas être encore pris au dépourvu pa prochaine fois.

MOI: Merci On y fera gaffe La prochaine fois Passez une bonne journée Mme Bauer en attendant l'argent de votre traitement prenez soin de votre pied diabétiques

MME BAUER: Merci je le ferai .

Sans dire un dernier mot à Mme Bauer Nabila prit direction de la porte et de retira. Avant même que Curtis et moi nous arrivons dans la voiture Nabila était déjà bien installé dans l'habitacle la tête retournée, le regard perdu à travers la vitre .

Même quand son silence me faisait du mal mais Après tous ce qu'elle a découvert je sais qu'elle est un peu contrarié et en même temps elle a aussi besoin de temps pour réfléchir Je ne voulais pas non plus l'interrompre .










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Arrivé sur l'île Elle était entrain de descendre l'escalier d'embarquement pendant que moi je l'attendais en bas . Une fois arrivé sur la terre ferme elle ignora complètement la main que je lui tendais et continua son chemin .

Je savais pourquoi elle m'en voulait Je comprenais tout à fait sa réaction Elle me faisait uniquement payer le fait que Je lui ai demandé qu'on se sépare.


CURTIS: À ce que je vois Mme à l'air terriblement en colère contre vous patron . Me dis Curtis en me rejoignant ....

MOI: Ce n'est que temporaire.











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Je venais d'arriver au salon Avant Nabila car elle n'arrêtait pas de trainasser en chemin. Je trouva Christine vautré sur le canapé devant la télévision qui était venu me rejoindre l'air émerveillé en le voyant arrivé .

CHRISTINE: Beau Frère ! Cria t-elle en se jetant dans mes bras.

MOI: Je croyais que c'était Monsieur Le Beau Gosse ?

CHRISTINE: Ce sera tantôt l'un tantôt l'autre.

Je lui pinça la joue puis vis venir Olga en sortant de a cuisine .

OLGA: Carlos vous êtes là ...

MOI: Bonjour Olga Comment a été la nuit avec cet ouragan ?

OLGA: oui avons tous été à l'abris nous avons eu peur que cela déclenche sur un tsunami

ROBERT: Vous disparaissez avec Le les filles des gens comme ça sans donner de nouvelles ... Me morigéna Robert Hills en nous rejoignant au salon.

Rescaper de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant