82- Faux Deuil

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Salut les amis je viens de terminer mes examens et je suis en congé . je vais devoir publier plus souvent je vous souhaite déjà bonne continuation  !!!!

PDV DE NABILA

CHRISTINE: Nabila ! Nabila !

Je sentis des gouttelettes d'eau fine m'éclabousser au visage et une voix efféminé qui m'interpellait. J'ouvris les yeux en quelques battement de paupière, Je me trouva  allongé sur le lit dans la chambre où je me suis réveillé pour la première fois. La première chose que j'ai vu après le plafond peint doré c'était le joli minois de Christine avec ses lunettes de correction.

CHRISTINE: Ma soeur Réveille toi !

Je me suis réveillé avec cette sensation d'avoir une boule dans l'estomac qui me rappelait Tristan et Carlos.

MOI: Christine , Où est mon père ?

CHRISTINE: Depuis qu'il est venu te déposé ici je ne l'ai pas revue .

MOI: Quelle heure est-il ?

CHRISTINE: 18 heures pile .

MOI: Qui donc je suis resté alité toute la journée?

CHRISTINE : Tu devrais au moins arrêter de t'évanouir toutes les Quatre minute ma sœur si non tu finiras par y rester .

Lugubre , je me tourna vers l'autre côtés du lit .

CHRISTINE: Qu'est ce qui ne va pas ma sœur ?

MOI: Christine, Laisse moi seule un moment s'il te plaît .

CHRISTINE: Tu veux que je te montre le parfum au noix de coco et le collier en coquillage que je t'ai concocté.

MOI: Christine j'en ai vraiment besoin.

CHRISTINE: Oh ! Okay...Répondit elle en se levant au bord du lit avec  résignation... Alors dans ce cas je te laisse.







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PDV DE L'AUTEUR


Christine sortit de la chambre de Nabila en prenant le soin de refermer la porte après elle. Au  moment où elle se retourna une main fit irruption sur sa bouche et l'autre s'empara d'elle...

Les yeux presque sorti de son orbite, le cœur palpitant, Christine était transporté et plaqué contre un mur dans une pièce vide de la maison , la main de son ravisseur sur sa bouche.

        Le regard de cet inconnue noyé dans le sien lui rassurait qu'elle ne risquait rien mais la situation dans laquelle elle a été prise ne l'a donnait pas d'autre alternative que de paniquer .

LUI: chuuuut ...Promets moi que tu ne vas pas crié que tu ne fera aucun bruit si je décide de te lâcher .

Après un moment d'hésitation Cette dernière acquiesça simultanément la tête.








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PDV DE NABILA

        J'avais envie de crié , d'hurler de toutes mes forces mais les circonstances ne me le permettait pas. Bercé par le chagrin , le cœur rempli  d'armertume je n'avais pas le choix d'étancher mes larmes sur mon  oreiller . Ma peine  était deux fois plus accablante parce que je ne pouvais  en parler à personne .

Rescaper de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant