77-La crise

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PDV DE CARLOS

      Toujours plaqué contre le mûr mon arme près de  sa tempe , la respiration haletante, La poitrine mouvementé. Son comportement pour moi avait déjà trahit ses dires j'attendais toujours une réponse car je voulais voir jusqu'où elle pourrait aller .

NABILA : Je te le jure. Me dit Elle en me regardant droit dans les yeux ...Tristan n'était pas ici avec moi .


MOI: Écarte toi les jambes. Dis je en  rangeant mon  arme sur mon côtés .

NABILA: Quoi ? Me demanda t-elle l'air confuse

MOI: J'ai dit écarte toi les jambes Nabila ...

        Je  me voyais déjà entrain de trahir la promesse que je lui avait faite de ne plus Levé la main sur elle  quand Mes doigts fut recouvert de sève rien qu'en effleurant sa vulve.

           Mes membres s'affaiblirent Mon sang se réchauffait dans mes  veines. La main plaquée contre le mur de sa tempe la tête baissé  Je me sentis de nouveau trahit.

MOI:  Carlos ...C'est pas ce que tu crois . Me dit Elle en cherchant à passer sa main autour de ma taille tout en versant ses  chaudes larmes embarrassante qui me fit ni chaud ni froid.


         Je la dédaigna du regard en rentrant dans une colère noire.

MOI: En plus de l'avoir regardé dans les yeux et de l'avoir menti ..t'as osé prêter serment sur la tête de LUCIA ! Criai je en l'expédiant un gifle qui l'affama face au sol.

      Après cette scène Je n'avais qu'une seule idée en tête c'était de finir une bonne fois pour toute avec Tristan .

     Je quitta la bibliothèque arme branché à la main et me plaça au beau milieu du salon et commença à tiré en l'air comme un forcené.

MOI: OÙ ES TU? MONTRE TOI FILS DE PUTE !!!!
ALLER MONTRE TOI ! C'est pour ça que tu m'as proposer de rester ici hein ? C'ETAIT POUR ÇA?

              J'avais tellement beau tiré en l'air  que le moulure en verre au plafond chuta et s'écrasa en mille morceau au sol . Ce n'est qu'après que Tristan apparut avec quatre de ses sbires.

MOI: T'as besoin de garde du corps pour venir m'affronter   ?

         Tristan  fit signe à ses sbires de se retirer J'en profita et pointa mon arme sur lui prêt à lui tirer une balle  contre la tête .

 
TRISTAN: Tu ferai mieux de te calmer Carlos pose ton arme .

MOI: SAL ENCULÉ !!! VA CHIEZ!!! Dis je en appuyant sur la détente ....

                  Je n'entendis aucune détonation je me rendis compte qu'il se me restait plus de balle la gâchette était vide.  J'envoya valdinguer mon arme à l'autre bout de la pièce l'air furieux  après tout je n'avais pas besoin d'une arme à feu pour en finir avec lui car  je pouvais  grandement me servir de mes mains .

          Je me précipita  vers lui prêt à lui rentrer mon poing dans le cou et lui briser la carotide mais il l'esquiva par le bras en  me prenant  par les épaules et me rentra fortement la  tête  dans le nez. Je reflua et effleura ma  narine  de la main et remarqua que j'étais  entrain de me vidé de mon sang .

        
        Je  fronça sur lui en me cramponnant contre sa taille  et le frappa contre le mûr sans lui donner le temps de faire quoi que ce soit je le renversa sur le dos en retombant sur lui.

Rescaper de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant