Rescaper de la mafia

54-À Deux

PDV DE NABILA

         Je me redressa sur le lit au moment où pendant la nuit un orage éclata et me fit sursauter . Je jeta un coup d'œil par la fenêtre de la chambre remarqua un éclair  accompagné de forte pluie. Cette nuit le temps était pluvieux.

     
             Consciemment je savais que je dormais mais c'était dams ma chambre à la villa de Ricardo . ma lucidité conçoit clairement que Carlos et moi nous avions quitté la villa Je ne savais pas comment ça se fait que je me retrouvais encore Là

      L'électricité semblait avoir été coupé par le vent orageux , la chambre était plongée dans un noir d'encre.  Des pleurs  d'un enfants m'étaient parvenus . Les sanglots ne semblaient pas être  celui de Sierra mais d'un enfants plus âgés comme celui de Lucia. Je ôta ma couverture d'un balayement de la main et mis les pieds hors du lit.

     Arrivé au salon peu éclairé par la Clarté lunaire je vis cette Petite fille dans la pénombre Fringué d'une petite robe à fleur d'été recroquevillée devant le canapé entrain de pleurer . Elle devait avoir l'âge de Lucia et je me suis tout de suite fait cette fixette qu'il s'agissait bien de ma fille .

   

MOI: Lucia !

       Je fis un pas en avant m'apprêtant a allé la rejoindre et la prendre dans mes bras quand J'apercevra cette silhouette efféminé . Malgré son visage était dissimuler dans l'ombre Je pouvais remarquer que cette mystérieuse inconnue avait quelques chose dans  sa main ce qui me fit refluer tout à coup.

MOI: Qui va là ?

   
        La silhouette émergea de l'ombre et je constata à ma grande fureur Monica l'oeil sombre couteau en main .

MOI: Qu'as tu fait à ma fille?

MONICA: ce n'est pas ta fille C'est la MIENNE !!! Lança t-elle en  se précipitant sur moi avec son couteau

         Je pris mon élan j'ouvris les yeux en me redressant sur le lit sur laquelle j'étais allongé . J'étais en sueur profuse, je me rendis compte que je me réveillait pour de bon de ce cauchemar.

       Je fis parcourir mon regard dans la petite pièce assez confortable . Non je n'étais pas chez Ricardo car cette chambre  dans laquelle je me trouvais ne ressemblait pas à celle de la villa  , ni à un manoir encore moi à un bungalow c'était l'une des chambre d'une maison moderne familial  qu'on retrouve dans les banlieues et parmi lesquelles j'ai eu mon enfance.

       Mais Où suis je et comment je suis arrivé içi?

     Je commençais à effleurer mon corps de la main puis d'un coup d'œil je remarqua que je ne portais plus la  robe que je suis rentré aux État-Unis mais j'étais Fringué d'un t shirt noir et cet odeur qui était resté taché sur ce bout de vêtements était nul autre que celui de Carlos.

               

                                             -2-

               J'avais pris les escaliers descendant au salon je marchais en direction  de  la cuisine ou j'entendais un raffut comme le bruit d'un lame  qui s'affaissait sur   un plancher en bois .

            Arrivé  je trouva Carlos dos tourner vers le comptoir couteau en main. Il  portait pas de haut. je prenais le temps de contempler ses musculature  d'acier et ses épaules bien cambré comme la fois je suis rentré dans son bureau après notre première nuit  ensemble et que je prenais le temps de l'admirer.