Rescaper de la mafia

48-C'est Carlos

PDV DE L'AUTEUR

Maritza était assise sur le canapé avec Sierra allongé sur ses jambes venant tout juste de changer sa couche quand Evelyne est venu la rejoindre.

EVELYNE: Tu sais qui est cet homme que les sbires ont ligoté dans cette pièce ?

MARITZA: Non.

EVELYNE: et tu sais où ils sont ?

MARITZA: Qui ? Demanda t-elle en faisant monté le pantalon de la petite.

EVELYNE: Seigneur ! pour Qui d'autre veux tu que je demande si ce n'est pas pour cette dévergondé qui est revenue ici après avoir abandonné sa fille pour venir jouer à la mère effarouché et déplorable quand elle a découvert qu'ils ont été enlevés et de ce va-nu-pieds qui te sers de mari.

MARITZA: Je ne sais pas Sierra avait besoin de prendre une douche et de changer de couches et maman je  ne veux pas que tu parles comme ça de Tristan.

EVELYNE: Tu veux que cette femme revienne vivre ici et te voler ton homme .

MARITZA: J'ai déjà demander à Tristan de la faire partir c'est juste une question de temps.

EVELYNE : Marie t'es censé être là patronne, Tu ne peux pas lui laissé tout gérer à ta place. la maîtresse de cette maison c'est toi . tu es obligé de savoir tous ce qui passe ici et tu dois être en mesure de prendre tes propres décisions.

Elle se précipita vers elle et lui pris la petite entre les mains .

EVELYNE: Pendant que tu perds ton temps à t'occuper de Sierra Il s'est enfermé dans cette chambre avec cette Nabila depuis des heures et ne sont toujours pas ressorti .

MARITZA: Quoi ? Demanda t-elle l'air subjugué

-2-

PDV DE NABILA

À travers Le regard qu'il me lançait je pouvais voir cette lueur d'incrédulité qui se prônait sur son air subjugué.

MOI: Tu me crois pas c'est ça?

TRISTAN: T'essaie juste de jouer avec mon subconscient. comment est -ce possible que ce soit Carlos?

MOI: Il a été secouru par le parrain de la mafia Italienne Mancini Ferrari le jour où il s'est fait attaquée sur l'île .

Il arbora un rictus l'air incrédule en détournant les yeux .

MOI: Tu voulais que je te dises la vérité maintenant tu refuses de me croire .

TRISTAN: Même si ce que tu me racontes me paraît probable à 70% Carlos n'aurai pas pu avoir même 10% de chance de survivre à moins qu'il a été tout de suite été pris en charge sur place par des médecins.

MOI: C'est ce qui est arrivé il a été transporté dans un hélicoptère et mené sur un bateau où il a été immédiatement pris en charge par des médecins et subit des opérations .

Il détourna les yeux à nouveau l'air exaspéré par mes propos auxquels il refusait toujours d'y croire.

TRISTAN: Si je crois mot pour mot tous ce que tu viens de me raconter Carlos s'en est encore sortit sans aucune séquelle de ses blessures par balle .