84-La cabane (2)

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PDV DE NABILA

      Tout de suite après le départ de  mon père je pris  direction de la cabane funeste où je marchais lentement et avec desolation . J'étais sur le point d'aller voir le corps torturé et sans vie de mon mari, Je me sentais pas prête à revivre ce deuil.

        Dès que je traversa la porte je me sentis frappé par le poids  de la Calamité rien  qu'en apercevant Carlos qui était entrain de gésir pa terre dans une marre de sang . Je sentis tous mes membres me lâcher . je n'avais plus la force de pleurer encore moins de continuer d'avancer. Je m'affala sur mes  genoux amorphe .


      Christine , me  rejoignit en m'encerclant de son bras et nicha sa tête contre mon épaule pour me consoler .

CHRISTINE : Je suis désolé ma sœur .

      Tristan me devança  pour aller  s'agenouiller devant le cadavre lui pris la main pour vérifier son pouls .

VOIX : Je suis toujours en vie Bande de chenapan .

      
          C'était  la voix de Carlos que j'entendis . Je me leva en me précipitant vers lui  et me jouxta près de Tristan . son visage et son corps était recouvert de bleu de sang et de cicatrice mais il avait les yeux ouvert Il était en vie. Je mis la main sur ma poitrine en lâchant  un long soupir l'air  soulager ...

CARLOS : Tu croyais que j'étais mort? Me demanda t-Il

MOI:...Il ne t'a pas tiré dessus ? Lui demandais -je en lui l'effleurant le corps

CARLOS:  Il n'a fait que tiré en l'air le vieux bouc.

           Je commençais à bidonné l'air toujours sous l'effet du choc et Je ne pouvais pas décrire le bonheur que j'ai ressenti à ce moment là .

CARLOS: Ça te fais rire petite sotte .

     Je commençais à bidonné pour de bon cette fois.

CARLOS: Ah Ma jambe ! Lâcha t-il dans un cri de douleur .

          Son cris m'alarma tout à coup et je devins lunatique pendant  que Tristan vérifia  sa jambe .

MOI: Qu'est ce qu'il a ?

TRISTAN: Je crois ton père a quand même essayer de lui  incisé la jambe .

MOI: Quoi? ...Demandais je pantoise en  le contournant à quatre patte  et remarqua que bien évidemment qu'il avait une coupure à la jambe et qu'il était entrain de se vidé de son sang .

TRISTAN: Heureusement il s'est ravisé juste à temps car ça aurait été plus grave. Faut arrêter l'hémorragie il a déjà perdu beaucoup de sang si non il va perdre conscience . Une fois que l'hémorragie aurait cessée il va falloir cicatriser la plaie et lui faire une suture pour le moment je dois lui faire un garrot .

CHRISTINE: Tenez . Dit Christine en lui donnant son pull en tricot de laine.

TRISTAN: Merci.

         

         Après lui avoir fait le garrot et arrêter l'hémorragie J'ai aidé Tristan à le soutenir jusqu'à la chambre pour aller l'allonger sur le lit.  Il  essayait par tous ses moyens d'intérioriser sa douleur  en concentrant les veines de son cou Pendant que Tristan lui  , lui faisait une suture sans anesthésie après lui avoir aseptisé la plaie pendant que je lui tenais par la main.

           





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