Rescaper de la mafia

5-Confidence

PDV DE NABILA

ANDREA: Tenez Mademoiselle Vos médicaments .

Je pris le cachet que me tendait Andrea prescrit par le docteur Giordano contre la douleur et le mis sur la langue pendant qu'elle me tendait le verre d'eau .

Depuis que je suis arrivé dans cette maison Elle et moi nous avions encore jamais entamé une conversation profonde . J'avais le pressentiment que derrière son air taciturne se cachait d'indélébile mystère.

C'était grâce à elle si je suis encore en vie . si elle n'avait pas intervenu à temps j'aurai peut être succombé au coup de Bruno . Je pris le verre d'eau entre ses mains et en pris quelques gorgée puis lui tendit le verre à moitié vide .

          Elle  récupéra  le verre entre mes mains .

MOI : Dis moi , depuis combien de temps travailles tu ici?

ANDREA: Quelques mois . Répondit elle

MOI: Vivre ici doit être un véritable calvaire.

Alors que je cherchais a creusé un peu afin de découvrir son mystère Elle se contentais tout simplement d'arborer un léger sourire l'air embarrassé puis se tourna vers la table de chevet et posa le verre sur le plateau qu'elle avait apporté.

MOI: Tu sais Andrea , Tu peux te confier à moi . Si tu n'étais  pas apparu à temps c'est sur que je serai déjà succombé au coups de Bruno .

ANDREA: Je suis votre femme de service . Je ne faisais que mon travail .

Elle prit le plateau et s'apprêta a se retirer .

MOI: Que sais tu de la vraie Isabella Romano ?

Elle s'estompa mais sans se retourner.

MOI: Est-ce qu'elle vivait ici ? les traitements que je reçois n'ont pas du être différents des siennes avec Un bourreau comme Bruno et son Hypocrite de Père c'est sûr que cela n'a pas du être facile pour elle.

Après quelque seconde d'hésitation Elle se retourna vers moi toujours indifférente.

ANDREA: Excusez moi Mlle Romano mais je ne peux répondre à vos interrogations .

MOI: J'ai le pressentiment que vous saviez beaucoup de choses mais vous préfériez rester dans votre silence Qui sait je pourrai peut-être vous aidez mais comment je le ferai si vous refusez de vous confier à moi .

ANDREA : Avant même de penser à m'aider Mlle réfléchissez d'abord sur la façon dons vous allez vous sortir vous même de cette galère . Me lança t-elle puis pris direction de la porte à grande enjambé.

J'étais un peu vexé mais elle avait certainement raison . Fallait que je trouve d'abord un moyen de me libérer de ce sortilège. Je ne pouvais compter sur personne et encore moins sur Carlos car il était aussi pris à l'hameçon avec moi .

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Tout de suite après le départ de Cinzia la porte s'ouvrît et je vis réapparaître le docteur Giordano.

MOI : Docteur ! Je croyais que vous étiez parti .

Il ferma la porte en prenant le soin de la verrouiller l'air furtif puis se tourna vers moi .