Rescaper de la mafia

79-L'invasion

PDV DE TRISTAN

Je venais d'arriver à la cave , revolver à la main ma lampe de poche dans l'autre dont la lumière irradiait les marches. C'est là que l'installation électrique a été mis en place et le responsable qui a plongé la villa dans le noir ne devrait pas être assez loin.

Le sous sol était aussi ample que la villa en entier avec les mêmes mètre carré . L'espace n'était pas aménagé et il n'avait rien qui encombrait les lieux. Il n'y avait une seule porte de sortie et aucune autre échappatoire.

Je commençais à errer en profondeur l'air aux aguets et il y semblait avoir personne. Je rangea mon revolver sur mon côté et me dirigea vers le circuit qui avait été débranché quand soudain j'entendis braqué une arme derrière ma tête .

VOIX: Un mouvement de plus et je tire .

-2-

PDV DE NABILA

Je n'avais pas bougé. J'étais resté assise au bord du lit plongé dans l'encre de l'obscurité. J'avais déjà le pré-sentiment que quelques chose ne tournait pas rond à a villa depuis que je suis sorti récupéré la trousse de secours et depuis que l'alarme a été déclenché mon cœur battait avec exagération je n'avais plus l'esprit tranquille.

Soudain j'entendis le grincement brusque de la porte qui s'ouvrait je pouvais remarqué la silhouette d'un homme qui émergeait dans le noir .

MOI : Qui est ce ? 

La personne ne répondit rien et continua d'avancer.

NABILA: Qui est là ? Demandais je l'air apeuré

            L'inconnu m'usurpa par le bras en me ramenant de force vers lui.

NABILA: Ne me touchez pas! Lâchez moi ! Criai je en lui balançant  un coup de poing au visage .

VOIX: T'as envie que je t'en colle une moi aussi !

Je m'apaisa en reconnaissant la voix de Carlos .

NABILA: Carlos...je savais pas que c'était toi.

CARLOS: J'imagine que tu n'as pas réagi de la sorte quand t'étais à la bibliothèque avec Lui. tu as adoré qu'il te fasse mouiller ta petite culotte Ah j'ai oublié... t'en avais même pas. me dit il en me tirant par le bras ...

            Il sortit hors de la chambre en me traînant derrière lui dans les escaliers.

NABILA: Qu'est-ce qui se passe ? Où est-ce que tu m'emmènes?

            Il ne répondit rien jusqu'à ce qu'il arriva au bureau où il ouvrit la porte et m'expédia à l'intérieur comme un sac poubelle.

MOI: Tu restes ici .

NABILA : Je t'en supplie  dis moi ce qui se passe .

MOI: Arturo est là .

Je resta comme médusé .

NABILA: Donc c'était lui dans l'allée .

MOI: Je t'ai emmené ici pour plus de sécurité afin d'éviter qu'il ne te tombe pas dessus. Si tu ouvres cette porte je ne suis pas responsable de ce qui peut t'arriver... dit il en prenant direction de la porte.