Rescaper de la mafia

100- La visite(2)

PDV DE MARITZA

MOI: Juste une bouchée Sisi .... Fais plaisir à maman...ouvre grand la bouche ....

Elle geignait en repoussant le yaourt aux pomme que j'étais entrain de la mettre à la boucheu tout en gesticulant .

MOI: Sierrah pourquoi tu me fais ça à moi ......si tu refuses de manger maman va se mettre à pleurer...

Elle était allongé dans sa chaise auto posé sur le canapé et moi assise en face d'elle la petite cuillère contenant le yaourt devant la bouche quand Tante Sylvia est venu nous rejoindre.

SYLVIA: Alors Sierrah refuses toujours de prendre son yaourt .

Ravisé, je posa le yaourt et la petite cuillère sur la table basse vitrée près de moi l'air exaspéré pendant que Tante Sylvia se jouxta de moi sur le canapé.

MOI: Elle ne veut que téter alors que moi j'ai l'intention de la sevrer.

SYLVIA: C'est encore trop tôt tu penses pas , ta mère t'a sevrer quand t'avais deux ans t'en étais tellement accro à ses mamelons.

Puis ont se mirent à se marrer . Elle avait une coupe carré noir frisé et ressemblait beaucoup à ma mère mais elles étaient de caractère différente . Elle était beaucoup plus sympa et compréhensible j'adorais me confier à elle.

SYLVIA: T'as eu des nouvelles de ta mère ?

Comme par coïncidence je sentis vibré mon téléphone sur le canapé près de moi c'était un appel de ma mère , Je devins tout à lunatique et le refusa discrètement sans que Tante Vivi s'en aperçoives .

MOI: Maman et moi nous avons eu une mésentente nous ne vivons plus ensemble.

SYLVIA: Ah Bon !

MOI: Je suis sûr qu'elle est retourné à Portland dans notre ancienne maison.

SYLVIA: J'espère que ce n'est pas si grave qu'au point que vous ne vous parlez plus .

J'arbora Un rictus l'air embarrassé.

SYLVIA: Quelqu'un est venu ici une fois me demander pour toi après qu'il ai descendu à Portland et qu'il ne t'a pas retrouvé je lui ai dit que ta mère et toi vous avez à peine aménagé au Nevada.

MARITZA: j'ai mis fin à de nombreux relation amicale après avoir quitté le lycée Je vois pas qui ça pourrait être.

SYLVIA: Il s'agit pas d'une fille. C'est quelqu'un qui comptait beaucoup pour toi à l'époque Cette personne m'a dit que du jour au lendemain tu as arrêté de lui écrire. il cherche éperdument à te retrouver pour avoir des réponses.

Je baissa les yeux l'air nostalgique.

MARITZA: Je crois que je sais. Charly.

SYLVIA: Il m'avait laissé son numéro Je peux lui mettre au courant que tu es la comme ça il pourra passer te voir .

MARITZA: Non . Je pense que ce serait mieux s'il ne saches pas si je suis à Miami d'ailleurs je n'ai aucune explication à lui donner j'ai déjà fait ma vie .