Rescaper de la mafia

50-le Contradictoire

PDV DE L'AUTEUR

Tristan ferma la porte de la chambre derrière lui et rejoignit Maritza qui l'attendait impatiemment à l'intérieur .

MARITZA: Qui est cet Homme ?

TRISTAN: Quoi ? Il te plaît ?

Elle resta figé un instant puis s'asseyait au bord du lit.

MARITZA: Pourquoi tu me poses cette question ?

TRISTAN: J'ai vu comment tu le regardais Marie...

MARITZA: Qu'est ce que tu racontes?

TRISTAN: Tu te laissais Emballer par ses compliments comme si aucun Homme n'avait encore jamais perçut ta beauté .

MARITZA: Je ne faisais qu'écouter .

TRISTAN: Alors dans ce cas Tu n'as jamais été aussi attentive .

MARITZA: Je voulais juste savoir qui il est?

TRISTAN: Pourquoi t'es obstiné à le savoir?

MARITZA: parce que je suis ta femme.

TRISTAN: L'identité de cet homme ne doit pas être révélé.

MARITZA: Et comment ça se fait qu'il connaissait mon père et qu'il me sort des paroles confuse à propos de notre mariage , pourquoi il est attaché dans notre maison et pourquoi tu étais sur le point de le tuer?

TRISTAN: Tous ce que je peux te dire pour l'instant c'est que cet homme est mon ennemi et Il cherchait à te retourner le cerveau contre moi uniquement pour se venger ne fais pas attention à ce qu'il dit .

Elle prit un instant de réflexion .

MARITZA: Et Nabila quand est-ce qu'elle partes?

TRISTAN: Tu ne peux pas me demander ça Marie .

MARITZA: Ah bon pourquoi ? Depuis que cette femme a remis les pieds dans cette maison , t'as perdu la notion du temps , tu ne me calcule plus !

TRISTAN: Elle vient d'apprendre que Ses enfants qu'elle avait laissé sous ma responsabilité ont été enlevé Tu t'en rends compte.

MARITZA: Peu importe.

TRISTAN: Tu ne devrai pas en vouloir à Nabila pour ce qui s'est passé ça a été moi le fautif , je ne l'avais pas mis au courant que nous étions ensemble.

MARITZA: C'est pas une raison de la garder ici.

TRISTAN Et si toutefois elle refuse de prendre l'argent et préfère rester vivre ici sous sa part de l'héritage que lui a laissé Ricardo. Tu ferai quoi ?

Elle rougit et se leva brusquement du lit .

MARITZA: Je vois que tu continues à mettre autant d'engouement a défendre cette femme comme la dernière fois dans le bureau de mon père.

TRISTAN: Je ne l'a défends pas .

MARITZA: Je sais que tu serai trop content a l'idée qu'elle revienne vivre ici . Ça se voit même de loin que tu la portes toujours dans ton cœur

TRISTAN: Non ne reviens pas sur ce sujet . Tu m'avais demandé de faire un choix et j'ai choisis toi.

MARITZA : Peut être bien que c'était par intérêt et non par amour comme l'a dit cet homme. M'avoua t-elle à la limite des larmes