61-Le coup de fil

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PDV DE NABILA

              Je venais d'arriver dans la pièce où était enfermé Evelyne, Assise ligoté contre une chaise. Je pris le soin de verrouiller la porte derrière moi pour évité qu'on viennes m'interrompre .

      
  Je m'approchais d'elle avec répugnance tout en essayant  de garder mon sang froid . Pendant qu'elle me regardait venir avec une aisance dédaignable alors que j'avais beaucoup plus à l'en vouloir .

     Je remarqua qu'il y avait une caméra dans la  pièce ce qui veut dire que Tristan et Carlos était entrain de nous observer autant leur donner un spectacle. Je tira une chaise près du mur le  plaça  devant elle et pris place.

   
MOI: Bonsoir Evelyne.

              Elle ne répondit pas et je ne m'attendais pas non plus à ce qu'elle répondes.

MOI: Je pense que tu reconnais très bien ce visage car je me rappel  que tu avais du mal à me reconnaître quand tu m'as revu hier sur la terrasse J'imagine que tu sais très bien pourquoi je suis là.

EVELYNE:  tu viens sûrement me demander pourquoi j'ai vendu  tes gosses à la mafia ?

MOI: Oui je sais ,  t'étais fauché , t'avais besoin d'argent car Ricardo ne t'a absolument rien légué. Je veux juste savoir où est ce que Arturo les ont emmené ?

EVELYNE: Tu le sauras quand il aura  la clefs.

MOI: Tu sais c'est pas de ma faute si t'ai  ouvert les jambes pour rien c'était pas à mes enfants que tu aurai dû t'en prendre Evelyne.

EVELYNE: Bravo à toi salope si toi , t'as   été récompensé .

MOI: Moi au moins je sais qui est le père de ma fille...Dis je en arborant un rictus rien que pour l'agacer ... et je n'ai pas besoin de falsifier des tests  d'ADN et  de ôter la vie des gens fortunés pour enrichir ma propre fille ...

                Son visage se renfrogna.

EVELYNE : Moi au moins je n'ai jamais eu l'intention d'abandonné mon bébé  pour aller profiter ailleurs .

MOI: Tu n'avais aucun droit de les faire enlevé Ils n'étaient pas sous ta responsabilité.. lançais je contrarié...

EVELYNE: Ils empestaient   la villa tes enfants c'est pour cela que je m'en suis débarrassé.

       D'un geste brusque je leva de la chaise en l'envoya contre le mur d'un coup de pied et lui expédia un gifle .

     J'avais promis de rester calme par ruse car je n'avais aucun cas l'intention de venir regarder dans les yeux cette vipère  qui a tué Ricardo et fait enlever mes enfants et  ose ensuite les insulter.

       Je n'avais pas tardé à entendre les Rafales  de coup à la porte et la voix de Tristan qui me  hélait mais moi je n'avais pas encore fini avec cette femme.
Je tira sa  tête en arrière en cramponnant ma main à ses cheveux.

TRISTAN: Nabila ouvre cette porte !


MOI: Tu sais ce qui empestait la villa Evelyne ce n'était pas mes enfants mais ton haleine puant et l'eau malodorant de tes infections bactérienne qui te coulait entre les jambes à chaque fois que tu enlevais tes strings.

         Une main s'était emparé de moi Tristan avait fini par enfoncer la porte et avait fait irruption à l'intérieur et m'extirpa hors d'elle.


Rescaper de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant