42- La confrontation.

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PDV DE NABILA



                J'étais assise au bord du lit dans la chambre entrain de me faire une montagne d'idée car depuis que Carlos s'est  déserter après que Cinzia eut quitté la table  II n'était pas revenu.


             J'avais clairement envie de m'interposer et l'empêcher de la suivre mais le docteur m'en a strictement interdit à présent j'ignore quelle phrase Carlos est entrain de la sortir uniquement pour la réconforter.


         Sans plus tarder la porte  s'ouvrit je vis rentré Carlos ce que à quoi je ne m'y attendais pas c'était de  de le voir dans un état aussi déplorable et à la fois hargneux .



NABILA: Pourquoi t'es pas revenu dîner ?



CARLOS: Je suis parti réparé les dégâts que tu as commise.



NABILA: Pardon quel dégâts ? Le fait de faire comprendre  à Cinzia qu'on s'est remis ensemble.



CARLOS: franchement je ne sais pas ce qui t'a pris.



              Je me leva du lit avec indignation .


NABILA: Tu ne sais pas ce qui m'a pris , tu étais clairement entrain de la déshabiller du regard sous mes yeux  pendant le dîner .


CARLOS : C'est faux . 


NABILA: Ne me fais pas passé pour une conne .


CARLOS: moi je te dis que c'est faux et  t'avais en aucun cas le droit de lui faire comprendre quoi que ce soit c'était à moi de le faire.


NABILA; T'a qu'à aller la retrouver pourquoi t'es revenu t'aurai dû rester avec elle !


           je me dirigea vers la coiffeuse à l'autre bout de la pièce le regard baissé le dos  adossé, les bras croisé , le visage crispé et à la fois rembrunit détestant le fait qu'il m'engueule  pour quelque chose qui devrait être tout à fait normal .


     Je sentais son regard se pesé sur moi un instant  puis j'aperçu  son ombre qui était entrain de se rapprocher et mon corps réagissait déjà à son approche. Il me décroisa les bras ,  me ramena vers lui en me prenant par la taille , me levant le menton du doigt.


CARLOS: Mon amour ne me Boude pas...Me lâcha t-il dans un coup d'haleine lénifier près de l'oreille puis me leva le menton du doigt

    
      Je me raidis l'air toujours contrarié sans levé le regard vers lui.


CARLOS: Aller S'il te plaît .. me dit il en me faisant une bise sur la nuque qui me fit tressaillir ...je ne veux pas que tu me tiens en rigueur. Dit il puis nicha sa  tête contre le mien ...


NABILA: C'est toi qui n'arrête pas de me crier dessus Carlos , tu n'arrêtes pas de crié sur moi à cause de ta pute.


CARLOS:  Nabi je ne veux pas que tu l'appel  comme ça.


NABILA: Tu vois, Tu continues de la défendre.


Rescaper de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant