Rescaper de la mafia

67-Les révélations

PDV DE TRISTAN

                Maritza et moi nous avons interrompu la conversation pour identifier  les cris qu'on venait  tout juste d'entendre.

MARITZA : T'as entendu ça?

MOI : Ouais Je crois qu'il sagissait de Nabila . Répondis je en descendant  du lit et commença à enfilé mon pantalon

MARITZA: Nabila  est encore  ici ?

MOI: oui Carlos aussi je leur ai proposer de rester  le temps que  rentrons en Colombie.

MARITZA: Mais Où vas tu ?

MOI: Je vais allé voir ce qui se passe elle a peut des ennuies.

MARITZA: Mais  elle  est avec son homme.

MOI: Ils ont peut être besoin d'aide .

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         J'étais entrain  de toquer à la porte de leur chambre , je frappais avec beaucoup d'insistance Ils ont pris du temps mais Carlos avait fini par venir m'ouvrir .

MOI : Il y a un problème ?

CARLOS: Elle a été agité par un terrible cauchemar mais ça va je gère.

                 J'avais envie de pénétrer dans la chambre afin de la voir mais Carlos eut le temps de me fermer  la porte au nez .

                    

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                        Je venais de fermer la porte de ma chambre derrière moi . Marie s'était allongé face contre le mûr la couverture replié sous son dos et remonté e jusqu'à ses épaules c'était un signe qu'elle était contrarié. Je la rejoignis mine  de rien.

MOI: C'est rien Elle a juste fait un cauchemar .

MARITZA: mais moi Je ne t'ai rien demandé.

                Je lâcha un soupir puis tenta de retirer la couverture fermement incrusté sous son dos mais j'y arrivais pas je fini par lâcher prise et me rallongea sans drap.

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PDV DE CARLOS

                    Je venais d'aller lui chercher un verre d'eau à la cuisine que je le lui tendit.  Elle était assise au bord du lit la tête baissé Son  corps était à une hausse température , et dégoulinait de sueur profuse Elle n'avait pas arrêté de pleurer et refusait toujours de me parler. Elle prit le verre dans ma main la main toute tremblante .

MOI: Mon amour Tu souhaites  toujours pas en parler?

           Elle hocha la tête l'air déplorable.

MOI: Je m'inquiète beaucoup tu sais , Tu n'as jamais été comme ça avant , parle moi et s'il y a le moindre chose que je puisse faire je le ferai .

     Elle continuait de sangloter sans prononcer mot.

MOI: T'as encore rêvé de Monica avec un  couteau ?