88- Confession

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PDV DE TRISTAN


Christine s'était retiré j'étais assise sur le sofa , alors que lui il était retourné s'asseoir sur le canapé . Les yeux fixé au plafond la tête plongé en arrière, j'étais resté centré dans mes pensées. Depuis qu'il m'avait annoncé la nouvelle de son divorce Carlos et moi nous n'avions plus décroché mot.

Plus j'essayais de mettre en cause la situation plus je commençais à comprendre pourquoi Nabila avait fugué et si il lui arriverai quelques chose de mal ce serait pas seulement Carlos le responsable, Ce serait aussi de ma faute.

CARLOS: J'imagine que tu sais déjà ce que tu vas faire a présent

MOI: Qu'est-ce que tu veux que je fasse Carlos Quitté ma femme pour me mettre avec elle ?

CARLOS: C'est ce que tu as toujours voulu.

MOI: Elle n'a jamais eu le courage de m'avoué ses sentiments , des sentiments que j'aurai aimé chérir et prendre soin à l'époque où j'étais encore fou amoureux d'elle. Quand je pense qu'à l'époque je n'avais pas imaginé ma vie avec une autre femme que Nabila mais voilà que je suis resté marié avec Maritza depuis presque deux ans déjà .

CARLOS: Tu veux dire que c'est plus le cas .

MOI: C'est toujours le cas mais c'est plus comme avant .

CARLOS: Pourtant tu ne fais que courir après elle matin , midi et soir.

MOI: Je voulais avoir une réponse à mes questions.

CARLOS: J'espère que t'es l'homme le plus heureux du monde à présent de savoir qu'elle a toujours des sentiments pour toi.

MOI: Ouais ... je me suis jamais senti autant soulagé...Ses aveux m'ont permis de faire un bond dans le passé. J'ai quand même le cœur palpitant d'émotion mais...c'est plus ce qui compte vraiment pour moi...J'ai une famille.

CARLOS: Toutes mes félicitations tu devrai te sentir tellement fière à présent d'avoir briser la mienne.

Je me redressa puis me leva du canapé en enfouissant les mains dans les poches de mon pantalon en toile.

MOI: Tu veux que je sois sincère avec toi , Il ne s'est vraiment rien passé à la bibliothèque ce soir là.

CARLOS : Et comment t'as réussi à la faire mouillé tu l'as tout simplement regardé. Me dit Il sur un yon ironique.

MOI: Tu veux vraiment savoir ce qui s'est passé?

CARLOS: Non Je n'en ai pas besoin.

MOI: Si je sais que tu meurs envie de savoir mais t'as tout simplement peur que je rentre dans les details et que je te blesse ton ego .


CARLOS: Mon égo est déjà bien anéanti ne t'inquiète pas .

MOI: Carlos c'est moi qui l'ai entraîné à la bibliothèque , Elle ne voulait même pas . Je l'ai forcé et enfermé alors qu'elle me suppliait de partir.

CARLOS: Et maintenant Qu'est ce que t'attends pour te considérer comme un vulgaire violeur .


MOI: c'est vrai que j'ai un peu persisté pour la pénétrer ...

Les dents serré Il se leva Hâtivement du canapé en me tournant le dos et commença à se déambuler dans la pièce les mains empochées alors que cherchais juste à le tracasser un peu.

Rescaper de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant