66-Le cauchemar

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J'avais l'intention d'aller jeter un coup d'œil dans la chambre où dormais Nabila savoir si Carlos était avec elle . Alors que je m'apprêtais à toqué je trouva cette dernière entre-ouverte je décida donc d'ouvrière la porte et de rentrer.

Je trouva Carlos allongé derrière elle sur le lit recroquevillé contre elle sa main enfouit à l'intérieur de son crop top. Je n'avais pas tarder à ressasser tous les souvenirs mémorables que nous avons vécu ensemble en particulier notre première fois sous le jet d'eau où elle était venu me retrouver dans la salle de bain au Bungalow à Portland.


J'étais retourné au salon . Je sortis une bouteille de scotch dans le bar et alla me vautra sur le canapé devant la télévision J'étais entrain de perdre mes repères. J'ignorais si c'était à cause de l'annonce du départ de ma femme ou si c'était à cause du fait que je venais de voir Carlos et Nabila dans la position où je viens tout juste de les trouver .

Tous ce que je sentais après avoir pris quelques gorgée de scotch c'était une main soigneuse qui m'effleurait le visage et une voix moelleuse qui m'interpellait alors que j'étais dans un profond sommeil et j'ai reconnut celle de ma femme.

MARITZA: Chéri Réveille toi .

Je me redressa du canapé sur lequel je m'étais allongé puis ouvrit les yeux , la télévision était toujours allumé , j'avais toujours la bouteille entre mes mains mais cette dernière était vide. Je me rendis compte que le sommeil m'avait emporté.

Je laissa tomber ma tête entre mes mains pour tenter de reprendre ma lucidité mais j'avais encore le cerveau déshydraté car J'étais toujours Ivre.

MARITZA: Il est tard il faut que tu montes te coucher .

MOI: Quelle heure est-il ...?

MARITZA: vingt deux heure.

          Merde J'ai dormi  tout le reste de la journée  !

Je pris mon élan pour me lever je culbuta en perdant mon équilibre sur Maritza qui eu le temps de me soutenir.

MARITZA: Doucement Tu n'aurai pas dû abuser autant d'alcool.













-2-









Je venais d'arriver à l'embrasure de la porte de ma chambre soutenu par Marie où je décida de m'arrêter un instant puis bifurqua jusqu'à la chambre de Sierra.

         Maritza m'avait suivis Je pénétra dans la chambre de ma fille et alla me poser près de son berceau les mains contre les barreaux en bois sous le regard observatrice de sa mère. Je me tourna vers elle l'air lugubre

MOI: je ne peux pas te laisser me privé de ma fille encore moins de toi J'ai  besoin de vous.

MARITZA: Nous aussi on a besoin de toi mais j'ai aussi besoin de me retrouver moi même...Dit elle en se rapprochant de moi ...On te reviendra .

MOI: J'ai besoin que tu me promettes que cette pause n'aboutira pas au divorce que je ne prendrai pas le risque de te perdre . Dis je en passant ma main contre sa taille et la ramena vers moi

MARITZA: J'ai sû que je ne me séparerai jamais de toi dès la première fois que j'ai posé les yeux sur toi au supermarché ce jour là derrière la caisse .


MOI: Pourtant tu m'avais fait t'es adieux le jour même .

Elle posa sa main douce comme celle du velours contre ma nuque et la fit monté contre mon visage moribond.


Rescaper de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant