101- Ouvre !

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PDV DE L'AUTEUR

                     Sylvia était entrain de parcourir le rayon pour pour bébé quand elle entendit sonné son téléphone qu'il sortit de sa poche et décrocha sans vérifier qui était le récepteur qui allait être à l'autre bout du fil.

SYLVIA: Allo

VOIX: Vivi c'est moi .

SYLVIA Ève !

EVELYNE: Marie , elle est chez toi ?

SYLVIA: Oui , Elle séjourne chez moi avec la  petite Elle ne t'a rien dit ?

EVELYNE: J'essayais de la joindre mais elle ne décroche pas tu pourrai  me la passer ?

SYLVIA: Non je ne suis pas à la maison mais par contre son mari est venu la voir aujourd'hui tu pourrai essayer de le rejoindre. Qu'est-ce qui s'est passé avec Marie ? Pourquoi elle refuse de décrocher à tes appels ?

EVELYNE : Quand tu seras rentrer tu n'as qu'à dire à Maritza que je veux  lui parler c'est très important. Au revoir Vivi. Dit elle puis raccrocha

        





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PDV DE MARITZA

             Tristan m'avait suivis , Il était à un mètre d'intervalle derrière moi dans les escaliers je  m'empressa de fermer la porte derrière moi en rentrant dans la chambre au moment qu'il s'apprêtait à rentrer je  lui claqua la porte au nez puis  Sisi commençait à pleurer.

TRISTAN: Marie ouvre cette porte m'ordonna t-Il sans arrêter  de toquer .Tu vois t'as fait pleurer Sierrah Laisse moi la prendre  , Elle m'a vu c'est moi qu'elle veut je t'en prie.

MOI: T'as qu'à retourner là d'où tu viens . Si tu peux passer quatre jour sans avoir de nos nouvelles tu peux continué à mener ta vie sans nous . Lui criai je  de l'intérieur

TRISTAN: Tu ne sais pas tous ce qui s'est passé ni tous ce que j'ai enduré avant de venir ici. Laisse moi rentrer et  donnes moi la chance de m'expliquer.

              Je continuais de bercer  Sierrah dans mes bras qui n'avait pas arrêté de pleurer l'air réticent.

MOI: Je t'écoute . Dis je ravisé

TRISTAN: Ok Nous avons été attaqué. Nous avons été attaqués à la villa par la mafia. Le père de Nabila est venu nous porter en renfort et nous a transporté sur son île où Carlos et moi nous avons été prisonnier et en plus il n'y avait pas de réseau.

MOI: Tu crois que je vais me mette à croire  a ton histoire  à dormir debout.

TRISTAN: Je te dis la vérité .Marie , j'ai failli y rester.

MOI: Maintenant t'essaie de jouer à la victime.Je croyais vraiment que tu voulais voir Sierrah.

TRISTAN: Tu crois que j'aurai passé quatre jours sans parler à ma femme et sans avoir des nouvelles de ma fille intentionnellement. Me cria t-il l'air contrarié en rentrant son poing dans le mur ...

Rescaper de la mafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant