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Non ça peut pas être réel,  si? 

- Ah chérie tu es enfin rentrée, me lance ma mère son éternel sourire sur les lèvres en se levant pour m'embrasser.

- Oui j'ai , emm j'ai fais un tour  au centre ville,  balbutai-je les yeux fixés à cette scène étrange.

- Toi ? Au centre ville? Me lance ma petite soeur.

Son air choqué et pas très convaincue me donne envie de lui refaire la face, mais malheureusement nous ne sommes pas seul et puis, je suis plus focaliser sur deux grand yeux brillants posés sur moi,  sa défiguration  attendra.

Ma mère se décale légèrement et en reposant les yeux sur Carter elle reçoit comme une gifle Mental.

- Ah oui, okdalina, ton ami est venu demander après toi , mais tu n'étais pas la, alors je l'ai invité à t'attendre à l'interieur , nous nous sommes inquiétés tu sais, nous avons essayé de te joindre plusieurs fois .

Tout en fusillant Carter du regard, je répond à ma mère  d'un ton abstrait.

- Désolée maman, ma batterie est à plat , je te préviendrais la prochaine fois.

Carte se lève et s'approche de nous, alors je me réveille de ma trans et repris avec plus de conviction.

- Carter et si on allaient , commancais-je en pointant du doigt l'entrer.

- Oui, oui je suis venu te demande quelques choses je dois repartir , hum ,  ça était un plaisir de vous  rencontrer Madame Enders, ajoute-t-il en serrant la  main de ma mère.

Puis il s'approche de Max qui nous avait rejoint.

- Monsieur Enders.

Le même rituel avec Max et Jenna.

- Au revoir poupée, lui sourit-il.

Jenna semble aux anges, et c'est dans un etat second qu'elle lui marmone un au revoir,  et dire que ma petite soeur est plus perverse que moi.

Je roule les yeux devant son numéro de charme à ma famille, jusqu'à avoir peur de perdre mes yeux en dessous de mes paupières.

- Je peux savoir ce que tu fou la? Dis-je en refermant la porte d'entrée derrière nous lorsque nous sommes enfin dehors .

Carter plonge les mains dans son pantalon en Jean gris foncé et me fait face.

- T'es sortie avec précipitations de la cafet cet aprem' , et puis je t'ai pas vu dehors et Dean m'a dis que tu étais rentrée à pied, je voulais passer voir si tout  allait bien, mais à mon arrivé t'etais toujours pas la .

- Je vois, dis-je en serrant mes bras autours de moi car il commençait à faire froid, je vais bien, tu n'as pas à t'inquièter je suis juste aller faire un tour.

- Et ?

- Et rien, je suis rentrée très vite, c'est assez lassant à vrai dire.

- Tu ne m'as pas crû quand je t'ai dis que cette ville c'est de la merde niveau amusement!

- Bah maintenant je te crois.

Après un sourire scrispé, il ferme un un œil mal à l'aise et inspire les dents sérrées  avant de lancer :

- Je voulais te parler d'un truc.

Son air sérieux et légèrement géné me fait  peur à vrai dire,  je sens que ça ne va pas me plaire.

- De quoi? Demandai-je  assez inquiéte.

- J'ai parlé avec Alison, et elle...

- Oh non, dis-je en roulant des yeux.

Ça aussi ça fais partie de mon anciennes vie, les conflits, et histoires, les problèmes, tout ça la... J'aime pas du tout,  alors je fuis tout simplement.

- Attend , écoute moi, dit-il en posant sa main sur mon épaule pour que je le regarde.

Je redirige mon attention vers lui, attendant la suite.

- Elle  est désolée, je t'assure et puis elle fait partie de la bande, et toi aussi maintenant  , alors vous pouvez pas continuer comme ça Ok? Et il se trouve, que j'ai l'endroit parfait ou vous pourrez régler vos différents.

- Un  ring? Demandai-je sarcastique au plus haut point.

- Ah non, désolé de te décevoir Mohamed Ali, ricane-t-il .

Ce que je fis aussi .

- Je t'épargne les détailles , mais en gros il y'a une sortie avec la clique ce week-end, et j'avais espéré que tu , bah que tu sois la!

- Pour régler mes problèmes avec Alison il faut tout un week-end  ? Ajoutai-je en riant.

- Et bien, un peu pour Alison,  et , commence-t-il en se rapprochant un peu plus de moi.

- Et ? Dis-je le souffle court en le suivant des yeux .

- Beaucoup pour moi,  fini-t-il un sourire timide sur le bout des lèvres

- Pour toi tu dis? Et... Pourquoi diable ferais-je ça pour toi ? Réussi-je à répondre la bouche sèche.

Il s'approche et n'est plus qu'à quelques centimètres de mon visage, il plonge ses yeux dans les miens.

- Parce-que tu en as envie.

Sa voix est basse, et contrôlée,  un frisson parcours mon corp et je doute que ça soit le froid.

Un éclaire de lucidité me frappe et j'allais répondre amèrement à sa phrase aux arrières goûts hautain... Mais, il léve sa main d'une lenteur infernale et en pose le revers sur ma pomette le contact me fit fermer les yeux, puis il glisse son doigt , capture une méche et la replace dernière mon oreille.

- Et moi aussi, ajoute-t-il en fixant mes lèvres.

Il me sourit en coin, très légèrement , et je fais de même, me regardant sous ses longs cils, je me rendis compte que ce type provoquait en moi une sensation indescriptible,  mon corp réagis toujours au quart de toure pour la première fois depuis , bah depuis toujours je me sens femme, car oui, je suis attirée  par Carter, attirée sexuellement.

Et pour moi c'est un grand exploi que d'avouer ça.

Mon corp s'enflamme lorsque je sentis son souffle sur ma peau, juste avant que je ne réalise ce qui se passait, un bruit de porte le stope dans son élant, il se recule de moi à une vitesse phénomènale et le froid me regagne instantanément.

La voix de ma petite soeur claque dans l'air et brise la bulle, ce qui arrache un raclement de gorge à Carter.

- Carter tu as oublié ton ....téléphone sur la table , lance ma petite soeur.

La fin de sa phrase moin sonore et moin sur d'elle, éyant sûrement remarquée le manège.

- Je suis désolée d'interrompre je ... Commence Jenna.

- Ne t'inquiète pas, carter allait partire de toute façon! Lancai-je à toute vitesse.

- Tiens tu, à laisse ça sur la table, dit Jenna à Carter en lui tendant le smartphone en question.

- Ah oui, j'avais zappé, merci beauté. Lui sourit-il.

Je tire Jenna qui lui sourit de nouveau comme une cruche et nous rentrons à la maison à toute vitesse après un bref "au revoir " à cet être céleste qui j'en suis sûr ; finira par avoir ma peau .

Vos promesses : HésitationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant