40 :

1.8K 87 2
                                    


Je ne sais pas comment nous nous sommes retrouvés à l'étage, dans une chambre, sa chambre.

Je pense qu'il m'a porté, ses mains sous mes fesses, mais honnêtement je n'ai aucune certitude, tout cela se mélange entre ses caresses et nos respirations saccadées.

Posée sur un lit les jambes enroulées autour de sa taille, Carter n'as pas quitté mes lèvres une seconde, à bout de souffle j'halète et profite de chaque moment.

Lorsque Carter lâcha ma bouche, c'était uniquement pour me hauter mon débardeur, je me retrouve en soutif face à son regard d'acier, mais nul place à la pudeur ou à la gène, car son regard décrit son appétit, et son désir est très perceptible à travers le tissu de son survet.

Moins facile à dissimuler qu'en Jean .

Sa bouche migre alors vers mon cou, et sème des baisers langoureux sur ma peau réactive, tout mon corp se hérisse, et mes mains s'enfoncent dans ses cheveux, d'un seul coup il tire sur mon bas de survet, et je me retrouve en sous-vêtements devant lui.

- On sort l'artillerie lourde à ce que je vois, dit-il d'un air espiègle en détaillant mon ensemble d'un rouge sang avec un peu de dentelle .

Prise d'une décharge émanant de mon entre-jambe, et surtout avide de plus de chair, je m'empresse de lui ôter son haut, ce qui lui arrache un sourire. J'admire le spectacle, incrédule, son corps vient d'une toute autre dimension, mon corps s'échauffe un peu plus lorsque mes doigts prennent plaisir à glisser sur son torse dur et lisse.

À l'aide de mes pieds enroulés à sa taille, j'essaye de faire baisser son pantalon.

- Laisse-moi faire Trésor, me murmure-t-il en me plaquant les mains au-dessus de la tête.

Il me lâche pour plonger plus bas et m'embrasse juste en bas du nombrile et ma respiration s'accélére, puis lorsqu'il présse sa main sur mon sexe par dessus le tissu je me tord d'un plaisir soudain et sur le point de relever les mains pour les posées sur ses cheveux il se redresse rapidement et les réplaquent de nouveaux au dessus de ma tête.

- Tiens toi tranquille . Fini-t-il en souriant, ne m'arrête que si tu n'aimes vraiment pas, autrement, laisse moi faire.

Je lui souris aussi mais le mien est déformé par les diverses sensations qui traversent mon corps. Je laisse mes mains bien au-dessus de ma tête cette fois, pourvu qu'il continue, et c'est ce qu'il fait.

De ses larges paumes il tire sur le tissu qui sépare sa bouche de mon sexe, et n'ayant jamais vue ce genre de paysage; une beauté aussi cruelle que celle de Carter entre mes jambes, surtout lorsqu'il me regarde vers le haut en se rapprochant du centre de mon plaisir, il n'existe sans doute pas d'image plus érotique.

En y pensant j'étais malade à l'idée de me retrouver nue face à lui, ça me terrifiait, mais à voir comme il me bouffait du regard, j'ai tout simplement oublié tout ça.

- Ohh , lâchai-je d'une voix de gorge.

C'est tout ce qui traverse ma bouche lorsque la sienne entre en contact avec mes chaires humides, déjà trempées par son touché.

Jouant d'abord avec ses lèvres je respire fort et m'enfonce dans le lit , puis lorsque sa langue rejoint la partie centrale, un râle de plaisir raisonne dans la pièce vide, de ses mains il entraîne mes jambes sur ses larges épaules ce qui lui laisse beaucoup plus d'espace .

Une fois bien maintenue , il oriente une main sur mon ventre, l'autre voyage et chope un de mes seins pour le faire sortir du bonnet du soutif et le malaxe avec force.

Vos promesses : HésitationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant