Tous les deux essoufflées, venant juste de vivre un des meilleurs orgasmes jamais vécus, nous reprenons nos souffles , je vis un rêve éveillé , je n'aurai jamais cru cette fin possible .
- Tu devrai te rhabiller, murmuré-je joue contre son torse, Max et ma mère ne vont pas tarder.
- Eh , j'ai le droit de respirer en moins ? Répondit-il d'une voix faussement choquée et vexée, alors c'est tout ce que je suis pour toi? Un objet sexuel !
Je ris, sincèrement, puis il fit de même et je sentis sa cage thoracique vibrer sous les spasmes de rire , quelle sensation agréable . Je relève vers lui des yeux pleins de petits cœurs, n'importe qui pourrait y voir à quel point je l'aime, à cet instant, plus fort qu'avant.
- Bon , plus sérieusement, je dois y aller Trésor, lâche-t-il en bondissant du lit, ma mère veut passer un peu de temps avec moi, ajoute-t-il comme si c'était la chose la plus ridicule au monde.
Je m'installe plus confortablement sur mon lit et l'observe se rhabiller, un spectacle dont je ne me lasse jamais.
- Pourquoi aujourd'hui en particulier ? Lui demandais-je curieuse .
- Bof je suppose que tout dépend de ses disponibilités à elle, hoche-t-il les épaules .
- C'est mignon, je trouve, qu'elle veuille passer un peu de temps avec toi, lui répondis-je.
- Ouai mais ça Trésor, commence-t-il en fermant la ceinture de son jean, elle aurait dû y penser avant, fini-t-il en me regardant.
- Il n'est jamais trop tard pour bien faire mon coeur, lui expliqué-je .
- Tu la défends? Pourtant j'ai le souvenir qu'elle ne t'as pas vraiment fait bonne impression , lâche-t-il en enfilant son t-shirt, et d'ailleurs à propos de ça je suis ....
- Non, je t'arrête tout de suite après tout c'est ta mère , je me vois mal la détester, fini-je en tendant les lèvres pour qu'il viennent m'embrasser.
Ce qu'il fit d'ailleurs, et souriant, puis il reprit une mine sérieuse.
- À propos de ça, s'il te plaît ne refuse pas, commence-t-il en prenant place sur le lit et en me regardant droit dans les yeux , je voudrais que tu dînes chez nous, un de ces soirs, avec elle, et qu'elle apprenne à te connaître...
- Carter je...
- S'il te plaît Okdalina, je ne peux pas savoir les deux femmes que j'aime en mauvais terme, je t'en prie, fais un effort.
Je soupire, après tout je lui dois bien ça, j'avoue que l'idée ne m'enchante pas, mais si c'est du serieux entre nous, nous sommes amenés à nous revoir et j'aimerai que ça se passe mieux.
- Bon, très bien, on organisera ça, commencé-je, mais je te préviens, tu m'obliges à venir, mais pas à rester, d'accord? Si ça tourne trop mal, je m'en irai .
- Géniale, me sourit-il, ne t'inquiète pas, tout ira bien cette fois, je lui parlerai dès que possible, finit-t-il en posant un baiser sur mon front.
Je souris, et il continue à s'habiller, il enfile son légendaire blousons, de l'équipe du lycée, et me regarde une dernière fois.
- Non , non, reste, ne pars pas! Dis-je en tendant les bras pour le retenir.
Le drap qui couvrait le haut de mon corp glisse et mes seins se balancent avec le mouvement de mes bras, et Carter y lance un regard à m'en arracher la peau , puis il rapporta son attention vers mes yeux, aimant jouer de ses nerfs je me rallonge sur le lit et me pose sur les coudes, mettant bien en avant ma poitrine, et ouvre grand jambes, toujours couvertent .
- Tu deviens diabolique Trésor, lâche-t-il en jetant son sac et en revenant vers moi à grand pas.
Je le réceptionne par la nuque, et il cale tout son corp sur moi lorsque ses lèvres touchent les miennes je retombe en arrière, ses grandes mains chopent chaqu'une un seins et les pincent, ce qui me fit grogner de plaisir dans sa bouche, il fit ensuite glisser l'une d'elle sur mon ventre, et plonge sous les couvertures, il arrête de m'embrasser pour me regarder dans les yeux lorsqu'il insère un doigt en moi, j'ouvre légèrement la bouche, réceptionnant son geste soudain .
Il en insère ensuite un autre et entame une longue série de vas et viens rapides, je grimpe sur ma petite échelle de plaisir, surtout sentant son érection sur ma jambe , il continue ainsi, et mes cris s'intensifient . Soudain, la voix de ma mère et celle de Max me parviennent alors qu'ils claquent la porte d'entrée, paniquée, je le pousse en me redressant .
- Merde, ma mère, lancé-je en me levant, aller vite bouge de la toi.
Affolée, je cherche mes vêtements, je remets mon pyjama avec un Carter qui se moque de moi.
- C'est pas drôle !Grogné-je frustrée , aller vas t'en maintenant.
- Ok, Ok, j'y vais, ajoute-t-il en levant ses mains en l'air, tu continueras toute seul , fini-t-il dans un sourire espiègle.
Sur le point de le frapper, il ouvre la porte et sors, dans mon élan, je croise ma mère dans le couloir.
- Oh Heu, maman, me stoppé-je net.
- Ah ravis de voir que tu vas mieux ma chérie, me lance-t-elle d'une voix bourrée de sous-entendus.
- Hum , oui je, c'est que...
- Si j'avais su que tu avais juste besoin de voir Carter , je l'aurai appelé avant que tu ne rates les cours, se moque-t-elle en haussant les sourcils.
- La prochaine fois appelez moi directement, commente Carter d'un ton sérieux mais moqueur.
Je lui lance un regard assassin alors que ma mère en rigole.
- Oh , je n'y manquerai pas , finit-t-elle en riant.
Max surgit en haut de l'escalier, et sourit en voyant Carter.
- Carter mon garçon, lance-t-il en lui assignant une tappe sur l'épaule, ça fait longtemps, tu restes manger ce soir?
- Oh non, vraiment désolée mais ma mère à prévu un truc ce soir, s'excuse-t-il poliment.
- Ah c'est dommage, lance ma mère.
- Alors dès que tu pourras , passer nous voir, qu'on se refasse un dîner tous ensemble.
Lorsque Max fait cette allusion au dîner, de nouveau, une crampe m'attrape au ventre, maintenant qu'il sait, il me regarde, et je baisse la tête honteuse.
- Merci Monsieur Anders , on se refera ça bientôt , lance-t-il d'un air joueur, bon je dois y aller, c'est toujours un plaisir de vous voir, ajoute-t-il en serrant la main de Max et de ma mère, porte toi bien Trésor, fini-t-il en partant.
Je souris, je ne mérite vraiment pas ce type, puis mon sourire de petite biche amoureuse s'efface lorsque je croise le regard de la mère, les poings sur les hanches , les sourcils haut sur le front, je fis immédiatement semblant de tousser.
- Ai ! Quelle douleur, lancé-je en me pinçant la gorge et en commençant à m'effacer lentement vers ma chambre.
- Oui bien-sûr jeune fille , bien sûr , hausse-t-elle les sourcils sarcastiques comme jamais alors que je fermais la porte.
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Vos promesses : Hésitation
Teen FictionTout le monde ici savait, tous, étaient liés par cette histoire, ce passé, ce secret, chacun sa version et chacun sa vision, tous, sauf elle . Okdalina ne se doute pas que son arrivée dans cette nouvelle ville va tant la changée, tant lui a...