- Épisode 80 -

659 23 4
                                    

Nous sommes au restaurant avec Rugge. Il s'amuse à me faire du pied sous la table quand le serveur vient prendre nos commandes.

_ Tu me fatigues !, fis-je une fois le serveur partit chercher les desserts.

_ Non tu m'aimes !

Il rigole et me prend ma main.

_ Si on partait tous les deux à Miami. Rien que tout le deux sans les enfants, loin de toutes ses affaires de meurtres, de viol., me propose mon compagnon.

_ Je suis d'accord mais est-ce que ce n'est pas un peu abusé de laisser mes parents tout le temps avec les filles.

_ Si il le faut, on les dépose chez 'Gus. Il se gène pas pour nous déposer Engel quand ça l'arrange.

Je rigole et accepte. On partira après son anniversaire. J'ai réussi à le convaincre de partir la semaine prochaine.

On finit par quitter le restaurant après que Ruggero est payé. On est maintenant dans les rues éclairés de Buenos-Aires, main dans la main. Nous parlons de tout et de rien. Il finit par passer son bras autour de mes épaules et m'embrasse.

On rejoint la voiture après notre longue balade et on rentre à la maison.

Je n'ai pas le temps de retirer mes chaussures qu'une tornade brune aux yeux chocolat me saute dessus.

- LEMON -

Rugge passe ses mains sous mes cuisses tandis que j'en roule mes jambes autour de sa taille. Le baiser devient de plus en plus hard. Mes mains s'emmêlent avec les cheveux de l'homme que j'aime. Alors que ses lèvres descendent le long de mon cou, il se dirige à l'étage où se trouve la chambre. Ses lèvres ne quittèrent pas une seconde la peau de mon cou.

Il me pose sur le lit et retire sa veste. Il défait sa cravate avant de reprendre l'assaut sur mes lèvres. Sans décoller nos lèvres, je déboutonne sa chemise. Ses mains continuent leur trajet dans mon dos en ouvrant document la fermeture de la robe. Cette action me donne des frissons. Je retire sa chemise que j'envoie à travers la pièce et caresse les abdos de mon très cher Italien. Je prends l'avantage sur mon Italien en maintenant ses deux mains au-dessus de sa tête.

_ Hum ! Dominante ? J'aime !

Je lui fais un sourire de coin avant de poser mes lèvres sur les siennes. Je continue ma traînée de baiser tout le long de son torse. J'arrive à son pantalon que je déboutonne d'une seule main agile. Je vois ses yeux remplis de désir mais je remonte sur lui. Je pose mes lèvres dans son cou. Ma main continue son parcours jusqu'à ce qu'elle rentre le boxer de Monsieur, sous lequel une bosse est présente. Je lui caresse son intimité masculine. Il grogne de plaisir. Je lâche ses mains et je me dirige vers son bas ventre. Je lui retire son pantalon et je joue avec l'élastique de son boxer en caressant la bosse bien visible sous le morceau de tissu qui lui reste.

_ Putain! Bébé retire moi ce truc qui me serre !, gémit il en fermant les yeux.

Je retire brutalement son boxer, ce qui lui arrache un grognement. Je souris et je prends en main son enfin et commence à faire des vas et vient.

Ruggero prend ensuite la main après qu'il est éjaculé. Il me caresse les seins. Ma robe finit par rejoindre le sol. C'est avec étonnement que mon cher juge découvre que je ne pore qu'une petite culotte.

_ Tu veux me tuer ou quoi ?

Je rigole et je l'embrasse. Ses baisers recouvrent tout mon corps jusqu'à ce qu'il arrive à ma culotte. Il saisit cette dernière avec ses dents et la retire tel un animal. Je gémis doucement lorsque je sens son souffle sur mon intimité.

Après le plaisir que m'a procuré la langue et les doigts de mon Chéri, il place son pénis à l'entrée de mon vagin. Il rentre doucement en moi et commence ses vas et vient. Nous gemissons tous les deux.

Après quelques coups de reins, j'atteins l'orgasme suivit par mon copain.

- FIN LEMON -

Je laisse mon corps tombé à côté de celui de l'Homme qui partage nuit et jour ma vie.

_ Tu m'a épuisé., dit-il dans un souffle court.

_ Tu m'a sauté dessus, j'ai satisfait tes désirs., soufflais-je en souriant.

Il me serre contres son corps ruisselant de sueur, en souriant et m'embrasse.

_ Je t'aime Karol Sevilla !

_ Je t'aime aussi Ruggero Pasquarelli !

Il met sa tête dans mon cou et je sens sa respiration devenir lente et calme, signe qu'il s'est endormi. Je ne tarde pas à faire pareil.

ÉCRIT LE 28 JANVIER 2020
PUBLIÉE LE 6 FÉVRIER 2020

C'est toi que je veux !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant