CHAPITRE 15

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Être amoureuse ne signifie pas oubliée tout ses principes encore moins de se renfermer sur la personne que l'on aime, la preuve, tout les hommes mariés finissent un jour par trompés leurs conjointes et vise versa.
Donc pour moi, je suis libre de visiter autre horizon...





























Avec les garçons, ce vendredi, nous nous sommes bien amusés, j'ai enfin ressentie cette sensation, cette exaltation, cette passion, cette dévotion que les garçons ont de courir derrière une balle, sans se fatiguer, sans jamais se lasser, comme ils le font si souvent.

J'étais épanouie, par qu'un peu, j'étais en sueur, le corps dégoulinant de sueur, le cœur qui battait à la hâte, les ports ouverts, le maillot remplir de sable, de sueur et de grasse, mais malgré tout, je reste bien dans ma peau.

Le terrain sur lequel nous pratiquons n'était point remplir de gazon, non au contraire c'était du sable et ça nous amusaient.

Je me suis retrouvée dans la formation adverse à celle de bobo, et quand j'étais en possession de la balle, et qu'il fallait aller mettre un but dans son camp, incapable étais-je, pas parce que je ne maîtrise mon pied gauche ou encore moins celui de droite comme me faisait si bien comprendre mes potes, non c'était la façon qu'il avait de me regarder, ce regard dans lequel je pouvais me noyer.

Je n'arrive plus à faire la différence entre lui et Ulrich, tout deux exercent sur moi une emprise.

Nous avons certe perdus le match, mais l'important reste et demeure que j'ai pû être près de ce mystère.

Un mystère qu'il me faut à tous pris élucider.

Nous sommes tous assis à main le sol, reprenant nos souffles, la nuit est tombée, le ciel bleu est dégagé, la lune reflète son règne, les étoiles perse le ciel de ses rayons scintillant.

Au claire de cette lune, sa beauté se dévoile à moi, sous une tout autre facette.

Si sous la prestance des rayons lumineux il paraît divin, sous ce rayonnage nocturne, il est tout simplement irrésistible.

Accrocher à son regard depuis peu, je ne peux me délasser,

- Tu te débrouilles très bien, tu m'as prises la balle à mainte reprises. Bravo, tu devrais faire carrière dans le football. Me faut-il remarquer

- Non merci, c'est trop épuisant et demande beaucoup d'efforts, d'équilibre, d'esprit d'équipe et de maîtriser de soit ! Non merci, c'est vraiment trop pour moi. Dis-je gêner

Après je n'ai pratiquement rien fait durant tout le long du match, si ce n'est bêtement donner la balle au camps adverse, augmentant dès lors leurs possessions de balle et grandissant leurs chances de marquer des buts.

Ma réponse s'accompagne d'un lourd silence, il n'est pas pesant, encore moins gênant.

Et cette question revient dans ma tête, puisque nous sommes là, autant le lancer, si je peux me permettre de parler normalement avec lui, je ne vais pas me priver de celà.

Alors, un dernier coup d'œil sur sa personne, et je constate qu'il fixe les étoiles, les paumes de mains étalés sur le sol, la tête surélevé, simultanément, je conçois la même position que lui.

- Bobo, j'ai une question qui brûle mes lèvres depuis quelques heures déjà, je peux te la poser ? Questionne-je le regard ébahie par ce ciel

- Oui, j'écoute, prête t'il oreilles sans détourner le regard

- Alors, bobo c'est ton prénom ?

Dis-je en jetant un coup d'œil discrets à sa réaction, il sourit, discrètement mais j'ai eu le temps de l'apercevoir, il est franchement, beau avec cette allure de timidité.

- Non juste un subtile que les gens aiment beaucoup utilisés pour m'appeler, en vrai, mon prénom c'est Steve.

Steve

- très beau prénom, aussi beau que ton subtile, ils ont vraiment du goût.

- Merci, dit-il de façon timide

Garçon qui sait être timide et imposant à la fois, le combo parfait.
Je sombre

- Mais de rien je ne fais qu'apprécier.

Ange l'affaire que tu engages là risque te dépasser, dans tous les cas tu es prévenue, après faut pas utiliser le mot de passe si je savais parce qu'on vous connaît déjà.


Le score est resté caller deux buts à un en faveur de l'équipe de bobo.

Quelques minutes après, je me suis levée et je les ai souhaité une bonne soirée et ai-je directement emprunter le chemin de ma maison.

Le cœur plus léger, la tête parfaitement reposer, en vrai il y'a du bon à pratiquer une activité physique, non seulement vous conservez votre forme, mais elle allère vos pensées et allège votre cœur.

Dès que mes pieds franchisent la paillasson de notre maison, mon premier réflexe c'est d'aller directement sous la douche.

Vêtu et plus calme, je trouve la mère sous ses draps, je m'y refuge.

Pour être honnête je ne l'en veux pas, ça arrive de s'en porter et je n'ai pas sûrs délimiter mes mots, je suis aussi fautives et aussi j'ai contribué à cette finalité.

Mais voilà, le cœur plus léger et stable, je passe les mains entre sa taille et refuge ma tête dans le creux de son dos.

Il est tant de régler leproblème de ma grande sœur. Mais cette fois, à tête reposée.

- Maman, nous n'avons pas terminées avec le problème de Sandra ; tu comptes faire comment ? Demande-je calmement

- Je suis obligée d'aller faire un prêts à l'association des femmes du quartier. Et rembourser dès que je prendrais la cotisation. Me fait-elle savoir

Une nouvelle fois tu vas te mettre dans les dettes et pourquoi ? Pour effacer les erreurs de mon irresponsable géniteur.

Je souffle, ne voulant pas qu'on plonge à nouveau dans une inflammation, je détourne le sujet.

- Et c'est dans qu'elle classe tu vas l'inscrire ?

Demande-je tout apprêter à sombrer dans les bras de Morphée, oui, ce sport est certe bénéfique, mais tout aussi fatiguant.

- Dans ta salle de classe.

Quoi ?

Dans quoi ?

Non je rêve là ?

Il faut que je me réveille, c'est pas possible que ça puisse m'arriver à moi !

Okay, je réitère mes propos, les bien-être du sport ont ses limites et cette nouvelle, fait bien partie de ces limitations.

AMOUR LYCÉENS Où les histoires vivent. Découvrez maintenant