CHAPITRE 48

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" Tout comme la bible, la vie est un roman qui, mal interprété peut vous conduire à des pires folies ; et le contraire serait une bénédiction.... "

L'étude de la vie est assimilable à celle d'une fonction mathématique. Toutes deux ont un domaine de définition, dont celui de la vie, est en fait les principes qu'ont se définit. Par ailleurs la dérivée d'une fonction mathématique est une variable réel mesurant l'ampleur du changement, et celle de la vie, n'est d'autre que les coups de la vie, qui prônent des changements d'attitude ou de raisonnement. Parlant de sa courbe, qui suit inévitablement ses asymptotes, on voit en celle de la vie, le reflet de l'amour qui poursuit une passion sans faille. La conclusion serait le tracé de sa réciproque, qui va à l'encontre du naturel, donc régit en celle de la vie la haine... !

Aimer, se faire aimé, toujours est-il que se sentiment est porteur d'une grande charge sentimentale, mais, pour moi, se ressentir n'a plus de place, l'amour n'a plus aucun sens, je me suis perdue, éloignée du couloir de pureté, je me suis laissée entraînée par les vagues douées de l'amour jusqu'arriver dans le triangle de la mort ! Et maintenant, je n'ai plus aucune issue, je suis terrifiée, blessée, apeurée, fatiguée...  Aucune épaule à l'horizon.

Malgré les médicaments et les cachets qui m'ont été administrés pour palier à la fureur de mon mal de crâne, mon état était des plus défavorable. Les médecins n'arrivaient pas à appliquer la persistance de cette douleur, il avait beau réduire les doses, les augmenter, changés de traitement, renouveler, inventer... Mais mon état était le même, je songeais au déclin, je voulais périe, pourquoi vivre une vie sans toi ?

La rupture avec Ulrich m'avait complétement asservie, il était ma source d'inspiration, mon humeur, ma joie de vivre, mon essence même... Maintenant qu'il n'est plus, à quoi bon vivre ? Sa fonction était l'association de la mienne, j'y étais dépendante comme une drogue, il m'a rendue toxicomanie de lui, ne plus l'avoir au près de moi, c'est comme une journée sans soleil ! L'obscurité finis vite par s'installer, la dépression avait pris possession de moi, les chaînes d'angoisses me liaient à l'agonie, ma vitalité s'en allait peu à peu à chaque fois qu'il se formait une lieur d'espoir...

Ma mère ne cessait d'agonisée, elle déplorait mon état, accusant les médecins d'incapable, or, ce n'était pas un mal de tête qu'il fallait en venir à bout, mais plutôt une peine de coeur, une tristesse éternelle qui commençait à prendre le déçu.

La famille Africaine est tellement dévoué à ses racines, que, lorsqu'un procédé médical n'aboutit point au résultat souhaité, exigé, celle-ci se confère aux voyants et tradi-praticiens . Dans mon cas, il fut dit que, mon état empirerait, si, ma mère n'allait pas auprès des siens, faire une requête, communément appelé "le do' "   . Logiquement, lorsque la voix des ancêtres parle, les vivants exécutent; ma mère fit un aller et retour, respecta chacune des prédictions du tradi-praticiens... Mais en vain, car j'étais toujours la même, mon ora était toujours déplorable, j'aspirais toujours à la dépression, à la mort... Je voulais être libérée de se fardeau, je voulais qu'il me revienne, je l'ai souhaitée, résouhaité, mais sans aucun réponse du destin, Ulrich était resté ferme, malgré mon état mental, et la fragilité de mon être.

Ma mère, fatiguée de mon état maladif inexplicable, avait, elle aussi sombré dans une dépression, celle de perdre son enfant !

- Ange, tu es venue à moi au moment où je m'attendais le moins ! Mon père mort, que son âme reposé en paix, t'as remis en moi dans un songe, un songe que j'ai fait plus d'une fois, au final je t'ai acceptée, j'ai acceptée de porter sa réincarnation, j'ai acceptée... Mais maintenant, tu veux t'en allée et me laisser ? Qu'as-tu accomplie ? Es-tu venue juste pour repartir ? Si jamais tu viens à mourir, ta tombe sera la mienne !

Et comment feront mes frères ? Si notre mère venait à fermer l'oeil, notre vie prendra aussi fin ! Elle est notre seul garge, une garantie exceptionnelle, la perdre serait dépouiller le monde de sa richesse, non ! Je dois montrer un élan de stabilité, du moins pour ma mère, je dois être forte !

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